le groupe abba s'est reformé
sont salaces chez cdiscount
Au secour on m'expulse !
https://www.atd-quartmonde.fr/connaitre-ses-droits-en-cas-dexpulsion-2/
m'a fait marrer la photo choisie pour illustrer '' propriétés organoleptiques''
lol
lol
excellent
ça envoit !
Oui , en espérant qu’il n’y aura pas d’accidents dans certaines centrales avant ce démantèlement
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27accidents_nucl%C3%A9aires
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Le nucléaire 100 % sûr est un mythe. Même si les accidents sont relativement rares, leurs impacts sur la population, l’environnement et l’économie d’un pays sont effroyables. La France n’est pas à l’abri.
L’échelle internationale des événements nucléaires
L’histoire du nucléaire dans le monde est ponctuée d’accidents. Une « échelle internationale des événements nucléaires » les classe, en fonction de leur gravité, de 0 à 7 : écart (niveau 0), anomalie (niveau 1), incident (niveaux 2 et 3), accident (de 4 à 7). Les accidents les plus graves jamais enregistrés sont ceux de Tchernobyl (26 avril 1986) et de Fukushima (11 mars 2011). Ils étaient de niveau 7. Mais d’autres accidents ont eu lieu aux États-Unis et au Royaume-Uni par exemple.
En France, niveau 4 atteint
Les accidents nucléaires les plus graves en France (niveau 4) ont eu lieu à la centrale de St-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) en octobre 1969 et en mars 1980. Dans les deux cas, des combustibles ont fusionné dans un des réacteurs de la centrale. D’autres accidents nucléaires aussi graves ont été évités de justesse dans d’autres centrales.
Le 12 mai 1998, un des réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne) a perdu son réfrigérant à la suite d’une rupture de canalisation. Lors de la tempête de décembre 1999, le réacteur de la centrale nucléaire de Blayais (Gironde) a dû être arrêté d’urgence après que tous les systèmes de sécurité ont été inondés : les digues de protection n’avaient pas résisté à la force des vents. Lors de la canicule de 2003, c’est la centrale de Fessenheim (Alsace) qui avait pris chaud. Elle a dû être arrêtée en urgence. En 2006, de nouveau à Civaux, un opérateur a posé un livret sur un clavier de commande, entraînant un dépassement de la puissance thermique autorisée.
Certes, les incidents de niveau 2 ou 3 sont relativement rares en France : l’incendie d’un silo de stockage à La Hague en 1981, une mauvaise vis dans le système de protection de Gravelines en 1989, l’inondation de la centrale du Blayais en 1999, la perte de plutonium à Cadarache en 2009, etc. Mais l’Autorité de sûreté nucléaire, chargée du contrôle du nucléaire en France, reconnaît que plusieurs centaines d’écarts de niveau 0 et une centaine d’anomalies de niveau 1 ont lieu chaque année. Les incidents qui se sont produits sur les sites du Tricastin en 2008 et de Gravelines en 2009 relèvent, officiellement, de cette catégorie 1.
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Le nucléaire 100 % sûr est un mythe. Même si les accidents sont relativement rares, leurs impacts sur la population, l’environnement et l’économie d’un pays sont effroyables. La France n’est pas à l’abri.
L’échelle internationale des événements nucléaires
L’histoire du nucléaire dans le monde est ponctuée d’accidents. Une « échelle internationale des événements nucléaires » les classe, en fonction de leur gravité, de 0 à 7 : écart (niveau 0), anomalie (niveau 1), incident (niveaux 2 et 3), accident (de 4 à 7). Les accidents les plus graves jamais enregistrés sont ceux de Tchernobyl (26 avril 1986) et de Fukushima (11 mars 2011). Ils étaient de niveau 7. Mais d’autres accidents ont eu lieu aux États-Unis et au Royaume-Uni par exemple.
En France, niveau 4 atteint
Les accidents nucléaires les plus graves en France (niveau 4) ont eu lieu à la centrale de St-Laurent-des-Eaux (Loir-et-Cher) en octobre 1969 et en mars 1980. Dans les deux cas, des combustibles ont fusionné dans un des réacteurs de la centrale. D’autres accidents nucléaires aussi graves ont été évités de justesse dans d’autres centrales.
Le 12 mai 1998, un des réacteurs de la centrale de Civaux (Vienne) a perdu son réfrigérant à la suite d’une rupture de canalisation. Lors de la tempête de décembre 1999, le réacteur de la centrale nucléaire de Blayais (Gironde) a dû être arrêté d’urgence après que tous les systèmes de sécurité ont été inondés : les digues de protection n’avaient pas résisté à la force des vents. Lors de la canicule de 2003, c’est la centrale de Fessenheim (Alsace) qui avait pris chaud. Elle a dû être arrêtée en urgence. En 2006, de nouveau à Civaux, un opérateur a posé un livret sur un clavier de commande, entraînant un dépassement de la puissance thermique autorisée.
Certes, les incidents de niveau 2 ou 3 sont relativement rares en France : l’incendie d’un silo de stockage à La Hague en 1981, une mauvaise vis dans le système de protection de Gravelines en 1989, l’inondation de la centrale du Blayais en 1999, la perte de plutonium à Cadarache en 2009, etc. Mais l’Autorité de sûreté nucléaire, chargée du contrôle du nucléaire en France, reconnaît que plusieurs centaines d’écarts de niveau 0 et une centaine d’anomalies de niveau 1 ont lieu chaque année. Les incidents qui se sont produits sur les sites du Tricastin en 2008 et de Gravelines en 2009 relèvent, officiellement, de cette catégorie 1.
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Fichier(s) joint(s) par ChristelleP » 06 oct. 2018 14:09 (624 Réponses)
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