[youtube]https://youtu.be/eCN5EmJIHtc[/youtube]
http://nymag.com/intelligencer/2018/10/un-says-climate-genocide-coming-but-its-worse-than-that.htmlL'ONU dit que le génocide climatique est à venir. C'est pire que ça.
""""
Non seulement les changements globaux font pression sur la biodiversité à l’échelle du visible, mais également au niveau microscopique.
Revenons sur l’exemple des micro-algues qui régulent les taux de CO2 atmosphérique.
Les scientifiques ont constaté que l’acidification des océans, provoquée par la dissolution du gaz carbonique dans le milieu marin, empêche les micro-algues de fabriquer leur exosquelette de calcaire et donc de piéger le carbone.
Ce service écologique indispensable se trouve aujourd’hui, comme d’autres, menacé. Et il y a urgence : certaines micro-algues verront leur exosquelette se dissoudre d’ici la fin du siècle.
""""
https://usbeketrica.com/article/ne-perdons-pas-de-vue-le-monde-microscopique
Non seulement les changements globaux font pression sur la biodiversité à l’échelle du visible, mais également au niveau microscopique.
Revenons sur l’exemple des micro-algues qui régulent les taux de CO2 atmosphérique.
Les scientifiques ont constaté que l’acidification des océans, provoquée par la dissolution du gaz carbonique dans le milieu marin, empêche les micro-algues de fabriquer leur exosquelette de calcaire et donc de piéger le carbone.
Ce service écologique indispensable se trouve aujourd’hui, comme d’autres, menacé. Et il y a urgence : certaines micro-algues verront leur exosquelette se dissoudre d’ici la fin du siècle.
""""
https://usbeketrica.com/article/ne-perdons-pas-de-vue-le-monde-microscopique
""""
pour de nombreux biens de consommation la recherche en économie de l'environnement indique depuis longtemps un mécanisme simple : il convient simplement de faire payer aux individus le vrai coût des biens que nous consommons, dans le but « d'internaliser » les externalités négatives que la consommation de ces biens impliquent.
Dit autrement, il s'agit d'égaliser le « coût privé » des biens de consommation avec leur « coût social ».
Être aujourd'hui capable de se payer un rôti de boeuf à moins de 10 euros le kilo, de le ramener chez soit dans un sac en plastique gratuit et de le cuire au four pour moins de 15 centimes le kWh est un vrai scandale.
En effet, faire payer un sac plastique 5 centimes en caisse a suffit à faire baisser leur consommation de plus de 60 % à Washington DC, et inclure une tarification du CO2 d'environ 50 euros la tonne permettrait de réaligner notre consommation avec une démarche plus durable. Mais pour cela des décisions politiques impopulaires doivent être prises.
"""""
'"""""
Il ne s'agit plus aujourd'hui d'opposer « marché » et État, mais de comprendre comment l'un peu pallier les défaillances de l'autre.
Les lobbies environnementaux et associations de consommateurs qui insistent auprès des décideurs pour la mise en place de telle ou telle régulation environnementale l'ont bien compris.
Ni individualisme, ni révolution aveugle, les organisations collectives et l'orientation des politiques publiques sont les plus à même de parvenir à préserver notre environnement.
La responsabilisation individuelle est un premier pas nécessaire, mais une critique vague du système économique actuel couplée à un appel à la révolution sont au mieux inutiles, au pire retardent la mise en place de régulations environnementales efficaces.
"""""
pour de nombreux biens de consommation la recherche en économie de l'environnement indique depuis longtemps un mécanisme simple : il convient simplement de faire payer aux individus le vrai coût des biens que nous consommons, dans le but « d'internaliser » les externalités négatives que la consommation de ces biens impliquent.
Dit autrement, il s'agit d'égaliser le « coût privé » des biens de consommation avec leur « coût social ».
Être aujourd'hui capable de se payer un rôti de boeuf à moins de 10 euros le kilo, de le ramener chez soit dans un sac en plastique gratuit et de le cuire au four pour moins de 15 centimes le kWh est un vrai scandale.
En effet, faire payer un sac plastique 5 centimes en caisse a suffit à faire baisser leur consommation de plus de 60 % à Washington DC, et inclure une tarification du CO2 d'environ 50 euros la tonne permettrait de réaligner notre consommation avec une démarche plus durable. Mais pour cela des décisions politiques impopulaires doivent être prises.
"""""
'"""""
Il ne s'agit plus aujourd'hui d'opposer « marché » et État, mais de comprendre comment l'un peu pallier les défaillances de l'autre.
Les lobbies environnementaux et associations de consommateurs qui insistent auprès des décideurs pour la mise en place de telle ou telle régulation environnementale l'ont bien compris.
Ni individualisme, ni révolution aveugle, les organisations collectives et l'orientation des politiques publiques sont les plus à même de parvenir à préserver notre environnement.
La responsabilisation individuelle est un premier pas nécessaire, mais une critique vague du système économique actuel couplée à un appel à la révolution sont au mieux inutiles, au pire retardent la mise en place de régulations environnementales efficaces.
"""""
La nouvelle ne devrait pas réjouir les amateurs de bière. Après le chocolat, qui pourrait disparaître avant 2050, c'est la boisson alcoolisée la plus populaire au monde qui va subir de plein fouet les conséquences du changement climatique. En cause : la recrudescence des vagues de chaleur et de sécheresse, qui devrait faire régulièrement baisser la production d'orge et donc, celle de la bière.
https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/comment-le-rechauffement-climatique-va-augmenter-le-prix-de-la-biere-7795220794la production de bière va chuter de 16%
En plus des hommes, le changement climatique pourrait aussi menacer de célèbres sites culturels classés au Patrimoine mondial de l’Unesco.
Une étude, menée par l’université de Kiel (Allemagne) et de Southampton (Royaume Uni) et publiée ce mardi dans Nature communications, estime que 37 sites du pourtour méditerranéen risquent de subir une inondation centennale. 42 sont également menacés par l’érosion.
En tête de liste des trésors menacés : Venise et son lagon
https://www.20minutes.fr/arts-stars/culture/2356247-20181017-changement-climatique-sites-culturels-classes-patrimoine-unesco-menaces-autour-mediterranee
""""
"Nous sommes sur le point de non-retour", a ainsi déclaré Ban Ki-moon lors d'une conférence qui lançait officiellement la commission à La Haye.
Le monde doit prendre le chemin qui pourrait lui assurer un "avenir plus résilient au climat", a poursuivi l'ancien secrétaire général des Nations Unies de 2007 à 2016.
"Ou nous pouvons continuer avec le statu quo, mettant en péril la croissance économique mondiale et la stabilité sociale" et "risquant de ne plus être assurés de nourriture, d'énergie et d'eau dans les décennies à venir", a-t-il averti.
""""
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/climat/selon-ban-ki-moon-un-point-de-non-retour-climatique_128634
"Nous sommes sur le point de non-retour", a ainsi déclaré Ban Ki-moon lors d'une conférence qui lançait officiellement la commission à La Haye.
Le monde doit prendre le chemin qui pourrait lui assurer un "avenir plus résilient au climat", a poursuivi l'ancien secrétaire général des Nations Unies de 2007 à 2016.
"Ou nous pouvons continuer avec le statu quo, mettant en péril la croissance économique mondiale et la stabilité sociale" et "risquant de ne plus être assurés de nourriture, d'énergie et d'eau dans les décennies à venir", a-t-il averti.
""""
https://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/climat/selon-ban-ki-moon-un-point-de-non-retour-climatique_128634
"""""
Quels sont les freins économiques à la baisse des émissions carboniques ?
S’il est si difficile de réduire nos émissions de gaz à effet de serre (GES), et en particulier celles de CO2, c’est parce qu’elles sont à la base de l’ensemble du fonctionnement de nos sociétés et de nos économies.
Notre façon de nous déplacer, de nous alimenter, de nous loger, de nous chauffer, de produire les biens que nous consommons, d’organiser nos villes, etc., toutes nos habitudes dépendent de la combustion d’énergies fossiles – charbon, pétrole ou gaz.
Il serait donc réducteur de ne convoquer que l’économie pour analyser les freins à la baisse des émissions.
Néanmoins, on peut retenir deux freins économiques puissants.
Le premier réside dans les horizons considérés dans les décisions : elles sont bien souvent guidées par un impératif de rentabilité de très court terme.
Dès lors, la prise en compte des impacts du changement climatique est impossible.
Le second vient des systèmes de prix qui guident (en partie) les choix de consommation, de production et d’investissement, et qui ne reflètent pas les véritables coûts de l’utilisation des énergies fossiles.
Ces énergies fossiles sont encore largement subventionnées : les subventions aux énergies fossiles représentent actuellement entre 250 et 500 milliards de dollars par an (selon les méthodologies d’estimation utilisées), soit entre deux et quatre fois plus que l’intégralité des subventions aux énergies renouvelables dans le monde.
De plus, les coûts des énergies fossiles pour la société ne sont que très partiellement pris en compte dans les prix, en particulier le coût de la pollution de l’air en termes de santé ou le coût des dommages dus au changement climatique.
Ainsi, malgré une évolution positive, seules 20 % des émissions mondiales sont couvertes par une forme de tarification du carbone.
""""
https://ideas4development.org/changement-climatique-inegalites/
Quels sont les freins économiques à la baisse des émissions carboniques ?
S’il est si difficile de réduire nos émissions de gaz à effet de serre (GES), et en particulier celles de CO2, c’est parce qu’elles sont à la base de l’ensemble du fonctionnement de nos sociétés et de nos économies.
Notre façon de nous déplacer, de nous alimenter, de nous loger, de nous chauffer, de produire les biens que nous consommons, d’organiser nos villes, etc., toutes nos habitudes dépendent de la combustion d’énergies fossiles – charbon, pétrole ou gaz.
Il serait donc réducteur de ne convoquer que l’économie pour analyser les freins à la baisse des émissions.
Néanmoins, on peut retenir deux freins économiques puissants.
Le premier réside dans les horizons considérés dans les décisions : elles sont bien souvent guidées par un impératif de rentabilité de très court terme.
Dès lors, la prise en compte des impacts du changement climatique est impossible.
Le second vient des systèmes de prix qui guident (en partie) les choix de consommation, de production et d’investissement, et qui ne reflètent pas les véritables coûts de l’utilisation des énergies fossiles.
Ces énergies fossiles sont encore largement subventionnées : les subventions aux énergies fossiles représentent actuellement entre 250 et 500 milliards de dollars par an (selon les méthodologies d’estimation utilisées), soit entre deux et quatre fois plus que l’intégralité des subventions aux énergies renouvelables dans le monde.
De plus, les coûts des énergies fossiles pour la société ne sont que très partiellement pris en compte dans les prix, en particulier le coût de la pollution de l’air en termes de santé ou le coût des dommages dus au changement climatique.
Ainsi, malgré une évolution positive, seules 20 % des émissions mondiales sont couvertes par une forme de tarification du carbone.
""""
https://ideas4development.org/changement-climatique-inegalites/
bonjour
la vidéo a un jour
[youtube]https://youtu.be/DwD4VhSOoos[/youtube]
avec un des créateurs du programme spatiale français (92 ans)
on parle de la "fin du monde" et du dernier rapport du GIec, entre autres
intéressant les 15 boucles de rétroaction transformant probablement la Terre en étuve
sauf si nous ramons tous ensemble dans le même sens dans les 2 ans
et c'est marche arrière toute qu'il faut faire (décroissance)
quelqu'un est fort en proba ????
nous retiendrons ceci =
-la population croit de 1% par an mais l'exploitation des ressources par 2 (entraînant donc une amélioration des conditions de vies)
mais c'est 0% qu'il faut atteindre (d'exploitation des ressources); demain matin, pas demain midi,encore moins après demain
la vidéo a un jour
[youtube]https://youtu.be/DwD4VhSOoos[/youtube]
avec un des créateurs du programme spatiale français (92 ans)
on parle de la "fin du monde" et du dernier rapport du GIec, entre autres
intéressant les 15 boucles de rétroaction transformant probablement la Terre en étuve
sauf si nous ramons tous ensemble dans le même sens dans les 2 ans
et c'est marche arrière toute qu'il faut faire (décroissance)
quelqu'un est fort en proba ????
nous retiendrons ceci =
-la population croit de 1% par an mais l'exploitation des ressources par 2 (entraînant donc une amélioration des conditions de vies)
mais c'est 0% qu'il faut atteindre (d'exploitation des ressources); demain matin, pas demain midi,encore moins après demain
merci ! je regarderais la vidéo, même si quand tu traînes dans le milieu depuis un moment comme moi ca devient soûlant l'effondrement, la fin du monde, tout ca...
oui je suis d'accord mais celle là est top
d'ailleurs l'un est pro nucléaire l'autre non
d'ailleurs l'un est pro nucléaire l'autre non
nouveau numéro disponible ici =
https://usbeketrica.com/shop/magazine
https://usbeketrica.com/shop/magazine
""""
On a beaucoup parlé, ces dernières semaines, des dangers que représenterait un réchauffement planétaire de plus de 2 degrés Celsius. Mais on a trop souvent esquivé les impacts géopolitiques d'une telle situation.
On parle de sécheresse, mais pas des guerres qui éclateront pour le contrôle des ressources comme l'eau.
On parle du pic pétrolier, mais pas des conflits qui augmenteront avec le déclin de la production d'or noir.
On parle de la montée des eaux, mais pas des problèmes politiques que représentera la multiplication des millions de réfugiés climatiques.
"""""
pour ceux qui parlent anglais le rapport Global Trends 2025
https://www.files.ethz.ch/isn/94769/2008_11_global_trends_2025.pdf
un rapport qui date de 2008 et émane de l'office du Directeur du renseignement national américain
(O.D.N.I)
"""""
We prepared Global Trends 2025: A Transformed World to stimulate strategic
thinking about the future by identifying key trends, the factors that drive them, where
they seem to be headed, and how they might interact. It uses scenarios to illustrate some
of the many ways in which the drivers examined in the study (e.g., globalization,
demography, the rise of new powers, the decay of international institutions, climate
change, and the geopolitics of energy) may interact to generate challenges and
opportunities for future decisionmakers. The study as a whole is more a description of
the factors likely to shape events than a prediction of what will actually happen.
"""""
Nous avons préparé Global Trends 2025: Un monde transformé pour stimuler les stratégies
penser à l’avenir en identifiant les tendances clés, les facteurs qui les animent,
vers quoi ils semblent être dirigés et comment ils pourraient interagir.
Il utilise des scénarios pour illustrer certaines des nombreuses manières dont les facteurs examinés dans l’étude (par exemple, la mondialisation, la démographie, la montée de nouveaux pouvoirs, le déclin des institutions internationales, le climat, le changement climatique et la géopolitique de l'énergie) peuvent interagir pour générer des défis et opportunités pour les futurs décideurs.
L’étude dans son ensemble est davantage une description des facteurs susceptibles de façonner les événements que la prédiction de ce qui va réellement se passer.
On a beaucoup parlé, ces dernières semaines, des dangers que représenterait un réchauffement planétaire de plus de 2 degrés Celsius. Mais on a trop souvent esquivé les impacts géopolitiques d'une telle situation.
On parle de sécheresse, mais pas des guerres qui éclateront pour le contrôle des ressources comme l'eau.
On parle du pic pétrolier, mais pas des conflits qui augmenteront avec le déclin de la production d'or noir.
On parle de la montée des eaux, mais pas des problèmes politiques que représentera la multiplication des millions de réfugiés climatiques.
"""""
pour ceux qui parlent anglais le rapport Global Trends 2025
https://www.files.ethz.ch/isn/94769/2008_11_global_trends_2025.pdf
un rapport qui date de 2008 et émane de l'office du Directeur du renseignement national américain
(O.D.N.I)
"""""
We prepared Global Trends 2025: A Transformed World to stimulate strategic
thinking about the future by identifying key trends, the factors that drive them, where
they seem to be headed, and how they might interact. It uses scenarios to illustrate some
of the many ways in which the drivers examined in the study (e.g., globalization,
demography, the rise of new powers, the decay of international institutions, climate
change, and the geopolitics of energy) may interact to generate challenges and
opportunities for future decisionmakers. The study as a whole is more a description of
the factors likely to shape events than a prediction of what will actually happen.
"""""
Nous avons préparé Global Trends 2025: Un monde transformé pour stimuler les stratégies
penser à l’avenir en identifiant les tendances clés, les facteurs qui les animent,
vers quoi ils semblent être dirigés et comment ils pourraient interagir.
Il utilise des scénarios pour illustrer certaines des nombreuses manières dont les facteurs examinés dans l’étude (par exemple, la mondialisation, la démographie, la montée de nouveaux pouvoirs, le déclin des institutions internationales, le climat, le changement climatique et la géopolitique de l'énergie) peuvent interagir pour générer des défis et opportunités pour les futurs décideurs.
L’étude dans son ensemble est davantage une description des facteurs susceptibles de façonner les événements que la prédiction de ce qui va réellement se passer.
mauvaise nouvelle pour l'Amazonie et le Bresil
le nouveau président bresilien est climatoseptique et ultra libéral
le nouveau président bresilien est climatoseptique et ultra libéral
Je pense aussi qu'un jour une guerre risque d'être inévitable plutôt pour les réfugiés climatique
je n'ai pas dit que je pensais que la guerre était inévitable
´´´´
Il est évidemment plus valorisant de militer pour le respect de la biodiversité, le développement durable et un monde plus écologique. Alors que, dans les faits, le Libre-échange est parfaitement incompatible avec la préservation de l’environnement. Ce qui imposera un nouveau modèle, ce n’est pas l’idéologie mais la réalité de situations sociales où les gens, notamment dans la France périphérique, se déplaceront de moins en moins.
´´´´
https://m.usbeketrica.com/article/christophe-guilluy-classes-superieures-minorites-illusion
Il est évidemment plus valorisant de militer pour le respect de la biodiversité, le développement durable et un monde plus écologique. Alors que, dans les faits, le Libre-échange est parfaitement incompatible avec la préservation de l’environnement. Ce qui imposera un nouveau modèle, ce n’est pas l’idéologie mais la réalité de situations sociales où les gens, notamment dans la France périphérique, se déplaceront de moins en moins.
´´´´
https://m.usbeketrica.com/article/christophe-guilluy-classes-superieures-minorites-illusion
Sujets similaires
Retour sur la methode du point pivot
Fichier(s) joint(s) par francis4000 » 12 oct. 2019 21:34 (19 Réponses)
Fichier(s) joint(s) par francis4000 » 12 oct. 2019 21:34 (19 Réponses)
Un député néonazi grecque s'en prend à deux député de gauche
par Benoist Rousseau » 07 juin 2012 11:14 (12 Réponses)
par Benoist Rousseau » 07 juin 2012 11:14 (12 Réponses)