#collaps
bon c'est si on devient tous permaculteurs :musique:
https://drive.google.com/file/d/0B9DecwZmoVlfYmQ2a090bUtnWWM/view
S’il est difficile de se prononcer sur la rapidité avec laquelle la production pétrolière déclinera, l’AIE estime que la situation est préoccupante. Freinés par la baisse du prix du baril, les investissements actuels seraient insuffisants pour que la production croisse autant que la demande mondiale d’ici à 2020. Rien qu’aux Etats-Unis, il faudrait que la production de pétrole de schiste triple d’ici à 2025, ce qui paraît pour le moins irréaliste.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Classification_des_hydrocarbures_liquidesCes multiples catégories rendent difficile l'évaluation de la production et des réserves, car beaucoup de sources donnent des quantités sans indiquer clairement quelles catégories sont prises en compte ou pas.
Il est souvent difficile de comparer deux pays en étant certain d'avoir des chiffres incluant exactement la même chose.
De plus, les limites entre catégories sont parfois floues : ainsi, on considère en général que la limite entre bitumes et brut conventionnel est à 15°API (voir plus bas), mais cette valeur est arbitraire.
Pour le Venezuela, elle se situe à 10°API. Une partie des quantités qu'il annonce doit donc être transférée dans la catégorie des pétroles non conventionnels.
Aujourd’hui la plus grosse contrainte à l’extraction des ressources fossiles (pétrole, charbon et gaz) est le Taux de Retour Energétique (TRE), c’est-à-dire le rapport entre le coût de l’extraction et la richesse générée par cette énergie exploitée après extraction.
Parce que les ressources fossiles sont au fur et à mesure de leur extraction plus profondément enfouies et dispersées (les meilleurs gisements ont été exploités en premier), nos sociétés pourraient voir leur économie ralentir non par manque de réserves, mais par manque de capacités financières à les sortir du sol, les infrastructures étant de plus en plus coûteuses et complexes