trader les actions ou les cfd à risque limité?

Désolé d'aborder un sujet certainement bien connu de beaucoup d'entre vous, mais j'aimerais comprendre pourquoi un trader ( connu), déclarait que le scalping était le top du top de la difficulté pour gagner de l'argent, et qu'il ne fallait l'aborder qu'avec une grande expérience de marchés.
Qu'à l'inverse, ( même si c'est déjà tres difficile), il indiquait que le trading des actions était plus accessible.
J'aimerais avoir vos avis, j'ai eu la bonne surprise sur la page que Benoist a consacré au levier, d apprendre, qu'un levier de 3 à 5 existait aussi pour les actions.

Je pense, sans aucun doute, que le scalping, tel que Benoist le pratique,( ou tout autre virtuose de la chose) est plus dur que tout: ping pong de compétition, tennis, escrime, beaucoup beaucoup plus dur.... Seul ( et là j'ai quelques lumières et compétence) le contrôle d'un instrument de musique est encore bien plus dur, mais c'est l'exception, (et on sait qu'il faut une vie entière pour y arriver.)

On mélange tout

un cfd à risque limité c'est une enveloppe

dans cette enveloppe tu peux mettre des actions, des indices, de l'or, du pétrole...

donc des cfds à risque limité actions (qui te permet par exemple d'éviter de payer la TTF) c'est exactement comme les actions (même Carnet d'ordres par exemple)

Tu peux acheter des actions en levier 5 et finir ruiner aussi surtout sur les actions

une action qui perd 20% c'est tous les jours qu'il y en a et par dizaines des -20%.

Un indice qui perd 20% c'est un événement séculier, une fois par siècle et encore

Merci pour ta réponse. J'avoue que j'avais été etonné par ce que disait ce type...

L'apprentissage d'un instrument de musique n'est pas "encore bien plus dur" que celui du scalping. Ce sont deux domaines parfaitement différents qui reposent eux-mêmes sur des aptitudes différentes.
Deux personnes ayant eu des vécus différents, des expériences différentes, te donneront peut-être des réponses diamétralement opposées à cette question.

J'en veux pour preuve un ami qui a toujours eu de grandes facilités à appréhender un nouvel instrument et à en faire son partenaire, alors même qu'il reconnaît être parfaitement incapable (et ne le sera certainement jamais) de comprendre et vivre le marché tel que nous le faisons.

Sgad, je n'avais pas à l esprit le côté intellectuel de la chose, mais simplement le contrôle nerveux, les reflexes, la maitrise etc... et là, rien n'est plus dur que l'instrument, surtout aujourd hui, car le public veut entendre ce qu'il entend chez lui, ( un enregistrement) ,qui est totalement trafiqué et organisé pour donner l'illusion de la perfection)