Toujours le nez dans le guidon. C'est pas toujours super facile.....parfois on croit trouver , on essaye d'approfondir pour avoir des certitudes puis on se rend compte qu'on ne peut valider l'hypothèse car on faisait fausse route : la faute à un père qui donnait son même prénom à son fils qui lui même une fois grand donna à son héritier le même prénom que son grand père qui lui même avait le même que son oncle.....bref parfois on tourne en rond et c'est un véritable travail de fourmi investigatrice.
En attendant de vous faire part de nouvelles avancées, je vais partager avec vous succcintement l'un de mes anciens cours de fac.
En 5e année de psycho, nous avions eu une prof qui nous avait fait un cours (2h) de psychogénéalogie (après on y croit ou on y croit pas....).
Elle s'était appuyée notamment sur le livre d'Anne Ancelin SCHUTZENBERGER intitulé "aïe mes aïeux" et ses travaux universitaires.
Elle avançait la théorie selon laquelle chacun vit avec des "fantômes" du passé. Selon elle dans chaque famille il peut y avoir des "non-dits", des secrets de famille, des événements vécus par des ancêtres qui laissent des traces tout au long des générations, et qui peuvent se répéter (ex suicides, abandons....etc). Ce peut être des secrets, des conflits, des traumatismes vécus par des ancêtres et qui peuvent entraîner par exemple des comportements inexplicables, des traumatisme présents, des "dates anniversaires"....
Ainsi la psychogénéalogie consisterait à réaliser une généalogie de ses ancêtres,à effectuer un "génosociogramme", une étude sur plusieurs membres sur plusieurs générations , puis d'essayer de comprendre et faire face aux secrets et aux traumatismes, partant du principe que nous sommes liés inconsciemment à nos ancêtres/famille plus ou moins lointaine.
Au travers de ces recherches généalogiques, c'est effectivement ce que j'objective plus ou moins : comprendre mon histoire dans une globalité plus large et y situer ma position, bref savoir d'où je viens.
En attendant de vous faire part de nouvelles avancées, je vais partager avec vous succcintement l'un de mes anciens cours de fac.
En 5e année de psycho, nous avions eu une prof qui nous avait fait un cours (2h) de psychogénéalogie (après on y croit ou on y croit pas....).
Elle s'était appuyée notamment sur le livre d'Anne Ancelin SCHUTZENBERGER intitulé "aïe mes aïeux" et ses travaux universitaires.
Elle avançait la théorie selon laquelle chacun vit avec des "fantômes" du passé. Selon elle dans chaque famille il peut y avoir des "non-dits", des secrets de famille, des événements vécus par des ancêtres qui laissent des traces tout au long des générations, et qui peuvent se répéter (ex suicides, abandons....etc). Ce peut être des secrets, des conflits, des traumatismes vécus par des ancêtres et qui peuvent entraîner par exemple des comportements inexplicables, des traumatisme présents, des "dates anniversaires"....
Ainsi la psychogénéalogie consisterait à réaliser une généalogie de ses ancêtres,à effectuer un "génosociogramme", une étude sur plusieurs membres sur plusieurs générations , puis d'essayer de comprendre et faire face aux secrets et aux traumatismes, partant du principe que nous sommes liés inconsciemment à nos ancêtres/famille plus ou moins lointaine.
Au travers de ces recherches généalogiques, c'est effectivement ce que j'objective plus ou moins : comprendre mon histoire dans une globalité plus large et y situer ma position, bref savoir d'où je viens.
J'accorde une bienveillante attention légèrement amusée aux recherches généalogiques de la famille.
Je n'ai aucun ressenti psychologique des vicissitudes de mes ancêtres et ne m'approprie aucune des gloires passées.
Chacun son chemin comme on dit
Je n'ai aucun ressenti psychologique des vicissitudes de mes ancêtres et ne m'approprie aucune des gloires passées.
Chacun son chemin comme on dit
- Sobear, c'est tout à fait ça : chacun son chemin, chacun sa croix.
Mais ne peut t'on pas imaginer une approche large ?
Exemple plus concret : ne pourrait t'on pas comprendre des freins en trading par rapport à l'argent à la lumière de son histoire familiale : une famille proche de classe ouvrière, et une lignée plus ancestrale où on gagnait son pain à la sueur de son font dans les champs par exemple
(c'est juste un exemple...y a parfois des traumatismes plus importants)
Mais ne peut t'on pas imaginer une approche large ?
Exemple plus concret : ne pourrait t'on pas comprendre des freins en trading par rapport à l'argent à la lumière de son histoire familiale : une famille proche de classe ouvrière, et une lignée plus ancestrale où on gagnait son pain à la sueur de son font dans les champs par exemple
(c'est juste un exemple...y a parfois des traumatismes plus importants)
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