affectif modéré c'est moi en tous cas
+1 lePetit
Pour celles et ceux qui s'intéressent au sujet, peut être connaissez vous l'étude de Terman, prof de psycho à Stanford'
Elle est absolument remarquable par deux aspects, la taille de la cohorte étudiée, 1500 personnes, et sa durée, 77 années.
Pour en savoir plus, voici une introduction
https://www.scienceshumaines.com/des-enfants-surdoues-70-ans-apres_fr_10203.html
Cela permettra de nuancer quelques hypothèses émises, notamment celle, à vous lire, d'une quasi malédiction attachée à de meilleures dispositions cognitives.
Par ailleurs, nous avons dans notre pays la chance relative de disposer de nombreuses terres d'accueil à cortex, même hypertrophié. (Bémol: sous condition qu'il n'y ait pas eu échec scolaire initial)
Selon les domaines d'intérêt et dispositions spécifiques il y aura normale sup, médecine, x, hec, archi etc etc
Et pour revenir à l'affirmation initiale, je la trouve particulièrement biaisée xxxx, probablement un écho émotionnel.
Pour avoir traîné et usé mes guêtres dans deux grands groupes etc, j'ai constaté que l'on y trouvait à peu de choses près un échantillon représentatif ´de nous'.
C'est à dire des femmes et des hommes brillants (bien plus fréquemment que dans les pme, c'est un fait et non un jugement), des gens intelligents, des médiocres et des abrutis ou selon un autre angle de vue des empathiques, des caculateurs, des cyniques, des pervers, des personnes équilibrées ou biencore des courageux et des pleutres etc, on peut varier les dimensions...
Je considère, point de vue exigeant, que la première manifestation de l'intellgence est de savoir choisir son environnement, en l'occurence ici sa boîte, le contenant et le contenu.
La plupart des grosses entreprises ne peuvent que partiellement s'adapter, compte tenu de leur caractère hétérogène, inhérent à la masse. C'est donc l'inverse qui doit se produire, du moins pendant un certain temps, le temps d'atteindre les strates supérieures, celles qui façonnent et sont moins façonnées. (Quoique).
Sinon c'est effectivement changer ou souffrir. Quoiqu'il en soit, l'environnement ne s'adaptera que très rarement à un individu, c'est l'inverse, certes Darwinien, qui l'emporte.
A titre perso, j'avoue cibler spécifiquement les profils ´´abîmés' ou simplement déconsidérés par l'environnement, on recrute ainsi des sur ET des sous diplômés, les premiers pouvant même se retrouver sous la responsabilité des seconds (en l'acceptant comme chose naturelle !!) et bien sûr vice versa.
Pour celles et ceux qui s'intéressent au sujet, peut être connaissez vous l'étude de Terman, prof de psycho à Stanford'
Elle est absolument remarquable par deux aspects, la taille de la cohorte étudiée, 1500 personnes, et sa durée, 77 années.
Pour en savoir plus, voici une introduction
https://www.scienceshumaines.com/des-enfants-surdoues-70-ans-apres_fr_10203.html
Cela permettra de nuancer quelques hypothèses émises, notamment celle, à vous lire, d'une quasi malédiction attachée à de meilleures dispositions cognitives.
Par ailleurs, nous avons dans notre pays la chance relative de disposer de nombreuses terres d'accueil à cortex, même hypertrophié. (Bémol: sous condition qu'il n'y ait pas eu échec scolaire initial)
Selon les domaines d'intérêt et dispositions spécifiques il y aura normale sup, médecine, x, hec, archi etc etc
Et pour revenir à l'affirmation initiale, je la trouve particulièrement biaisée xxxx, probablement un écho émotionnel.
Pour avoir traîné et usé mes guêtres dans deux grands groupes etc, j'ai constaté que l'on y trouvait à peu de choses près un échantillon représentatif ´de nous'.
C'est à dire des femmes et des hommes brillants (bien plus fréquemment que dans les pme, c'est un fait et non un jugement), des gens intelligents, des médiocres et des abrutis ou selon un autre angle de vue des empathiques, des caculateurs, des cyniques, des pervers, des personnes équilibrées ou biencore des courageux et des pleutres etc, on peut varier les dimensions...
Je considère, point de vue exigeant, que la première manifestation de l'intellgence est de savoir choisir son environnement, en l'occurence ici sa boîte, le contenant et le contenu.
La plupart des grosses entreprises ne peuvent que partiellement s'adapter, compte tenu de leur caractère hétérogène, inhérent à la masse. C'est donc l'inverse qui doit se produire, du moins pendant un certain temps, le temps d'atteindre les strates supérieures, celles qui façonnent et sont moins façonnées. (Quoique).
Sinon c'est effectivement changer ou souffrir. Quoiqu'il en soit, l'environnement ne s'adaptera que très rarement à un individu, c'est l'inverse, certes Darwinien, qui l'emporte.
A titre perso, j'avoue cibler spécifiquement les profils ´´abîmés' ou simplement déconsidérés par l'environnement, on recrute ainsi des sur ET des sous diplômés, les premiers pouvant même se retrouver sous la responsabilité des seconds (en l'acceptant comme chose naturelle !!) et bien sûr vice versa.
des empathiques, des caculateurs, des cyniques, des pervers, des personnes équilibrées ou biencore des courageux et des pleutres etc, on peut varier les dimensions...
Pour les joueurs
Un test sympa et plutôt complet, le kangourou des maths
http://www.mathkang.org/default.html
On peut commencer par faire le niveau de la classe de cinquième dans le temps imparti. Ce n'est que de l'arithmétique et de la logique, pas beson de connaître des trucs et théorèmes sophistiqués, le but de mesurer les aptitudes, non pas les connaissances.
Pour un périmètre plus large, les tests tage mage. Il y a aussi des bouquins de tests de recrutement, certains sont bien faits.
Un test sympa et plutôt complet, le kangourou des maths
http://www.mathkang.org/default.html
On peut commencer par faire le niveau de la classe de cinquième dans le temps imparti. Ce n'est que de l'arithmétique et de la logique, pas beson de connaître des trucs et théorèmes sophistiqués, le but de mesurer les aptitudes, non pas les connaissances.
Pour un périmètre plus large, les tests tage mage. Il y a aussi des bouquins de tests de recrutement, certains sont bien faits.
Vous êtes un douillet affectif modéré ...
Y'a des question qui était franchement bof ... mais c'est toujours marrant de se replonger dans ce genre de test ... merci chad.
---
Merci Euraed pour ton éclairage (très souvent en contre-pie pour nous remettre un peu de lumière).
En te lisant je pense à la "montée" en management dans une entreprises. Ce que je constate c'est que bien souvent les strate 1 et 2 du management (en partant du bas) ne sont , bien souvent, que des souffres douleurs coincé entre le marteau et l'enclume (la direction et les employés). Là où le "management" / "montée en grade" commence à être plaisant c'est quand tu te repproche de la direction et que tu as un vrai budget, une vrai indépendance et que tu faits de la stratégie.
Bien sur comme toute pyramide, plus on monte moins il y a de place, plus elle sont convoité et le travers "politique" peut tout gacher.
Y'a des question qui était franchement bof ... mais c'est toujours marrant de se replonger dans ce genre de test ... merci chad.
---
Merci Euraed pour ton éclairage (très souvent en contre-pie pour nous remettre un peu de lumière).
En te lisant je pense à la "montée" en management dans une entreprises. Ce que je constate c'est que bien souvent les strate 1 et 2 du management (en partant du bas) ne sont , bien souvent, que des souffres douleurs coincé entre le marteau et l'enclume (la direction et les employés). Là où le "management" / "montée en grade" commence à être plaisant c'est quand tu te repproche de la direction et que tu as un vrai budget, une vrai indépendance et que tu faits de la stratégie.
Bien sur comme toute pyramide, plus on monte moins il y a de place, plus elle sont convoité et le travers "politique" peut tout gacher.
Hummm pour avoir travaillé chez renault et Elf Aquitaine à l’epoque et fréquenté formé les élites de ces boites si ce n'est les Pdgs c’est loin d’être aussi bien et rose que tu le crois. De la pression ils en ont une sacrée dose et ils veulent tous se bouffer entre eux.
Je suis d'accord. leur position deivent très "politisé" mais au moins leur taf quotidien n'est pas de gérer les bobo de Mme michu mais bien de faire avancer plusieurs centaine de personne vers un objectif donnée ... et de travailler à la stratégie global de la boite.
c'est plus intéressant c'est sur mais ce n'est pas non plus des places en or
J'ai en exemple récent le big chef de ma division. Quand tu regardes ses comptes twitter/FB/Linkedin : il mange il dort il vit pour la boite.
D'un autre côté vue ce qu'il nous coute ... c'est bien le minimum (une jolie mercedes coupé sportive en voiture de fonction entre autre)
D'un autre côté vue ce qu'il nous coute ... c'est bien le minimum (une jolie mercedes coupé sportive en voiture de fonction entre autre)
Je connais un gugus qui est au board mondial d'une multinationale, il m'a avoué qu'il se servait de moins de 3% de son cerveau (qui est fort brillant) ...
tu sais quand tu commences à vouloir faire des choses, tu es bloqué bien souvent par la réglementation, directives etc et tu abandonnes.
Essaye d'ouvrir un Hedge Fund... tu renonces
Essaye d'ouvrir un Hedge Fund... tu renonces
ça sent le vécu
Je me rappel d'un patron d'une PME (environ 50 personnes ) : je consacre 15% de mon temps à mon role de PDG le reste du temps je remplace mes collaborateurs ou je fais des missions qui ne relève pas du rôle du PDG ...
Je me rappel d'un patron d'une PME (environ 50 personnes ) : je consacre 15% de mon temps à mon role de PDG le reste du temps je remplace mes collaborateurs ou je fais des missions qui ne relève pas du rôle du PDG ...
- falex
Entre Le marteau et l'enclume... c'est très vrai selon mon propre vécu en entreprises.
Le job de Middle-manager est difficile d'un point de vue humain. Certains alors ne peuvent ou ne veulent pas gérer les contradictions, les tensions internes.
Selon le contexte, cela peut réellement se transformer en chemin de croix.
C'est aussi le poste, l'étape intermédiaire qui grâce aux premières difficultés managériales rencontrées va permettre d'identifier ce que l'on appelle les hauts potentiels.
Dans une logique d'entreprise et de carrière, ce sont les jobs reconnus difficiles et à risque, qui permettront à certain(e)s de s'extraire vers le haut. L'idée est basique (et brutale diront à raison certains), la facilité engendre la médiocrité.
On peut donc le voir comme une sorte de parcours initiatique... qui sera répété aux niveaux suivants.
Sélection Pyramidale avec niveau de difficulté croissant
On ne peut pas dire qu'il y a des profils uniques gagnants, ici l'un des objectifs de tout participant sera de décoder la culture des dirigeants.
Néanmoins haut QI ou pas, les profils émotifs ont de grands risques de se faire laminer.
C'est effectivement une compétotoon pour l'accès à la canopée.
Et parmi les gagnants, la probabilité sera forte d'y trouver d'habiles prédateurs et communicants.
Les plus puissants et influents n'auront pas nécessairement les QI (au sens Stanford Binet) et les diplômes les plus élevés, néanmoins un "QI élevé" associé à d'autres qualités comportementales mobiles seront de sérieux atouts.
@Benoist
Je parle de la majorité des grandes entreprises, les deux cas cités sont à part en raison de la forte implication de l'état.
Un jour, il y a longtemps, j'avais été approché pour un job à la direction stratégique d'un très grand groupe étatique. J'ai décliné poliment, pas le goût pour des tsunamis de frustration et des noeuds additionnels et inutiles au cerveau.
Je connais un jeune de 19 ans qui vient de faire un choix que je trouve admirable, alors que son niveau d'excellence en prépa l'amenait tout droit vers HEC, il a tout quitté pour suivre une voie disons 'manuelle'
À son âge il sait dèjà les dangers de l'ennui et du contre-nature et s'en prémunit.
Accéder à un job de direction n'est certainement pas une panacée, ni pour aucun autre job, cela ne le devient qu'à condition d'avoir de réelles aspirations pour le sujet. Toutes celles et ceux qui s'engagent dans cette voie par simple accident, quête d'argent, besoin de reconnaissance sociale etc courent quelques risques, tels qu'un sentiment de vacuité, d'échec, de manipulation.
Les objets n'ont souvent que le sens qu'on veut bien leur attribuer. Sans projection intense il n'y a plus consistance.
Cela devient nul et cela se voit.
Mais pas de corrélation avec les hauts QI , simplement ils en auront une conscience plus aigüe
Entre Le marteau et l'enclume... c'est très vrai selon mon propre vécu en entreprises.
Le job de Middle-manager est difficile d'un point de vue humain. Certains alors ne peuvent ou ne veulent pas gérer les contradictions, les tensions internes.
Selon le contexte, cela peut réellement se transformer en chemin de croix.
C'est aussi le poste, l'étape intermédiaire qui grâce aux premières difficultés managériales rencontrées va permettre d'identifier ce que l'on appelle les hauts potentiels.
Dans une logique d'entreprise et de carrière, ce sont les jobs reconnus difficiles et à risque, qui permettront à certain(e)s de s'extraire vers le haut. L'idée est basique (et brutale diront à raison certains), la facilité engendre la médiocrité.
On peut donc le voir comme une sorte de parcours initiatique... qui sera répété aux niveaux suivants.
Sélection Pyramidale avec niveau de difficulté croissant
On ne peut pas dire qu'il y a des profils uniques gagnants, ici l'un des objectifs de tout participant sera de décoder la culture des dirigeants.
Néanmoins haut QI ou pas, les profils émotifs ont de grands risques de se faire laminer.
C'est effectivement une compétotoon pour l'accès à la canopée.
Et parmi les gagnants, la probabilité sera forte d'y trouver d'habiles prédateurs et communicants.
Les plus puissants et influents n'auront pas nécessairement les QI (au sens Stanford Binet) et les diplômes les plus élevés, néanmoins un "QI élevé" associé à d'autres qualités comportementales mobiles seront de sérieux atouts.
@Benoist
Je parle de la majorité des grandes entreprises, les deux cas cités sont à part en raison de la forte implication de l'état.
Un jour, il y a longtemps, j'avais été approché pour un job à la direction stratégique d'un très grand groupe étatique. J'ai décliné poliment, pas le goût pour des tsunamis de frustration et des noeuds additionnels et inutiles au cerveau.
Je connais un jeune de 19 ans qui vient de faire un choix que je trouve admirable, alors que son niveau d'excellence en prépa l'amenait tout droit vers HEC, il a tout quitté pour suivre une voie disons 'manuelle'
À son âge il sait dèjà les dangers de l'ennui et du contre-nature et s'en prémunit.
Accéder à un job de direction n'est certainement pas une panacée, ni pour aucun autre job, cela ne le devient qu'à condition d'avoir de réelles aspirations pour le sujet. Toutes celles et ceux qui s'engagent dans cette voie par simple accident, quête d'argent, besoin de reconnaissance sociale etc courent quelques risques, tels qu'un sentiment de vacuité, d'échec, de manipulation.
Les objets n'ont souvent que le sens qu'on veut bien leur attribuer. Sans projection intense il n'y a plus consistance.
Cela devient nul et cela se voit.
Mais pas de corrélation avec les hauts QI , simplement ils en auront une conscience plus aigüe
Oui Euraed comme tu dis entreprises d’Etat à l’époque. C’était disons... spécial
Ah mince euraed, tu réussis à me faire douter sur la suite de ma carrière.
J'avais postulé pour un psote de managère (bas de l'échelle) et je n'ai pas été retenue. Suite à cette expérience, j'en ai fait l'analyse et j'en étais arrivé à la conclusion : Heureusement car je me vois plus dans un poste d'expertise que de manager.
Et donc là où tu me fais douter, c'est pendant l'entretien, le recruteur me demande où je me vois dans le poste d'après (donc un coup après celui que je visais). Et là j'ai séché.
Pas de vision plus long-terme.
J'ai certainement tenté de concourir à ce poste, plus pars jeux que par réelle envie et projection. Mais maintenant que tu le dit ... je n'avais pas vu ça sous cet angle de pré-selection pour trouver ceux qui peuvent/veulent monter.
Après pour certains les parcours sont aussi biaisé. Nous avons une filière d’excellence, où certains employés sont repérés avant même d'être embauché (les critères ne sont pas clairs, le diplome en fait partie mais c'est loin d'être l'unique critère) et font partie d'un "club" des gars sur qui on pense que se sera les managers du CoDir de demain.
Quand vous voyez ça, vous vous dites immédiatement deux choses :
L'égalité des chances est très très loin d'être acquise dans le monde de l'entreprise
Qu'un plafond de verre existe que vous ni'riez jamais plus haut qu'un certain niveau ...
soit on accepter soit on dégage , chacun choisit.
J'avais postulé pour un psote de managère (bas de l'échelle) et je n'ai pas été retenue. Suite à cette expérience, j'en ai fait l'analyse et j'en étais arrivé à la conclusion : Heureusement car je me vois plus dans un poste d'expertise que de manager.
Et donc là où tu me fais douter, c'est pendant l'entretien, le recruteur me demande où je me vois dans le poste d'après (donc un coup après celui que je visais). Et là j'ai séché.
Pas de vision plus long-terme.
J'ai certainement tenté de concourir à ce poste, plus pars jeux que par réelle envie et projection. Mais maintenant que tu le dit ... je n'avais pas vu ça sous cet angle de pré-selection pour trouver ceux qui peuvent/veulent monter.
Après pour certains les parcours sont aussi biaisé. Nous avons une filière d’excellence, où certains employés sont repérés avant même d'être embauché (les critères ne sont pas clairs, le diplome en fait partie mais c'est loin d'être l'unique critère) et font partie d'un "club" des gars sur qui on pense que se sera les managers du CoDir de demain.
Quand vous voyez ça, vous vous dites immédiatement deux choses :
L'égalité des chances est très très loin d'être acquise dans le monde de l'entreprise
Qu'un plafond de verre existe que vous ni'riez jamais plus haut qu'un certain niveau ...
soit on accepter soit on dégage , chacun choisit.
Et quand même un conseil qui me semble utile pour les amis qui sont dans la situation décrite par xxxx.
Rejoindre une entreprise patrimoniale, certaines start up, cela redonnera du sens...
Ce Futures mon choix heureux il y a des années, un choix guidé par une envie de liberté et moins d'absurdités.
On se rassure, il y en a toujours un peu et d'ailleurs ne jamais oublier que l'on en sera parfois soi même la cause aux yeux des autres !
D'ailleurs Quand j'organise des référendums internes sur des questions collectives, Les scores d'adhésion sont de 85 à 90%, ce qui signifie aussi que 10% pensent que c'est mauvais, voire même assez idiot
Rejoindre une entreprise patrimoniale, certaines start up, cela redonnera du sens...
Ce Futures mon choix heureux il y a des années, un choix guidé par une envie de liberté et moins d'absurdités.
On se rassure, il y en a toujours un peu et d'ailleurs ne jamais oublier que l'on en sera parfois soi même la cause aux yeux des autres !
D'ailleurs Quand j'organise des référendums internes sur des questions collectives, Les scores d'adhésion sont de 85 à 90%, ce qui signifie aussi que 10% pensent que c'est mauvais, voire même assez idiot
Super QI : Franchement je ne pense pas me concernant et en tout objectivitié.
Il m'arrive parfois d'être bluffé par la vitesse de réaction, d'analyse et de réponse de certains collègues quand nous somme dans certains réunions "de groupe".
Et là je vois bien quel est mon niveau. En creux je vois aussi que certains cache leur jeux la plus part du temps (ce qui rejoint le propos de Florine).
Euraed, disons que la petite structure a cette avantage que le traaile n'est pas aussi découpé que dans une grande, donc le sens et la'action dans sa globalité sont plus tangibles. Elles ont aussi un management plsu direct, donc forcément soit ça passe soit ça casse et si ça passe ça peut être le pied.
L'inconvénient majeur que je trouve aux petite strucutre peux être de deux ordres : le manque de moyen, et le fait qu'une situation paradisiaque peut tourner au cauchemar sur un mauvais recrutement (ça arrive aussi dans les grosses strucutre, mais là tu peux fuir les Schtroumpf pour aller sur des terres moins polluer)
Les deux type de boites sont à faire et à connaitre, sinon c'est comme connaitre uniquement une seule langue ... on est vite limité à son paysage et il y a plein d'autre chose à découvrir ailleurs.
Il m'arrive parfois d'être bluffé par la vitesse de réaction, d'analyse et de réponse de certains collègues quand nous somme dans certains réunions "de groupe".
Et là je vois bien quel est mon niveau. En creux je vois aussi que certains cache leur jeux la plus part du temps (ce qui rejoint le propos de Florine).
Euraed, disons que la petite structure a cette avantage que le traaile n'est pas aussi découpé que dans une grande, donc le sens et la'action dans sa globalité sont plus tangibles. Elles ont aussi un management plsu direct, donc forcément soit ça passe soit ça casse et si ça passe ça peut être le pied.
L'inconvénient majeur que je trouve aux petite strucutre peux être de deux ordres : le manque de moyen, et le fait qu'une situation paradisiaque peut tourner au cauchemar sur un mauvais recrutement (ça arrive aussi dans les grosses strucutre, mais là tu peux fuir les Schtroumpf pour aller sur des terres moins polluer)
Les deux type de boites sont à faire et à connaitre, sinon c'est comme connaitre uniquement une seule langue ... on est vite limité à son paysage et il y a plein d'autre chose à découvrir ailleurs.
La société nous tire vers le bas. Médiocrité de la télévision, de la presse, de l'éducation, des représentants politiques. La médiocrité est montrée en exemple, les bons sont raillés et dévalorisés.
Le devoir des surdoués c'est d'avoir un esprit de résistant. Ne pas lâcher un pouce de leur intelligence et de leur intégrité, quitte à traverser des déserts. Si les surdoués se mettent à jouer les idiots la société ne va pas aller en s'améliorant. Un surdoué qui déploie pleinement ses capacités est gênant pour les arrivistes, mais un exemple pour tous les autres. Son rôle est de tirer l'intelligence des autres vers le haut.
Le devoir des surdoués c'est d'avoir un esprit de résistant. Ne pas lâcher un pouce de leur intelligence et de leur intégrité, quitte à traverser des déserts. Si les surdoués se mettent à jouer les idiots la société ne va pas aller en s'améliorant. Un surdoué qui déploie pleinement ses capacités est gênant pour les arrivistes, mais un exemple pour tous les autres. Son rôle est de tirer l'intelligence des autres vers le haut.
Pour détendre l'atmosphère et rester dans le sujet :
Une série télé sur l'inadaptation de la société aux sur-surdoués...
Bazinga !
Une série télé sur l'inadaptation de la société aux sur-surdoués...
Spoiler:
Oui enfin quand le surdoué doit passer ses journées à expliquer que la Terre n’est pas plate, il n’a plus le temps de faire autre chose pour tirer les gens vers le haut. Il y a le poids de la masse qui tire vers le bas. Difficile de s’en extraire. On a encore la moitié de la population qui lit son horoscope en y croyant au XXIeme siècle...
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