Bonjour
Je vais vous parler aujourd'hui du cœlacanthe , (genre Latimeria ), l'un des deux poissons osseux à nageoires lobes vivants du genre Latimeria . Traditionnellement, cependant, cœlacanthe était le nom appliqué généralement à tout membre de l'ordre Coelacanthiformes, sous-classe Crossopterygii . Les membres du sous-ordre apparenté mais éteint Rhipidistia sont considérés comme les ancêtres des vertébrés terrestres . Dans certains systèmes de classification , les coelacanthes et les rhipidistiens sont considérés comme des ordres distincts, membres de la sous-classe Crossopterygii. Il existe deux espèces vivantes : le cœlacanthe africain ( Latimeria chalumnae), trouvé dans l' océan Indien près des côtes du sud-est de l' Afrique , de Madagascar et des Comores ; et le cœlacanthe de Sulawesi (L. menadoensis ), qui habite les eaux près du nord de Sulawesi en Indonésie .
Cœlacanthe africain ( Latimeria chalumnae )
Découvrez les coelacanthes, des poissons osseux considérés comme des fossiles vivants qui vivent dans des grottes sous-marines et dont les nageoires ressemblent à des pattes.
Les coelacanthes modernes appartiennent à la famille des Latimeriidae. Le nom fait référence à leurs épines creuses (en grec : koilos , "creux" et akantha , "épine"). Les coelacanthes modernes sont plus gros que la plupart des coelacanthes fossiles et sont de puissants prédateurs avec de lourds corps mucilagineux et des nageoires limbiques très mobiles. Ils mesurent en moyenne 5 pieds (1,5 mètre) de long et pèsent environ 100 livres (45 kg). Les coelacanthes ont une croissance lente et une longue durée de vie; des études sur les anneaux de croissance dans les écailles des coelacanthes africains suggèrent que ces poissons deviennent sexuellement matures lorsqu'ils ont entre 40 et 69 ans et peuvent vivre jusqu'à 100 ans. Ce sont des porteurs vivantsqui donnent naissance à des petits bien développés. Une étude rapporte que les coelacanthes africains femelles portent leurs petits environ cinq ans avant de donner naissance. Bien qu'autrefois considérés comme des poissons d'eau profonde, on sait maintenant que les coelacanthes habitent les eaux mésopélagiques, sous le plateau continental , à des profondeurs d'environ 650 à 1 300 pieds (200 à 400 mètres).
Les coelacanthes sont apparus il y a environ 400 millions d'années au cours de la période dévonienne et étaient abondants dans une grande partie du monde. Les plus grandes formes connues comprenaient des membres des genres Mawsonia et Rebellartrix qui a vécu pendant les périodes du Crétacé et du début du Trias , respectivement, et a atteint entre 4 et 6 mètres (13,1 et 19,6 pieds) de long.Coelacanthus , le genre dont l'ordre Coelacanthiformes est dérivé, a été trouvé sous forme de fossiles dans des roches il y a environ 259 millions à environ 252 millions d'années, de la fin du Permien au début de la période du Trias . Coelacanthus , comme d'autres coelacanthes, a montré une réduction de l'ossification osseuse et une tendance générale vers un mode de vie marin loin de l' environnement d'eau douce antérieur . Les plus jeunes coelacanthes fossiles connus datent de la fin du Crétacé , il y a 145 à 66 millions d'années.
On a longtemps supposé que les coelacanthes avaient disparu il y a environ 66 millions d'années, mais en 1938, un membre vivant (Latimeria chalumnae ) a été capturée dans l'océan Indien près de la côte sud de l'Afrique. Des récompenses ont été offertes pour plus de spécimens, et en 1952 un deuxième (nommé Malania anjouanae mais non séparable de Latimeria ) a été obtenu près des îles Comores. De nombreux autres ont été capturés dans cette zone. On a découvert plus tard que ces poissons étaient bien connus des insulaires, qui considéraient la chair comme comestible lorsqu'elle était séchée et salée; les écailles grossières servaient d'abrasif.
Une deuxième espèce de Latimeria a été découverte en Indonésie en 1998. Connue communément sous le nom de coelacanthe de Sulawesi, son nom scientifique,L. menadoensis , dérive de l'île de Manado tu as, d'où elle a été collectée. Les deux espèces sont considérées comme menacées par l' Union internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles , le cœlacanthe africain étant classé comme espèce en danger critique d' extinction et le cœlacanthe de Sulawesi étant classé comme espèces vulnérables .
Je vais vous parler aujourd'hui du cœlacanthe , (genre Latimeria ), l'un des deux poissons osseux à nageoires lobes vivants du genre Latimeria . Traditionnellement, cependant, cœlacanthe était le nom appliqué généralement à tout membre de l'ordre Coelacanthiformes, sous-classe Crossopterygii . Les membres du sous-ordre apparenté mais éteint Rhipidistia sont considérés comme les ancêtres des vertébrés terrestres . Dans certains systèmes de classification , les coelacanthes et les rhipidistiens sont considérés comme des ordres distincts, membres de la sous-classe Crossopterygii. Il existe deux espèces vivantes : le cœlacanthe africain ( Latimeria chalumnae), trouvé dans l' océan Indien près des côtes du sud-est de l' Afrique , de Madagascar et des Comores ; et le cœlacanthe de Sulawesi (L. menadoensis ), qui habite les eaux près du nord de Sulawesi en Indonésie .
Cœlacanthe africain ( Latimeria chalumnae )
Découvrez les coelacanthes, des poissons osseux considérés comme des fossiles vivants qui vivent dans des grottes sous-marines et dont les nageoires ressemblent à des pattes.
Les coelacanthes modernes appartiennent à la famille des Latimeriidae. Le nom fait référence à leurs épines creuses (en grec : koilos , "creux" et akantha , "épine"). Les coelacanthes modernes sont plus gros que la plupart des coelacanthes fossiles et sont de puissants prédateurs avec de lourds corps mucilagineux et des nageoires limbiques très mobiles. Ils mesurent en moyenne 5 pieds (1,5 mètre) de long et pèsent environ 100 livres (45 kg). Les coelacanthes ont une croissance lente et une longue durée de vie; des études sur les anneaux de croissance dans les écailles des coelacanthes africains suggèrent que ces poissons deviennent sexuellement matures lorsqu'ils ont entre 40 et 69 ans et peuvent vivre jusqu'à 100 ans. Ce sont des porteurs vivantsqui donnent naissance à des petits bien développés. Une étude rapporte que les coelacanthes africains femelles portent leurs petits environ cinq ans avant de donner naissance. Bien qu'autrefois considérés comme des poissons d'eau profonde, on sait maintenant que les coelacanthes habitent les eaux mésopélagiques, sous le plateau continental , à des profondeurs d'environ 650 à 1 300 pieds (200 à 400 mètres).
Les coelacanthes sont apparus il y a environ 400 millions d'années au cours de la période dévonienne et étaient abondants dans une grande partie du monde. Les plus grandes formes connues comprenaient des membres des genres Mawsonia et Rebellartrix qui a vécu pendant les périodes du Crétacé et du début du Trias , respectivement, et a atteint entre 4 et 6 mètres (13,1 et 19,6 pieds) de long.Coelacanthus , le genre dont l'ordre Coelacanthiformes est dérivé, a été trouvé sous forme de fossiles dans des roches il y a environ 259 millions à environ 252 millions d'années, de la fin du Permien au début de la période du Trias . Coelacanthus , comme d'autres coelacanthes, a montré une réduction de l'ossification osseuse et une tendance générale vers un mode de vie marin loin de l' environnement d'eau douce antérieur . Les plus jeunes coelacanthes fossiles connus datent de la fin du Crétacé , il y a 145 à 66 millions d'années.
On a longtemps supposé que les coelacanthes avaient disparu il y a environ 66 millions d'années, mais en 1938, un membre vivant (Latimeria chalumnae ) a été capturée dans l'océan Indien près de la côte sud de l'Afrique. Des récompenses ont été offertes pour plus de spécimens, et en 1952 un deuxième (nommé Malania anjouanae mais non séparable de Latimeria ) a été obtenu près des îles Comores. De nombreux autres ont été capturés dans cette zone. On a découvert plus tard que ces poissons étaient bien connus des insulaires, qui considéraient la chair comme comestible lorsqu'elle était séchée et salée; les écailles grossières servaient d'abrasif.
Une deuxième espèce de Latimeria a été découverte en Indonésie en 1998. Connue communément sous le nom de coelacanthe de Sulawesi, son nom scientifique,L. menadoensis , dérive de l'île de Manado tu as, d'où elle a été collectée. Les deux espèces sont considérées comme menacées par l' Union internationale pour la conservation de la nature et des ressources naturelles , le cœlacanthe africain étant classé comme espèce en danger critique d' extinction et le cœlacanthe de Sulawesi étant classé comme espèces vulnérables .
