oui Burzum ce que tu décris n'est pas rare je pense
Oui enfin quand tu as moins de 25 ans sans aides sociales et que tu prends le premier boulot qui passe pour manger c'est un consentement tout relatif
oui Burzum ce que tu décris n'est pas rare je pense
oui Burzum ce que tu décris n'est pas rare je pense
Après je pourrais vous raconter 10 ans d'anecdotes comme celles çi et pourrir la file
depuis bientôt un an que je suis parti et quand je vois des anciens collègues, c'est la ou je me rends compte , encore plus de la main mise de la boite sur l'individu.
Car on me demande toujours si ça va , mais un çi ça va , comment tu fais pour t'en sortir depuis que tu travailles plus avec nous, un comment c'est possible ? en fait .
en gros complétement aliéné
depuis bientôt un an que je suis parti et quand je vois des anciens collègues, c'est la ou je me rends compte , encore plus de la main mise de la boite sur l'individu.
Car on me demande toujours si ça va , mais un çi ça va , comment tu fais pour t'en sortir depuis que tu travailles plus avec nous, un comment c'est possible ? en fait .
en gros complétement aliéné
moi ma mère a fait un burn out
un de mes potes est devenu esclave de son job dans le sens où il n' y a plus que ça dans sa vie ses potes sont là bas
son activité physique et intellectuelle est là bas ...
il y a quelques années il disait signer son CDI pour acheter sa baraque puis après ouste
tu parles une fois que tu as gouté à une situation financière très correcte et que ta vie tourne quasi uniquement autour du travail tu es devenu esclave enfin je ne sais pas si c'est le bon terme
dépendant en tous cas
accro
et ça ne concerne pas que les salariés pour le coup
dommage c'était mon meilleur ami
mais il est vide maintenant
un bout de bois
un de mes potes est devenu esclave de son job dans le sens où il n' y a plus que ça dans sa vie ses potes sont là bas
son activité physique et intellectuelle est là bas ...
il y a quelques années il disait signer son CDI pour acheter sa baraque puis après ouste
tu parles une fois que tu as gouté à une situation financière très correcte et que ta vie tourne quasi uniquement autour du travail tu es devenu esclave enfin je ne sais pas si c'est le bon terme
dépendant en tous cas
accro
et ça ne concerne pas que les salariés pour le coup
dommage c'était mon meilleur ami
mais il est vide maintenant
un bout de bois
je venais juste appuyer le point de vue de Burzum je ne généralise pas
oui exact il serait peut être devenu une buche sans vie sans le salariat
oui exact il serait peut être devenu une buche sans vie sans le salariat
tout ça pour dire que je ne suis pas prêt de rebosser !
ça fait plus de 3 ans maintenant
la retraite à 25 ans !
ça fait plus de 3 ans maintenant
la retraite à 25 ans !
toutes façons je suis juste un visionnaire je prends de l'avance
https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0212030535591-emploi-la-terrible-prediction-de-la-banque-mondiale-2083847.php
https://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0212030535591-emploi-la-terrible-prediction-de-la-banque-mondiale-2083847.php
Esclave d'un travail ou bien esclave des contraintes que l'individu se crée et qu'il doit assumer ensuite ?
La chance de pouvoir consommer vaut'elle le temps,passé à gagner de quoi payer?
L e bien le plus précieux est le temps que avons a passer sur terre, pour ma part c'est bien de l’esclavage si on ne paye pas un salarié 10 fois plus que le smic, et c'est impossible à assumer pour une TPE.
je n'aurai jamais pensé avoir cette analyse avant de réaliser la fragilité de la vie.
La chance de pouvoir consommer vaut'elle le temps,passé à gagner de quoi payer?
L e bien le plus précieux est le temps que avons a passer sur terre, pour ma part c'est bien de l’esclavage si on ne paye pas un salarié 10 fois plus que le smic, et c'est impossible à assumer pour une TPE.
je n'aurai jamais pensé avoir cette analyse avant de réaliser la fragilité de la vie.
En fait on ne sait jamais défait véritablement du carcan "travail"
Sous l'antiquité avec les esclaves corvéables à merci
Sous l'ancien régime avec ce servage ou les paysans reversaient prés de 80 % de leur travail au clergé et au noble du coin
Hier avec le communisme qui en rajoute une couche en glorifiant le travail, comme religion
Aujourd'hui , le travail c'est toujours encore un peu tout ça , on l' érigeait comme nécessaire non seulement pour la société mais aussi pour son épanouissement personnel, alors que j'y vois, juste un moyen d'asservissement moral et financier
Sous l'antiquité avec les esclaves corvéables à merci
Sous l'ancien régime avec ce servage ou les paysans reversaient prés de 80 % de leur travail au clergé et au noble du coin
Hier avec le communisme qui en rajoute une couche en glorifiant le travail, comme religion
Aujourd'hui , le travail c'est toujours encore un peu tout ça , on l' érigeait comme nécessaire non seulement pour la société mais aussi pour son épanouissement personnel, alors que j'y vois, juste un moyen d'asservissement moral et financier
Le salariat n'est quand même pas de l'esclavage, on a la possibilité de quitter sa boîte, de changer de situation. L'esclave n'a pas cette possibilité.
Il appartient à chacun de se laisser des portes de sortie de son travail salarié. Le problème c'est l'inertie, la force d'habitude / routine, la paresse, qui nous fait ne reposer sur une situation salariée qui, à partir d'un moment, nous enferme. Mais en fait c'est chacun qui a le pouvoir de s'enfermer ou non.
Ne jamais perdre de vue ses objectifs de vie, ce qui est vraiment important ici bas (par ex : la famille, les vrais amis), et les activités qui nous font vibrer, qu'il faut cultiver (activités artistiques ou autres). Et donner du temps à ces choses importantes, envers et contre tout.
Donc ne pas trop s'impliquer émotionnellement dans son travail salarié, ne pas avoir la tête dans le guidon et prendre du recul. A la limite, considérer le travail salarié comme quelque chose d'alimentaire avant tout est une très bonne chose. Ça évite la sur-implication qui conduit aux grosses déconvenues et burn-out. Evidemment, dans un boulot salarié il faut donner de son temps et de sa sueur, ça peut être difficile dans certains cas, la pression peut être forte, mais il est indispensable de prendre du recul. Le patron qui me g**le dessus, ce n'est finalement pas important. Les choses essentielles sont ailleurs. Même si je me le tape X heures par jour, c'est pénible, mais mon intérêt est ce salaire qui tombe à la fin du mois et qui me permet d'avancer dans les projets qui me sont vraiment importants, hors du boulot.
Le piège du salariat, c'est quand, hors du boulot, on n'oeuvre pas pour construire ces choses vraiment importantes. metro, boulot, TV, dodo. La TV notamment, ça bouffe facilement 2 heures par jour pour... rien. Du temps perdu. Donc gérer son temps. Si on veut garder des portes de sortie à son boulot salarié il faut travailler ses compétences, ses relations, sa force physique et son énergie. Ça demande de continuer à faire des efforts après le travail, ne pas s'avachir, pour continuer à garder les commandes de ses activités. Le patron qui te crie dessus, c'est souvent parce qu'il perçoit la vulnérabilité du salarié, sa fatigue, sa faiblesse. Le temps hors travail est essentiel, il ne doit pas être gaspillé à rien faire (TV..), mais à se recharger en énergie et à se refocaliser sur ce qui est vraiment important dans sa vie.
Essayer aussi de sortir aussi de cette logique de consommation, le crédit immo sur 25 ans, la grosse voiture, l'écran plat 200cm... pour rester alerte et un peu libre de ses mouvements et changements.
Il appartient à chacun de se laisser des portes de sortie de son travail salarié. Le problème c'est l'inertie, la force d'habitude / routine, la paresse, qui nous fait ne reposer sur une situation salariée qui, à partir d'un moment, nous enferme. Mais en fait c'est chacun qui a le pouvoir de s'enfermer ou non.
Ne jamais perdre de vue ses objectifs de vie, ce qui est vraiment important ici bas (par ex : la famille, les vrais amis), et les activités qui nous font vibrer, qu'il faut cultiver (activités artistiques ou autres). Et donner du temps à ces choses importantes, envers et contre tout.
Donc ne pas trop s'impliquer émotionnellement dans son travail salarié, ne pas avoir la tête dans le guidon et prendre du recul. A la limite, considérer le travail salarié comme quelque chose d'alimentaire avant tout est une très bonne chose. Ça évite la sur-implication qui conduit aux grosses déconvenues et burn-out. Evidemment, dans un boulot salarié il faut donner de son temps et de sa sueur, ça peut être difficile dans certains cas, la pression peut être forte, mais il est indispensable de prendre du recul. Le patron qui me g**le dessus, ce n'est finalement pas important. Les choses essentielles sont ailleurs. Même si je me le tape X heures par jour, c'est pénible, mais mon intérêt est ce salaire qui tombe à la fin du mois et qui me permet d'avancer dans les projets qui me sont vraiment importants, hors du boulot.
Le piège du salariat, c'est quand, hors du boulot, on n'oeuvre pas pour construire ces choses vraiment importantes. metro, boulot, TV, dodo. La TV notamment, ça bouffe facilement 2 heures par jour pour... rien. Du temps perdu. Donc gérer son temps. Si on veut garder des portes de sortie à son boulot salarié il faut travailler ses compétences, ses relations, sa force physique et son énergie. Ça demande de continuer à faire des efforts après le travail, ne pas s'avachir, pour continuer à garder les commandes de ses activités. Le patron qui te crie dessus, c'est souvent parce qu'il perçoit la vulnérabilité du salarié, sa fatigue, sa faiblesse. Le temps hors travail est essentiel, il ne doit pas être gaspillé à rien faire (TV..), mais à se recharger en énergie et à se refocaliser sur ce qui est vraiment important dans sa vie.
Essayer aussi de sortir aussi de cette logique de consommation, le crédit immo sur 25 ans, la grosse voiture, l'écran plat 200cm... pour rester alerte et un peu libre de ses mouvements et changements.
Il y a une tellement grande palettes de travaux, entre quelqu'un qui a la chance de pratiquer un métier qui le passionne, par exemple un entraineur d'une équipe sportive, ou un photographe ou un dessinateur de bd, ou des emplois très difficile et mal rémunérés...
J'avais cru lire quelque part que le rythme de travail était prévu pour 8h de sommeil, 8h de travail, 8h de loisirs, mais bien souvent le déplacement et la cassure du midi par exemple biaise complètement ces délais qui rapproche davantage d'un 10-12h de temps par jour lié au travail...
Puis certains emplois vont stimuler l'esprit et permettre le développement et d'autres vont complètement ratatinés la lucidité et les perspectives positives de vie...
Comme d'habitude' chez moi deux perceptions qui fait faire le grand écart à ma pensée, mais malheureusement ce sujte ne pourra pas être formalisé et globalisé généralisé, il y a de bien trop grandes différences entre ce qu'on appelle le salariat, et n'oublions pas qu'à l'inverse de -Sans patron, pas de salarié, pas de salariat.- il y a aussi -Sans salariés pas de patronat pas de patron-
Le livre est ouvert mais ne se refermera peut-être pas de sitôt
J'avais cru lire quelque part que le rythme de travail était prévu pour 8h de sommeil, 8h de travail, 8h de loisirs, mais bien souvent le déplacement et la cassure du midi par exemple biaise complètement ces délais qui rapproche davantage d'un 10-12h de temps par jour lié au travail...
Puis certains emplois vont stimuler l'esprit et permettre le développement et d'autres vont complètement ratatinés la lucidité et les perspectives positives de vie...
Comme d'habitude' chez moi deux perceptions qui fait faire le grand écart à ma pensée, mais malheureusement ce sujte ne pourra pas être formalisé et globalisé généralisé, il y a de bien trop grandes différences entre ce qu'on appelle le salariat, et n'oublions pas qu'à l'inverse de -Sans patron, pas de salarié, pas de salariat.- il y a aussi -Sans salariés pas de patronat pas de patron-
Le livre est ouvert mais ne se refermera peut-être pas de sitôt
le minimum légal de repos c'est 11h par jour
tu peux travailler 13h par jour si tu es motivé
11h c'est encore suffisant pour se reposer
tu peux travailler 13h par jour si tu es motivé
11h c'est encore suffisant pour se reposer
Le salariat ne me prive pas de ma liberté !
Le problème c'est que je ne crois pas et je ne vais jamais croire à la chance de quoi que se soit
Avec des si je peux refaire ma vie de deux façons
C'est super simple
Dans notre culture nous travaillons tous & toutes pour avoir de l'argent !
Chaque jour nous avons le choix de ce que nous allons faire de notre temps !
Nous avons le pouvoir du choix
En effet, je suis salarié & le salaire que j'ai à la fin du mois est réel
Je ne le gaspille pas bêtement
Car j'ai developper de bonnes habitudes, financières, par mon auto discipline, en devenant beaucoup solide mentalement
Je me focalise sur le developpement de mes compétences de gestion :
De mon cash
De ma personne
Et de mon temps libre
J'aime ma liberté, de voir grands
D'avoir une mentalité positive
D'essayer de devenir meilleur
D'être responsable de ma vie & de mes actes
Dans la vie tout est possible ...
Le problème c'est que je ne crois pas et je ne vais jamais croire à la chance de quoi que se soit
Avec des si je peux refaire ma vie de deux façons
C'est super simple
Dans notre culture nous travaillons tous & toutes pour avoir de l'argent !
Chaque jour nous avons le choix de ce que nous allons faire de notre temps !
Nous avons le pouvoir du choix
En effet, je suis salarié & le salaire que j'ai à la fin du mois est réel
Je ne le gaspille pas bêtement
Car j'ai developper de bonnes habitudes, financières, par mon auto discipline, en devenant beaucoup solide mentalement
Je me focalise sur le developpement de mes compétences de gestion :
De mon cash
De ma personne
Et de mon temps libre
J'aime ma liberté, de voir grands
D'avoir une mentalité positive
D'essayer de devenir meilleur
D'être responsable de ma vie & de mes actes
Dans la vie tout est possible ...
Je n'adhère pas du tout à une vision du type "lutte des classes", où le salarié est prisonnier de son statut d'exploité par la méchante bourgeoisie.
Le salarié n'est pas une victime, on choisit de devenir salarié, et surtout on choisit de le rester. Je sais que certains aiment penser qu'ils n'ont pas eu le choix, "quand on est né pauvre on y peut rien, il faut bien manger" mais c'est tout simplement faux.
Par contre, je crois oui que le salarié sacrifie une part de lui même et de sa liberté en vue d'obtenir une certaine sécurité (financière, mais pas uniquement).
J'ai lu que le salariat était une forme de prostitution, ça dépend de quel type de prostitution on parle. L'escort qui se prostitue toute seule sur internet, sans mac, est beaucoup plus libre qu'un salarié. Elle fournit librement un service contre de l'argent, et elle renouvelle son consentement à chaque transaction. Le salarié lui accepte pour une durée déterminée ou indéterminée de se mettre dans un lien de subordination. Il peut toujours démissionner, mais s'il reste il fait ce qu'on lui dit de faire. Le salariat, c'est de la prostitution, mais avec un de syndrome de Stockholm.
Tiens d'ailleurs Benoist, pour ton prochain sujet de débat je te propose le mariage :musique:
Le salarié n'est pas une victime, on choisit de devenir salarié, et surtout on choisit de le rester. Je sais que certains aiment penser qu'ils n'ont pas eu le choix, "quand on est né pauvre on y peut rien, il faut bien manger" mais c'est tout simplement faux.
Par contre, je crois oui que le salarié sacrifie une part de lui même et de sa liberté en vue d'obtenir une certaine sécurité (financière, mais pas uniquement).
J'ai lu que le salariat était une forme de prostitution, ça dépend de quel type de prostitution on parle. L'escort qui se prostitue toute seule sur internet, sans mac, est beaucoup plus libre qu'un salarié. Elle fournit librement un service contre de l'argent, et elle renouvelle son consentement à chaque transaction. Le salarié lui accepte pour une durée déterminée ou indéterminée de se mettre dans un lien de subordination. Il peut toujours démissionner, mais s'il reste il fait ce qu'on lui dit de faire. Le salariat, c'est de la prostitution, mais avec un de syndrome de Stockholm.
Tiens d'ailleurs Benoist, pour ton prochain sujet de débat je te propose le mariage :musique:
???Paperbag a écrit :Le salarié n'est pas une victime, on choisit de devenir salarié, et surtout on choisit de le rester.
Un peu radical voire simpliste mon Paperbag
Les 23.5 millions de salariés français, si demain ils décident "tous" de ne pas rester salarié, alors quelle est donc leur alternative?...
C'est peut-être plus compliqué, la pluralité des aléas de tout un chacun rend bien plus complexe le réel que la simplicité de pensées
moi je suis assez d'accord avec le point de vue de Paperpag mais bon c'est sur que les alternatives au salariat ne sont pas toujours réjouissantes et parfois c'est de gros sacrifices pour y renoncer
et entre un celibataire locataire sans crédit et un gars / ou une femme seul avec 3 enfants et un credit immo sur le dos renoncer au salariat n'a pas la meme saveur ni les memes conséquences
et entre un celibataire locataire sans crédit et un gars / ou une femme seul avec 3 enfants et un credit immo sur le dos renoncer au salariat n'a pas la meme saveur ni les memes conséquences
Ben déjà apparemment il y a des alternatives? C'est déjà ça, mais je n'ai pas l'esprit assez clairvoyant pour percevoir lesquelles sont-elleschad a écrit :c'est sur que les alternatives au salariat ne sont pas toujours réjouissantes et parfois c'est de gros sacrifices pour y renoncer
auto entreprenariat /
chomage /
rsa /
etudier (fac avec bourses du crous ) ou formation avec financement de la région de l'afpa ou que sais je /
vivre en autosuffisance (potager + baraque achetée une bouchée de pain par exemple) /
monter sa boite (exemple racheter un bar ou monter un petit snack pas besoin de fortunes avec un credit c'est jouable) /
travail au noir ou cheque emplois service /
vente d'armes ou de drogues /
vivre en reparant des bagnoles et autres objets et les revendant sur le bon coin /
trader en compte propre /
squatteur (dans des squats ou chez des amis)/
vivre dans la zad de notre dames des landes ou dans la rue / camionnette/ camion /
faire plein de gosses pour toucher la caf /
trouver une femme-homme qu'on aime (ou pas ) riche ou aisé(e) /
acheter un bateau vivre dedans /
salarié en interim (beaucoup plus libre ) en cumul avec la prime a l'emploi mensuelle et pole emploi ou rsa
tu peux cumuler plusieurs trucs faire des combos
et je connais à peu près tous les profils cités (j'en ai croisés)
j'ai meme une copine qui était salariée mais en fait était payer en auto entrpreneur
enfin bon soit imaginatif la liste est encore longue je pense
chomage /
rsa /
etudier (fac avec bourses du crous ) ou formation avec financement de la région de l'afpa ou que sais je /
vivre en autosuffisance (potager + baraque achetée une bouchée de pain par exemple) /
monter sa boite (exemple racheter un bar ou monter un petit snack pas besoin de fortunes avec un credit c'est jouable) /
travail au noir ou cheque emplois service /
vente d'armes ou de drogues /
vivre en reparant des bagnoles et autres objets et les revendant sur le bon coin /
trader en compte propre /
squatteur (dans des squats ou chez des amis)/
vivre dans la zad de notre dames des landes ou dans la rue / camionnette/ camion /
faire plein de gosses pour toucher la caf /
trouver une femme-homme qu'on aime (ou pas ) riche ou aisé(e) /
acheter un bateau vivre dedans /
salarié en interim (beaucoup plus libre ) en cumul avec la prime a l'emploi mensuelle et pole emploi ou rsa
tu peux cumuler plusieurs trucs faire des combos
et je connais à peu près tous les profils cités (j'en ai croisés)
j'ai meme une copine qui était salariée mais en fait était payer en auto entrpreneur
enfin bon soit imaginatif la liste est encore longue je pense
Si en dix minutes tu as pu sortir une liste comme ça Chad, je pense qu'en une vie de recherche on peut finir par se trouver une alternative raisonnable au salariat
Il y a toujours pas une, mais plusieurs alternatives à chaque situation. Beaucoup plus même que nous sommes capables de l'imaginer.
Alors oui Pierre, tout le monde n'a pas les mêmes chances et certaines situations sont particulièrement difficiles et contraignantes.
Il y a des choix très risqués, et il y a des choix plus confortables. Mais à la fin, il y a toujours des choix.
Et concernant le salariat, je pense que dans certaines situations ou pour certaines personnes, il peut s'agir d'un excellent choix. J'ai déjà été salarié, et je ne le regrette pas du tout. J'ai des amis qui adorent être salariés, vraiment, ils ne changeraient de statut pour rien au monde.
Seulement, si tu es malheureux dans ton travail, si le principe même du salariat est contraire à la manière dont tu souhaites vivre ta vie, sois honnête envers toi même. Tu n'es pas prisonnier, tu as choisi d'être salarié et tu peux choisir d'arrêter de l'être. Tu te persuades peut être qu'il n'y a aucune alternative, mais la vérité c'est qu'on crée ses propres opportunités. Aussi difficile et sans espoir que puisse paraître une situation, il est toujours possible de faire autrement. Toujours.
Au fond, c'est plutôt simple. La liberté c'est comme le loto, 100 % des gagnants ont tenté leur chance.
Il y a toujours pas une, mais plusieurs alternatives à chaque situation. Beaucoup plus même que nous sommes capables de l'imaginer.
Alors oui Pierre, tout le monde n'a pas les mêmes chances et certaines situations sont particulièrement difficiles et contraignantes.
Il y a des choix très risqués, et il y a des choix plus confortables. Mais à la fin, il y a toujours des choix.
Et concernant le salariat, je pense que dans certaines situations ou pour certaines personnes, il peut s'agir d'un excellent choix. J'ai déjà été salarié, et je ne le regrette pas du tout. J'ai des amis qui adorent être salariés, vraiment, ils ne changeraient de statut pour rien au monde.
Seulement, si tu es malheureux dans ton travail, si le principe même du salariat est contraire à la manière dont tu souhaites vivre ta vie, sois honnête envers toi même. Tu n'es pas prisonnier, tu as choisi d'être salarié et tu peux choisir d'arrêter de l'être. Tu te persuades peut être qu'il n'y a aucune alternative, mais la vérité c'est qu'on crée ses propres opportunités. Aussi difficile et sans espoir que puisse paraître une situation, il est toujours possible de faire autrement. Toujours.
Au fond, c'est plutôt simple. La liberté c'est comme le loto, 100 % des gagnants ont tenté leur chance.
Hello Paperbag
Y'a plein d'avantages à être salarié je n'ai jamais dit le contraire
Mon post me semblait pourtant complet.
Et j'ai toujours été actif et débrouillard, je m'adapte.
Mais là c'était un débat, donc pour essayer de creuser un peu différentes perceptions et avis, sinon pas d'intérêts
Bises
Donc j'ai bien deux perceptions, je ne m'enferme surtout pas dans une seule perception, ça serait simpliste mais forcément trop limité..trader-incognito a écrit :chez moi deux perceptions
Y'a plein d'avantages à être salarié je n'ai jamais dit le contraire
Mon post me semblait pourtant complet.
Et j'ai toujours été actif et débrouillard, je m'adapte.
Mais là c'était un débat, donc pour essayer de creuser un peu différentes perceptions et avis, sinon pas d'intérêts
Bises
lol tu sais plusieurs fois dans ma vie je me suis posé pour savoir ce que j'allais faire (recul ...)Si en dix minutes tu as pu sortir une liste comme ça Chad, je pense qu'en une vie de recherche on peut finir par se trouver une alternative raisonnable au salariat
et les alternatives au salariat ça fait 15 ans que je les envisagent
j'ai le meme age que T-i
super post Paperbag très juste
la vie c'est des choix tout le temps partout
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