pour la philo c'est ok
ça pose problème au niveau des droits d'auteur (schémas...)et je n'ai pas envie qu'on pille mon travail
pour la philo c'est ok
pour la philo c'est ok
Moi médecine m'intéresse si ce n'est pas trop pointu et si c'est utile dans la vie de tous les jours, mais je doute si ce sont des cours.
Tu fais quelque partie du corps en médecin, à toute suite les allusions, non il paraît qu'au début on étudit que la tête, chez pas si s'est vrai.
Je ne crois pas Algo. On doit commencer par apprendre le squelette, le nom des os, des ligaments, des nerfs, bref l'anatomie et le fonctionnement du corps humain. Ensuite, après on peut entamer les problèmes médicaux.
Oui sûrement, alors le contraire la tête a la fin, peu être.
yo
la premiere annéé de medecine tu fais très peu de traitements des maladies
tu fais tout de l'atome, de la physique de la chimie qui n'ont rien à voir avec le corps enfin si mais pas directement
on voit tous les tissus
nerveux conjonctifs osseux...
le dévelloppement du tétard (enfin même de l'ovule et spermato) au bébé puis à l'adulte
les cellules l'adn...
la tête et le cerveau en psychologie (neurobiologie) c'est durant tout le cursus
la premiere annéé de medecine tu fais très peu de traitements des maladies
tu fais tout de l'atome, de la physique de la chimie qui n'ont rien à voir avec le corps enfin si mais pas directement
on voit tous les tissus
nerveux conjonctifs osseux...
le dévelloppement du tétard (enfin même de l'ovule et spermato) au bébé puis à l'adulte
les cellules l'adn...
la tête et le cerveau en psychologie (neurobiologie) c'est durant tout le cursus
par contre je crois que oui on fait rapidement des dissections de tête humaine peut-etre à partir de la 2eme année (de médecine)
Je c'est plus ou j'avais entendu cela, à peu être un gas qui a redoubler beaucoup dans un sketch.
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Ajoutons, en effet, à ce que nous avons dit, qu'on n'est pas un véritable homme de bien quand on n'éprouve aucun plaisir dans la pratique des bonnes actions, pas plus que ne saurait être jamais appelé juste celui qui accomplit sans plaisir des actions justes, ou libéral celui qui n'éprouve aucun plaisir à faire des actes de libéralité, et ainsi de suite.
S'il en est ainsi, c'est en elles-mêmes que les actions conformes à la vertu doivent être des plaisirs.
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Ajoutons, en effet, à ce que nous avons dit, qu'on n'est pas un véritable homme de bien quand on n'éprouve aucun plaisir dans la pratique des bonnes actions, pas plus que ne saurait être jamais appelé juste celui qui accomplit sans plaisir des actions justes, ou libéral celui qui n'éprouve aucun plaisir à faire des actes de libéralité, et ainsi de suite.
S'il en est ainsi, c'est en elles-mêmes que les actions conformes à la vertu doivent être des plaisirs.
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On n'est pas, en effet, complètement heureux si on a un aspect disgracieux, si on est d'une basse extraction, ou si on vit seul et sans enfants ; et, pis encore sans doute, si on a des enfants ou des amis perdus de vices, ou si enfin, alors qu'ils étaient vertueux, la mort nous les a enlevés.
Ainsi donc que nous l'avons dit, il semble que le bonheur ait besoin, comme condition supplémentaire, d'une prospérité de ce genre ; de là vient que certains mettent au même rang que le bonheur, la fortune favorable, alors que d'autres l'identifient à la vertu.
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On n'est pas, en effet, complètement heureux si on a un aspect disgracieux, si on est d'une basse extraction, ou si on vit seul et sans enfants ; et, pis encore sans doute, si on a des enfants ou des amis perdus de vices, ou si enfin, alors qu'ils étaient vertueux, la mort nous les a enlevés.
Ainsi donc que nous l'avons dit, il semble que le bonheur ait besoin, comme condition supplémentaire, d'une prospérité de ce genre ; de là vient que certains mettent au même rang que le bonheur, la fortune favorable, alors que d'autres l'identifient à la vertu.
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Ainsi donc, la stabilité que nous recherchons appartiendra à l'homme heureux, qui le demeurera durant toute sa vie : car toujours, ou du moins préférablement à toute autre chose, il s'engagera dans des actions et des contemplations conformes à la vertu, et il supportera les coups du sort avec la plus grande dignité et un sens en tout point parfait de la mesure, si du moins il est véritablement homme de bien et d'une carrure sans reproche.
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Ainsi donc, la stabilité que nous recherchons appartiendra à l'homme heureux, qui le demeurera durant toute sa vie : car toujours, ou du moins préférablement à toute autre chose, il s'engagera dans des actions et des contemplations conformes à la vertu, et il supportera les coups du sort avec la plus grande dignité et un sens en tout point parfait de la mesure, si du moins il est véritablement homme de bien et d'une carrure sans reproche.
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Mais la vertu qui doit faire l'objet de notre examen est évidemment une
vertu humaine, puisque le bien que nous cherchons est un bien humain, et le
bonheur, un bonheur humain.
Et par vertu humaine nous entendons non pas l'excellence du corps. mais bien celle de l'âme, et le bonheur est aussi pour nous une activité de l'âme.
Mais s'il en est ainsi, il est évident que le politique doit posséder une certaine connaissance de ce qui a rapport à l'âme, tout comme le médecin appelé à soigner les yeux doit connaître aussi d'une certaine manière le corps dans son ensemble ; et la connaissance de l'âme s'impose d'autant plus dans l'espèce que la Politique dépasse en noblesse et en élévation la médecine, et d'ailleurs chez les médecins eux-mêmes, les plus distingués d'entre eux s'appliquent avec grand soin à acquérir la connaissance du corps.
Il faut donc aussi que le politique considère ce qui a rapport à l'âme et que son étude soit
faite dans le but que nous avons indiqué, et seulement dans la mesure requise
pour ses recherches, car pousser plus loin le souci du détail est sans doute une
tâche trop lourde eu égard à ce qu'il se propose.
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Mais la vertu qui doit faire l'objet de notre examen est évidemment une
vertu humaine, puisque le bien que nous cherchons est un bien humain, et le
bonheur, un bonheur humain.
Et par vertu humaine nous entendons non pas l'excellence du corps. mais bien celle de l'âme, et le bonheur est aussi pour nous une activité de l'âme.
Mais s'il en est ainsi, il est évident que le politique doit posséder une certaine connaissance de ce qui a rapport à l'âme, tout comme le médecin appelé à soigner les yeux doit connaître aussi d'une certaine manière le corps dans son ensemble ; et la connaissance de l'âme s'impose d'autant plus dans l'espèce que la Politique dépasse en noblesse et en élévation la médecine, et d'ailleurs chez les médecins eux-mêmes, les plus distingués d'entre eux s'appliquent avec grand soin à acquérir la connaissance du corps.
Il faut donc aussi que le politique considère ce qui a rapport à l'âme et que son étude soit
faite dans le but que nous avons indiqué, et seulement dans la mesure requise
pour ses recherches, car pousser plus loin le souci du détail est sans doute une
tâche trop lourde eu égard à ce qu'il se propose.
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l'homme bon et l'homme vicieux ne se distinguent en rien pendant leur sommeil, et c'est même de là que vient le dicton qu'il n'y a aucune différence durant la moitié de leur vie entre les gens heureux et les misérables.
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l'homme bon et l'homme vicieux ne se distinguent en rien pendant leur sommeil, et c'est même de là que vient le dicton qu'il n'y a aucune différence durant la moitié de leur vie entre les gens heureux et les misérables.
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en effet, l'excès comme l'insuffisance d'exercice font perdre également la vigueur ; pareillement, dans le boire et le manger, une trop forte ou une trop faible quantité détruit la santé, tandis que la juste mesure la produit, l'accroît et la conserve.
Et bien, il en est ainsi pour la modération, le courage et les autres vertus : car celui qui fuit devant tous les périls, qui a peur de tout et qui ne sait rien supporter devient un lâche,
tout comme celui qui n'a peur de rien et va au devant de n'importe quel danger,
devient téméraire ;
pareillement encore, celui qui se livre à tous les plaisirs et ne se refuse à aucun devient un homme dissolu, tout comme celui qui se prive de tous les plaisirs comme un rustre, devient une sorte d'être insensible.
Ainsi donc, la modération et le courage se perdent également par l'excès et par le défaut, alors qu'ils se conservent par la juste mesure.
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en effet, l'excès comme l'insuffisance d'exercice font perdre également la vigueur ; pareillement, dans le boire et le manger, une trop forte ou une trop faible quantité détruit la santé, tandis que la juste mesure la produit, l'accroît et la conserve.
Et bien, il en est ainsi pour la modération, le courage et les autres vertus : car celui qui fuit devant tous les périls, qui a peur de tout et qui ne sait rien supporter devient un lâche,
tout comme celui qui n'a peur de rien et va au devant de n'importe quel danger,
devient téméraire ;
pareillement encore, celui qui se livre à tous les plaisirs et ne se refuse à aucun devient un homme dissolu, tout comme celui qui se prive de tous les plaisirs comme un rustre, devient une sorte d'être insensible.
Ainsi donc, la modération et le courage se perdent également par l'excès et par le défaut, alors qu'ils se conservent par la juste mesure.
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""""
Nous pouvons, à l'aide des considérations suivantes, apporter encore quelque lumière aux points que nous venons de traiter.
Il existe trois facteurs qui entraînent nos choix, et trois facteurs nos répulsions : le beau, l'utile, le plaisant, et leurs contraires, le laid, le dommageable et le pénible.
En face de tous ces facteurs l'homme vertueux peut tenir une conduite ferme, alors que le méchant est exposé à faillir et tout spécialement en ce qui concerne le plaisir,
car le plaisir est commun à l'homme et aux animaux, et de plus il accompagne tout ce qui dépend de notre choix, puisque même le beau et l'utile nous apparaissent comme une chose agréable.
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Nous pouvons, à l'aide des considérations suivantes, apporter encore quelque lumière aux points que nous venons de traiter.
Il existe trois facteurs qui entraînent nos choix, et trois facteurs nos répulsions : le beau, l'utile, le plaisant, et leurs contraires, le laid, le dommageable et le pénible.
En face de tous ces facteurs l'homme vertueux peut tenir une conduite ferme, alors que le méchant est exposé à faillir et tout spécialement en ce qui concerne le plaisir,
car le plaisir est commun à l'homme et aux animaux, et de plus il accompagne tout ce qui dépend de notre choix, puisque même le beau et l'utile nous apparaissent comme une chose agréable.
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Mais la plupart des hommes, au lieu d'accomplir des actions vertueuses, se retranchent dans le domaine de la discussion, et pensent qu'ils agissent ainsi en philosophes et que cela suffira à les rendre vertueux :
ils ressemblent en cela aux malades qui écoutent leur médecin attentivement, mais n'exécutent aucune de ses prescriptions.
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Mais la plupart des hommes, au lieu d'accomplir des actions vertueuses, se retranchent dans le domaine de la discussion, et pensent qu'ils agissent ainsi en philosophes et que cela suffira à les rendre vertueux :
ils ressemblent en cela aux malades qui écoutent leur médecin attentivement, mais n'exécutent aucune de ses prescriptions.
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Nous devons donc parler aussi de ces divers états, de façon à mieux discerner qu'en toutes choses la médiété est digne d'éloge, tandis que les extrêmes ne sont ni corrects, ni louables, mais au contraire répréhensibles.
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Nous devons donc parler aussi de ces divers états, de façon à mieux discerner qu'en toutes choses la médiété est digne d'éloge, tandis que les extrêmes ne sont ni corrects, ni louables, mais au contraire répréhensibles.
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En effet, le choix n'est pas une chose commune à l'homme et aux êtres dépourvus de raison, à la différence de ce qui a lieu pour la concupiscence et l'impulsivité.
De plus, l'homme intempérant agit par concupiscence, mais non par choix, tandis que l'homme maître de lui, à l'inverse, agit par choix et non par concupiscence.
En outre, un appétit peut être contraire à un choix, mais non un appétit à un appétit.
Enfin, l'appétit relève du plaisir et de la peine, tandis que le choix ne relève ni de la peine, ni du plaisir.
Encore moins peut-on dire que le choix est une impulsion, car les actes dus à l'impulsivité semblent être tout ce qu'il y a de plus étranger à ce qu'on fait par choix.
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En effet, le choix n'est pas une chose commune à l'homme et aux êtres dépourvus de raison, à la différence de ce qui a lieu pour la concupiscence et l'impulsivité.
De plus, l'homme intempérant agit par concupiscence, mais non par choix, tandis que l'homme maître de lui, à l'inverse, agit par choix et non par concupiscence.
En outre, un appétit peut être contraire à un choix, mais non un appétit à un appétit.
Enfin, l'appétit relève du plaisir et de la peine, tandis que le choix ne relève ni de la peine, ni du plaisir.
Encore moins peut-on dire que le choix est une impulsion, car les actes dus à l'impulsivité semblent être tout ce qu'il y a de plus étranger à ce qu'on fait par choix.
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L'objet du choix étant, parmi les choses en notre pouvoir, un objet de désir sur lequel on a délibéré, le choix sera un désir délibératif des choses qui dépendent de nous ;
car une fois que nous avons décidé à la suite d'une délibération, nous désirons alors conformément à notre délibération.
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L'objet du choix étant, parmi les choses en notre pouvoir, un objet de désir sur lequel on a délibéré, le choix sera un désir délibératif des choses qui dépendent de nous ;
car une fois que nous avons décidé à la suite d'une délibération, nous désirons alors conformément à notre délibération.
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Mais sans doute, < dira-t-on >, un pareil homme est fait de telle sorte qu'ilest incapable de toute application ? Nous répondons qu'en menant une existence relâchée les hommes sont personnellement responsables d'être devenus eux-mêmes relâchés, ou d'être devenus injustes ou intempérants, dans le premier cas en agissant avec perfidie et dans le second en passant leur vie à boire ou à commettre des excès analogues : en effet, c'est par l'exercice des actions particulières qu'ils acquièrent un caractère du même genre qu'elles.
On peut s'en rendre compte en observant ceux qui s'entraînent en vue d'une compétotoon ou d'une activité quelconque : tout leur temps se passe en exercices.
Aussi, se refuser à reconnaître que c'est à l'exercice de telles actions particulières que sont dues les dispositions de notre caractère est le fait d'un esprit singulièrement étroit
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Mais sans doute, < dira-t-on >, un pareil homme est fait de telle sorte qu'ilest incapable de toute application ? Nous répondons qu'en menant une existence relâchée les hommes sont personnellement responsables d'être devenus eux-mêmes relâchés, ou d'être devenus injustes ou intempérants, dans le premier cas en agissant avec perfidie et dans le second en passant leur vie à boire ou à commettre des excès analogues : en effet, c'est par l'exercice des actions particulières qu'ils acquièrent un caractère du même genre qu'elles.
On peut s'en rendre compte en observant ceux qui s'entraînent en vue d'une compétotoon ou d'une activité quelconque : tout leur temps se passe en exercices.
Aussi, se refuser à reconnaître que c'est à l'exercice de telles actions particulières que sont dues les dispositions de notre caractère est le fait d'un esprit singulièrement étroit
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