Très intéressant, je réponds à ton premier post noko, pardon d'avance, c'est un peu décousu.
Pour un stoïcien, le but dans la vie n'est pas d'atteindre le bonheur. Qu'est ce que le bonheur ?
Non, le but est d'atteindre l'ataraxie, c'est à dire l'absence de trouble dans l'existence.
"Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les idées qu'ils se font de ces choses.", disait Epictète.
Quand on est dirigé par ses émotions, comme la peur, de la mort entre autre, ou des passions, on ne peut plus faire fonctionner sa logique et sa raison.
De fait, les stoïciens distingue 2 choses, ce qui dépends de nous, pour lequel nous devons agir, et ce qui ne dépend pas de nous et qu'il est inutile de se fatiguer à lutter contre, mais simplement d'accepter. Encore faut il arriver à distinguer l'un de l'autre. (voir Pensées pour moi-même, Marc Aurèle.)
La sagesse pour les stoïciens est d'arriver à vivre dans l'instant présent, ici et maintenant, c'est à dire à sa place, et ne plus être tiré en arrière par le passé qui n'est plus, ou dans l'espérance du futur qui n'est pas encore.
Il est irrationnel de vivre dans la nostalgie du passé ou de ressassé un passé douloureux, chose qui n'est plus, et de craindre le futur (ou la mort) ou d'être dans l'espérance d'un futur meilleur, chose qui n'est pas encore.
Tout ce qui arrive n'a pas forcément une raison, ou un sens. Simplement, il ne faut pas penser que les choses qui nous arrivent sont pour ou contre nous.
Tout est résultante d'une cause, la cause étant elle même le résultat d'une autre cause, jusqu'à remonter à la cause première, dont les théologiens (religieux) nous disent que ce sont les Dieux, puis c'est devenu Dieu.
Pour un stoïcien, le but dans la vie n'est pas d'atteindre le bonheur. Qu'est ce que le bonheur ?
Non, le but est d'atteindre l'ataraxie, c'est à dire l'absence de trouble dans l'existence.
"Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les idées qu'ils se font de ces choses.", disait Epictète.
Quand on est dirigé par ses émotions, comme la peur, de la mort entre autre, ou des passions, on ne peut plus faire fonctionner sa logique et sa raison.
De fait, les stoïciens distingue 2 choses, ce qui dépends de nous, pour lequel nous devons agir, et ce qui ne dépend pas de nous et qu'il est inutile de se fatiguer à lutter contre, mais simplement d'accepter. Encore faut il arriver à distinguer l'un de l'autre. (voir Pensées pour moi-même, Marc Aurèle.)
La sagesse pour les stoïciens est d'arriver à vivre dans l'instant présent, ici et maintenant, c'est à dire à sa place, et ne plus être tiré en arrière par le passé qui n'est plus, ou dans l'espérance du futur qui n'est pas encore.
Il est irrationnel de vivre dans la nostalgie du passé ou de ressassé un passé douloureux, chose qui n'est plus, et de craindre le futur (ou la mort) ou d'être dans l'espérance d'un futur meilleur, chose qui n'est pas encore.
Tout ce qui arrive n'a pas forcément une raison, ou un sens. Simplement, il ne faut pas penser que les choses qui nous arrivent sont pour ou contre nous.
Tout est résultante d'une cause, la cause étant elle même le résultat d'une autre cause, jusqu'à remonter à la cause première, dont les théologiens (religieux) nous disent que ce sont les Dieux, puis c'est devenu Dieu.
Mister Hyde
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