c'est auusi pour que je parlais des moins de 25 les oubliés du systeme social
chad
C'est pour cela que l'on dit "largesses" chad on vise large et les graines parviennent où elles peuvent, pas toujours au bon endroit, on vise large
C'est pour cela que l'on dit "largesses" chad on vise large et les graines parviennent où elles peuvent, pas toujours au bon endroit, on vise large
oui mais c'est mal conçu et mal réparti
enfin bref
enfin bref
Tout cela est très complexe et il n'y a pas de solution simple et manichéenne.
Les emplois aidés sont dans l'ensemble une solution plutôt vicieuse. Pour ceux qui les exercent ce sont souvent des sparadraps qui ne favorisent guère la réintégration dans des jobs non-aidés, on temporise, on affiche.
D'un autre côté ces emplois ont été créés à grande majorité dans du para-public et du social.
"Ces emplois sont principalement créés dans le secteur non marchand pour des activités ayant une utilité sociale avérée." (ministère du travail, "emploi d'avenir" sic)
On a de ce fait progressivement créé une double-dépendance, à la fois chez les demandeurs d'emploi et dans les secteurs aidés, qui se trouvent être justement les secteurs très sensibles de l'action sociale.
Or c'est à la fois un pis-aller pour les personnes soutenues et une subvention qui ne porte pas son nom aux secteurs concernés qui vivent ainsi sous perfusion. D'une part et de l'autre ce n'est pas sain mais totalement artificiel.
Pour autant, assécher trop rapidement la solution actuelle, mise à part l'impopularité de l'action, crée de nombreuses situations de rupture de service (et cela ne concerne pas que les restos du coeur, on parle de cela car ils sont médiatiques et populaires, c'est sans compter nombre de cas similaires mais plus "obscurs").
D'un point de vue macro , cela contraint les acteurs à s'adapter rapidement. C'est un peu la méthode "je te jette dans la piscine, débrouille toi pour flotter". Cela peut marcher mais il y a toujours une part de casse et c'est sans conteste brutal.
Ainsi la réduction immédiate d'un tiers des emplois aidés (150 000 sur 459 000), sans mise en oeuvre en parallèle de réflexions et d'actions de fond à la fois pour les demandeurs et pour les secteurs aidés, ne peut créer que des manques, parfois spectaculaires et médiatiques. Avoir raison sur le fond, vouloir agir vite et fort, n'exonère pas de faire les choses avec précaution.
Il me semble que c'est aux préfets de région de devoir jouer les arbitres quant aux activités qui seront shortées. Bonjour le job...
Sur de très nombreux sujets, cela va être le problème de ce gouvernement réformateur.
Savoir ce qu'il faut faire pour une amélioration d'ensemble sur le moyen ou long terme tout en sachant qu'à court terme l'application du remède est douloureuse.
Cela requiert une sacré confiance pour avaler la pilule.
Un jour, j'ai co-fondé à titre bénévole une boîte dans le domaine social, mon but était d'offrir de nombreux jobs aux personnes souffrant de handicap. Au bout d'un an, on avait créé 22 emplois, mais je me suis fait jeté par mes deux associés, je leur mettais la pression pour monter le niveau d'exigence et de prestations, voie d'accès pour développer bien plus d'opportunités d'emplois. Malheureusement ce type de discours a énormément de mal à être entendu dans les organisations à but social où c'est avant tout l'empathie qui est souveraine, le reste étant aisément qualifié en vrac de mesquin, business, prédateur, sans coeur etc
Un an plus tard, les deux autres associés m'ont chacun rappelé, ils s'étaient fâchés, ils pensaient tous deux que mes diagnostics d'alors avaient été justes. La boîte a survécu, elle a même été lauréate de divers prix régionaux et nationaux, avec aujourd'hui 48 postes, mais je sais que c'est vraiment très inférieur au potentiel, ils n'ont pas pu/su se réformer, la voie leur était trop douloureuse et en apparence contre-nature, ils se sont contentés de la facilité et du confort de l'existant.
Je trouve que Macron a du courage de s'attaquer à de multiples fronts simultanément, et d'ailleurs nous n'en sommes qu'à l'introduction. Il n'hésite pas à aller à contre-sens et tente de s'attaquer aux racines des maux s'il l'estime bénéfique sur le long-terme (par exemple affirmer qu'immigration et changement climatique sont liés au risque de déclencher les rires) cela je ne l'avais encore jamais vu à l'oeuvre à cette échelle. Malgré cela, je trouve également sur les emplois aidés que la pente est trop raide même si la direction est bonne, et cela manque d'accompagnement circonstancié.
Il va probablement y avoir usage de rustines et correctifs là où c'est trop chaud afin de maintenir le cap.
NB: on ne peut pas remettre en cause un dispositif globalement très bénéfique au prétexte qu'il y ait des abus, c'est toujours le cas quel que soit le sujet et il est plus utile de le tolérer.
Les emplois aidés sont dans l'ensemble une solution plutôt vicieuse. Pour ceux qui les exercent ce sont souvent des sparadraps qui ne favorisent guère la réintégration dans des jobs non-aidés, on temporise, on affiche.
D'un autre côté ces emplois ont été créés à grande majorité dans du para-public et du social.
"Ces emplois sont principalement créés dans le secteur non marchand pour des activités ayant une utilité sociale avérée." (ministère du travail, "emploi d'avenir" sic)
On a de ce fait progressivement créé une double-dépendance, à la fois chez les demandeurs d'emploi et dans les secteurs aidés, qui se trouvent être justement les secteurs très sensibles de l'action sociale.
Or c'est à la fois un pis-aller pour les personnes soutenues et une subvention qui ne porte pas son nom aux secteurs concernés qui vivent ainsi sous perfusion. D'une part et de l'autre ce n'est pas sain mais totalement artificiel.
Pour autant, assécher trop rapidement la solution actuelle, mise à part l'impopularité de l'action, crée de nombreuses situations de rupture de service (et cela ne concerne pas que les restos du coeur, on parle de cela car ils sont médiatiques et populaires, c'est sans compter nombre de cas similaires mais plus "obscurs").
D'un point de vue macro , cela contraint les acteurs à s'adapter rapidement. C'est un peu la méthode "je te jette dans la piscine, débrouille toi pour flotter". Cela peut marcher mais il y a toujours une part de casse et c'est sans conteste brutal.
Ainsi la réduction immédiate d'un tiers des emplois aidés (150 000 sur 459 000), sans mise en oeuvre en parallèle de réflexions et d'actions de fond à la fois pour les demandeurs et pour les secteurs aidés, ne peut créer que des manques, parfois spectaculaires et médiatiques. Avoir raison sur le fond, vouloir agir vite et fort, n'exonère pas de faire les choses avec précaution.
Il me semble que c'est aux préfets de région de devoir jouer les arbitres quant aux activités qui seront shortées. Bonjour le job...
Sur de très nombreux sujets, cela va être le problème de ce gouvernement réformateur.
Savoir ce qu'il faut faire pour une amélioration d'ensemble sur le moyen ou long terme tout en sachant qu'à court terme l'application du remède est douloureuse.
Cela requiert une sacré confiance pour avaler la pilule.
Un jour, j'ai co-fondé à titre bénévole une boîte dans le domaine social, mon but était d'offrir de nombreux jobs aux personnes souffrant de handicap. Au bout d'un an, on avait créé 22 emplois, mais je me suis fait jeté par mes deux associés, je leur mettais la pression pour monter le niveau d'exigence et de prestations, voie d'accès pour développer bien plus d'opportunités d'emplois. Malheureusement ce type de discours a énormément de mal à être entendu dans les organisations à but social où c'est avant tout l'empathie qui est souveraine, le reste étant aisément qualifié en vrac de mesquin, business, prédateur, sans coeur etc
Un an plus tard, les deux autres associés m'ont chacun rappelé, ils s'étaient fâchés, ils pensaient tous deux que mes diagnostics d'alors avaient été justes. La boîte a survécu, elle a même été lauréate de divers prix régionaux et nationaux, avec aujourd'hui 48 postes, mais je sais que c'est vraiment très inférieur au potentiel, ils n'ont pas pu/su se réformer, la voie leur était trop douloureuse et en apparence contre-nature, ils se sont contentés de la facilité et du confort de l'existant.
Je trouve que Macron a du courage de s'attaquer à de multiples fronts simultanément, et d'ailleurs nous n'en sommes qu'à l'introduction. Il n'hésite pas à aller à contre-sens et tente de s'attaquer aux racines des maux s'il l'estime bénéfique sur le long-terme (par exemple affirmer qu'immigration et changement climatique sont liés au risque de déclencher les rires) cela je ne l'avais encore jamais vu à l'oeuvre à cette échelle. Malgré cela, je trouve également sur les emplois aidés que la pente est trop raide même si la direction est bonne, et cela manque d'accompagnement circonstancié.
Il va probablement y avoir usage de rustines et correctifs là où c'est trop chaud afin de maintenir le cap.
NB: on ne peut pas remettre en cause un dispositif globalement très bénéfique au prétexte qu'il y ait des abus, c'est toujours le cas quel que soit le sujet et il est plus utile de le tolérer.
Burzum, ton argument est pervers.Burzum a écrit :Mais Takapoto, au lieu de tirer à boulet rouge sur Macron, rappelle toi d'où on vient .
Rappelle toi cette présidentielle, le premier tour , avec l'affaire Fillon, la montée de Mélanchon et le 2 eme tour Macron VS Lepen.
On vient de tellement de tellement bas et on a frôlé la cata , on ne peut pas se permettre d'être difficile , notre démocratie est malade et à bout de souffle.
Tu nous refais un remake de la lutte des classes, c'est désuet aujourd'hui, on est plus dans la lutte communautaire.
Si le pire a été évité lors des dernières élections, ce n’est pas grâce à Macron mais grâce à mon vote.
Mon vote est précieux, je l’ai confié à cette personne et j’entends bien qu’il ne l’utilise pas n’importe comment.
Certains, ce sur forum, sont persuadés d’être les seules dépositaires du savoir économique et nous assènent une parole qui se veut définitive. J’aimerais bien qu’elles saupoudrent ce sentiment d’un peu d’humilité. Ce n'est pas parce qu'on comprend comment vole un avion qu'on sait le piloter.
Quelque soit le type de société, il y aura toujours des laissés pour compte.
S’en occuper, les prendre en charge n’est pas une question d’économie ni de lutte des classes mais d’humanité.
Et si Jupiter fait des c*nneries, et bien on le dit !
Est ce vraiment une notion d'humanité ???
je n'en suis pas sur , c'est avant tout une notion de charité chrétienne, qui aujourd'hui est devenue une charité etatique , les régimes communistes étant passés par là.
Ce qui me gêne c'est ou se trouve la limite à l'aide dispensée ?
ton discour, au grée des files que tu crées , glisse doucement et surement vers un système soviétique enfin de compte. Vers l'illusion qu'il dégage , prise en compte de tous et tous au même niveau. et on sait tous qu'il n'en n'est rien , c'est une chimère.
je n'en suis pas sur , c'est avant tout une notion de charité chrétienne, qui aujourd'hui est devenue une charité etatique , les régimes communistes étant passés par là.
Ce qui me gêne c'est ou se trouve la limite à l'aide dispensée ?
ton discour, au grée des files que tu crées , glisse doucement et surement vers un système soviétique enfin de compte. Vers l'illusion qu'il dégage , prise en compte de tous et tous au même niveau. et on sait tous qu'il n'en n'est rien , c'est une chimère.
Mais il n'y a pas plus individualiste que moi !!!
Burzum, avec ton interprétation, tu me démontre que mes propos n'ont pas été clairs.
Je tâcherais de mieux m'exprimer.
Je tâcherais de mieux m'exprimer.
Oui le communisme dans sa philosophie n'est pas le plus mauvais des systèmes , il renvoie au société matriarcale, sédentaire, agricole, tel que Summer ou Jericho.
Tout les individus trouvant une fonction au sein de la Cité
takapoto > individualiste ??? , vois tu , ça ne transparait pas trop , en lisant tes files sur les APL et autres , je me dis , voici un pro Mélanchon qui s'est trompé de bulletin de vote et qui le fait savoir
Tout les individus trouvant une fonction au sein de la Cité
takapoto > individualiste ??? , vois tu , ça ne transparait pas trop , en lisant tes files sur les APL et autres , je me dis , voici un pro Mélanchon qui s'est trompé de bulletin de vote et qui le fait savoir
Ben non...
Je ne connais pas bien ce qu'est le communisme, mais de ce que tu dégages dans ton expression je crois que tu vises juste, un monde commun sera sûrement l'avenir de l'évolution quand on arrêtera les quêtes de puissance et de pouvoir, de désir de supériorité de l'un sur l'autre...xxxx a écrit :Le système communiste est le meilleur système possible. Simplement il n'est pas adapté à l'homme actuel.
Une forme de liberté égalité fraternité mais avec des humains apaisés et intelligents
Mais effectivement c'est futuriste, en attendant la compétotoon et le besoin primaire de certain de vouloir imposer le "Moi je fais plus d'efforts donc les autres doivent être sous mes talons" est très ancré et tellement visible c'est presque partout en prenant le temps de regarder, mais pourtant on a plus ou moins crée de bonnes branches comme le sport pour évacuer positivement ces besoins de dominations de dire "Je suis meilleur que les les autres", et d'autres branches elles négatives ont fait qu'on a envahis des pays en laissant libre-court à ces instincts plaisirs sauvages pour exprimer leur sentiment de supériorité insatiable.
Pour utiliser des termes que je lis, de mon côté je me demande où se situe la limite de cette mentalité de volonté de supériorité des uns sur les autres, la peur d'être écrasé qui fait qu'on essaye d'écraser autrui. Manger ou être mangé, sans état c'est le retour à la sauvagerie assurée.
L'exemple de cette course aveugle des humains vers la quête de liberté individuelle en voulant combattre l'environnement et qui peut vite dériver vers l'écrasement de l'autre, alors qu'on est plus au Neandertal, donc c'est triste mais oui, la paix et le bien commun ce sera pas pour demain, les esprits sont trop pris dans cette course, les peurs sont trop grandes, et les dominations sont un exutoire qui devient un plaisir qui ne laissent peu de chance actuelle à l'évolution "d'humanité".
Pour le coup Burzum ça serait intéressant que tu livres "ta" définition d'humanité, pas celle des livres ou des auteurs ou des époques diverses, mais la tienne que tu as dans le cœur, car comme tu es un penseur libre et pas un suiveur d'une norme sociétale, tu t'en es toujours défendu je suis sûr que j'aurais quelque chose à apprendre, comme tout lecteur curieux, je n'en doute pas.
Sur ce, cette File au moins fait surgir les complications de l'époque encore qui n'ont pas reçu de solutions adéquate, donc tout est à faire.
ah bah voilà le niveau des posts décolle
merci les amis
moi je vais m'abstenir du coup mdr
merci les amis
moi je vais m'abstenir du coup mdr
Heu...les amis ! je voudrais pas jouer les fouteurs de m¨¨rde, mais l'ideologie communiste afait combien de dizaines de millions de morts....Merci Staline, mäo, Pol Poth et les autres non ?
ces les dérives des dirigeants pas l'idéologie de base
enfin je crois
enfin je crois
Quand tous les dirigeants qui se réclament de la même idéologie ont la même dérive, il faut commencer à se poser des questions sur l'idéologie elle même (inadaptée aux humains actuels ou intrinsèquement défaillante au choix).
J'ai pas l'impression que ceux qui se prétendent de vrais pilotes de lignes aient réussis jusqu'à présent à faire décoller l'avion.a écrit :Quant à l'image de l'avion et du pilote, pour ce qui est de la ligne française, pour la compréhension du système ce serait peut-être pas mal de ne pas confondre le jeune et beau stewart qu'on nous a imposé avec les vrais pilotes de ligne : :musique:
Le pilote Chirac, un vrai pro à l'ancienne, à réussi à faire croire qu'il allait décoller sur la fracture sociale pour finalement revenir au parking avec Juppé et sa rigueur.
Le pilote Sarkozy qu'on pouvait croire expérimenté après avoir traîné dans diverses compagnies et avoir verrouillé son équipage dans un bel hôtel avec de nombreuses chambres et beaucoup de monde: malgré plusieurs tours de piste et beaucoup de bruits et de crissements de pneus sur ses virages à gauche puis ses virages en épingle très à droite il est revenu au parking pour, dit-il, pouvoir mieux repartir faire un tours de piste. La tour de contrôle l'a finalement arrêté.
Le pilote Hollande il fleurait bon le pépère sympa très proche des passagers (c'était très bien ça) il leur ressemblait beaucoup d'ailleurs mais on pilote pas un jet moderne comme un quadrimoteur à hélices où tout est une question de dosage et d'équilibre entre les moteurs. Il a jamais pu avancer, certains ont même cru voir l'avion reculer!
Alors il y a eu un concours de pilotes avec une pilote qui prétendait pouvoir faire décoller l'avion si on virait les passagers étrangers, un pilote qui pensais que la solution était de donner tous les mois des billets gratuits à tous les passagers pour qu'ils puissent voyager quand ils voulaient autant de fois qu'ils voulaient et que ça aller relancer ainsi le trafic aérien pour tous. Un autre pilote très expérimenté a voulu vendre l'avion pour en acheter un plus solide et moins grand car il n'y aurait pas besoin de prendre autant de passagers, beaucoup pouvant rester à terre. La tour de contrôle ne lui a pas permis de prendre les commandes quand elle a su qu'il prenait son % sur la vente de l'avion.
Enfin un dernier pilote expérimenté mais un peu étrange voulait rassembler les passagers en assemblée pour décider de virer les compagnies et même la tour de contrôle car les passagers pourront s'en occuper bien mieux et les gens seront ainsi plus heureux.
Et puis il y a eu un petit arrivant d'on ne sais où qui viens se présenter avec sa maîtresse d'école et qui dit que lui il promet rien mais qu'il fera décoller l'avion en appliquant toutes les règles de bases, le b-a-ba du pilotage même qu'il a déjà très bien piloté un petit avion à pédale. Le petit parle bien, regarde les gens dans les yeux et sourit. L'équipage, les passagers et même la tour de contrôle n'avaient jamais vu ça et se sont dit oui, le petit peut y arriver et ça sera de toutes façons pas pire que les autres.
Ainsi Futures fait et le petit mis l'avion en bout de piste, attendit l'autorisation de la tour de contrôle pour décoller et mis les gaz à fond. L'avion s'ébroue puis avance et accélère et accélère ...
Ah! il faudra attendre un peu pour savoir s'il va réussir à décoller ou s'écraser en bout de piste ou bien freiner fort pour, comme les autres, revenir au parking.
En en attendant, si on voit qu'il mord trop à droite sur le bas-coté, on ne va pas se gêner pour le dire...
excellent Sobear
en tous cas Sarko il s'est fait faire un bel avion (AIRFORCE 1 à la française)
en tous cas Sarko il s'est fait faire un bel avion (AIRFORCE 1 à la française)
Je crois qu'il y en a beaucoup qui s'en fichent, pourvu qu'ils aient les plateaux repas et les vidéos !a écrit :Enfin, l'important est que chaque passager est la certitude qu'il a choisi la destination.
La vidéo "perlimpimpim" est monstrueuse
je me suis bien marré
je me suis bien marré