Ce documentaire sur Bill Gates de Netflix me fait penser à celui de Strauss Khan alors qu'il était au FMI et présentidentiable français. Strauss Khan en Afrique, Strauss Khan dans les quartiers défavorisés... C'était un docu sur Jésus Christ, quoi Bon, après il y a eu le Sofitel...
On choisit le parti pris, et le montage fait le reste.
Tout documentaire est écrit, puis tourné. En ce sens, tout ce que vous voyez à la télé est le résultat d'un parti pris de journalistes. On le voit avec le journaliste du Media qui annonce qu'il s'était déjà fait une idée avant même d'enquêter.