en plus ça réduirait la natalité puisqu'on ne pourrait plus transmettre son patrimoine
Ça changerait tout
Tous les rapports humains
La vie même des humains. Ils ne vivraient pas pour accumuler (et souvent gâcher leur vie). Ils penseraient plus à eux et pourquoi ils sont sur Terre.
Chacun part avec les mêmes chances.
Ce serait des implications psychologiques énormes et de changements de vie majeure.
Mille fois mieux que le revenu universel.
Allez je vous laisse y réfléchir. Demain je ne secoue pas les neurones lol
Tous les rapports humains
La vie même des humains. Ils ne vivraient pas pour accumuler (et souvent gâcher leur vie). Ils penseraient plus à eux et pourquoi ils sont sur Terre.
Chacun part avec les mêmes chances.
Ce serait des implications psychologiques énormes et de changements de vie majeure.
Mille fois mieux que le revenu universel.
Allez je vous laisse y réfléchir. Demain je ne secoue pas les neurones lol
il faut secouer sinon la pulpe elle reste en bas
Oui mais la première réaction quand tu secoues à des gens qui n’Ont rien demandé c’est d’attirer sur toi de la violence donc je ne le fais plus, je ne secoue plus sur Le net . J’ai ma vie à construire loin des ondes négatives.
Je secoue des gens qui veulent être secoués maintenant et on me secoue les neurones aussi car je le veux. Comme cela je ne prend personne en traite LOL
Sur le web je suis obligé de ne rien dire et de mettre des lol partout pour suggérer éventuellement une autre voie
Je secoue des gens qui veulent être secoués maintenant et on me secoue les neurones aussi car je le veux. Comme cela je ne prend personne en traite LOL
Sur le web je suis obligé de ne rien dire et de mettre des lol partout pour suggérer éventuellement une autre voie
secouage consentent
le contraire du viol de neurones
le contraire du viol de neurones
Tu as tout compris
Bizarrement, cette idée me fait penser à sparte...
Sinon, difficilement réalisable en réalité. Les gens contourneront le système (vente des biens de son vivant, immortalité administrative, etc...) voir le fuiront (exile).
À mon avis, cela ne peut fonctionner sans une grande coercition.
Ps : cependant dans les faits, avec l'allongement de la durée de la vie, on hérite de plus en plus souvent à l'âge de la retraite.
Sinon, difficilement réalisable en réalité. Les gens contourneront le système (vente des biens de son vivant, immortalité administrative, etc...) voir le fuiront (exile).
À mon avis, cela ne peut fonctionner sans une grande coercition.
Ps : cependant dans les faits, avec l'allongement de la durée de la vie, on hérite de plus en plus souvent à l'âge de la retraite.
Camarade Benoît tu es entrain de nous vendre les vertu de l'URSS ?
Je suis évidemment contre une taxation trop élevée sur ce sujet avec l'égalité comme motif, c'est comme vouloir qu'ont aime autant sont prochain que son enfant, une influence chrétienne ?
Entre frères est sœur c'est 50% un abatement de cent mille tout les 15 ans.
Pour ceux qui auraient l'idée de s'exiler pour y échapper faudra attendre 10 ans.
Ça casse le lien entre les générations familiale, est quand tu es jeune tu pourras moins penser la frase 'je veux offrir un mailleur avenir à mes enfants' l'état est la pour le faire à ta place, avec le choix de l'affectation de la dépense comme les embellissements des rond point, pour revenir sur le sujet, donner à ses enfants fait partie des envie primaire.
C'est un droit de liberté pouvoir choisir à qui on donne (tu paye aussi en donnant à une association).
Je suis évidemment contre une taxation trop élevée sur ce sujet avec l'égalité comme motif, c'est comme vouloir qu'ont aime autant sont prochain que son enfant, une influence chrétienne ?
Entre frères est sœur c'est 50% un abatement de cent mille tout les 15 ans.
Pour ceux qui auraient l'idée de s'exiler pour y échapper faudra attendre 10 ans.
Ça casse le lien entre les générations familiale, est quand tu es jeune tu pourras moins penser la frase 'je veux offrir un mailleur avenir à mes enfants' l'état est la pour le faire à ta place, avec le choix de l'affectation de la dépense comme les embellissements des rond point, pour revenir sur le sujet, donner à ses enfants fait partie des envie primaire.
C'est un droit de liberté pouvoir choisir à qui on donne (tu paye aussi en donnant à une association).
@algo : quand je parlais d'exil, je parlais d'exil par anticipation.
Je travaille, je veux laisser des biens à mes enfants. Je vends et je m'expatrie dans un pays où mes enfants pourront hériter.
Je travaille, je veux laisser des biens à mes enfants. Je vends et je m'expatrie dans un pays où mes enfants pourront hériter.
Oui faut si prendre 10 ans à l'avance, est aussi que tes enfants sois exilé.
Benoist
C’est exact, une hausse massive sur le sujet réduirait les inégalités.
Et comme tu le sais très bien, il y a Consensus très large contre cette idée.
Troll....
Au delà des opinions, dans le monde réel la constitution de patrimoines qui peuvent se transmettre présente un avantage économique collectif, la création et le développement d’entreprises durables...
On trouvera d’ailleurs ici l’UNE des causes profondes du développement du mittelstand allemand en comparaison du faible nombre d’eti En France.
C’est exact, une hausse massive sur le sujet réduirait les inégalités.
Et comme tu le sais très bien, il y a Consensus très large contre cette idée.
Troll....
Au delà des opinions, dans le monde réel la constitution de patrimoines qui peuvent se transmettre présente un avantage économique collectif, la création et le développement d’entreprises durables...
On trouvera d’ailleurs ici l’UNE des causes profondes du développement du mittelstand allemand en comparaison du faible nombre d’eti En France.
Oui pour montrer les limites de certains discours et paroles de personnes prêtent à tout pour le bonheur des autres du moment que l'effort concerne les autresTroll....
Evidemment ! Certaines personnes ont des enfants, les aiment et s'ils travaillent dur, c'est souvent pour leur laisser une partie du fruit de leurs efforts. #onestpasdesrobotsBenoist Rousseau a écrit :LOL ça montre juste la nature humaine.
et oui que la personne à 1€ ou 10.000.000€ ce sont des hommes, on est bien d'accord et elle aimerait laisser à ses enfants quelque chose sans se faire piquer 70% de leur travail de leur vivant ou de leur mort. C'est dingue même les riches et les pauvres sont des êtres humains qui sont régient par les mêmes réflexes Quand on met tout le monde face aux mêmes responsabilités et devoirs, même comportement, même défense.
J'aime bien cette file.
Je vous rappel que ce système "d'héritage" a été abolie par la curie romaine en interdisant le mariage des pretres. Avant ce système, je carricature à peine, on été pretres de père en fils.
Depuis le système c'est par vocation et je ne rentre pas dans le débat de la crise des vocations ...
Mais même sans ça, il y a des métiers comme commiseur priseur, médecins, où on se transmet la charge/patientèle de père->/fils (ou mère fils ou père fille pou mère fille pas de sexisme).
Tu as raisons Benoist, sur le fait que de n'avoir plus de "patrimoine" à transmettre changerait totalement la donne. Car aujourd'hui si on achète un appartement c'est un pour ne pas avoir trop de charge pour sa retraite mais aussi le transmettre (et donc donner de l'argent) à ses enfants.
Pour que ça fonctionne faudrait que le système soit mondiale.
Prenait l'exemple du lycée privée Stan à paris : Toute les bonnes familles Catho "qui n'en veulent" envoi leur tête blonde dans ce lycée ultra select. Pourquoi ? Tout simplement pour que la tête blonde ai accès à une bonne prépa ou école et gravir les première marche de l'ascenseur sociétal le plus tôt possible '(et donc avoir un niveau maximale atteignable le plus loin possible car dans une carrière, à part quelques rare exception, l'ouvrier ne devriendra jamais patron d'une multi-national).
En résumé : plus vous laissé d'argent, de bien et d'étude à votre progéniture, plus vous pensez qu'il sera "haut" dans la société (et donc revenue confortable et niveau supérieur mais là ... c'est encore un autre débat : Qu'est qui rend heureux
Depuis le système c'est par vocation et je ne rentre pas dans le débat de la crise des vocations ...
Mais même sans ça, il y a des métiers comme commiseur priseur, médecins, où on se transmet la charge/patientèle de père->/fils (ou mère fils ou père fille pou mère fille pas de sexisme).
Tu as raisons Benoist, sur le fait que de n'avoir plus de "patrimoine" à transmettre changerait totalement la donne. Car aujourd'hui si on achète un appartement c'est un pour ne pas avoir trop de charge pour sa retraite mais aussi le transmettre (et donc donner de l'argent) à ses enfants.
Pour que ça fonctionne faudrait que le système soit mondiale.
Prenait l'exemple du lycée privée Stan à paris : Toute les bonnes familles Catho "qui n'en veulent" envoi leur tête blonde dans ce lycée ultra select. Pourquoi ? Tout simplement pour que la tête blonde ai accès à une bonne prépa ou école et gravir les première marche de l'ascenseur sociétal le plus tôt possible '(et donc avoir un niveau maximale atteignable le plus loin possible car dans une carrière, à part quelques rare exception, l'ouvrier ne devriendra jamais patron d'une multi-national).
En résumé : plus vous laissé d'argent, de bien et d'étude à votre progéniture, plus vous pensez qu'il sera "haut" dans la société (et donc revenue confortable et niveau supérieur mais là ... c'est encore un autre débat : Qu'est qui rend heureux
Bien vu pour les charges de l’ancienne régime qui se transmettent encore
Voici un extrait de ce document: https://www.cairn.info/revue-de-l-ofce-2018-2-page-123.htm
....
Plus généralement, les politiques en matière d’héritage doivent concilier deux principes cardinaux mais souvent contradictoires, l’un de perpétuation de la propriété ou de morale familiale, l’autre de justice sociale ou d’égalité des chances.
Le premier principe vient de ce que l’individu a une existence finie alors que la société lui survit. L’objectif est alors d’assurer la continuité temporelle de la propriété, de l’activité économique ou de la lignée familiale au-delà et par la suite des générations. Dès lors que la propriété n’est plus indivise au sein de la famille étendue ou du clan (comme dans les sociétés anciennes) mais est devenu individuelle, se pose le problème des règles sociales qui président à la succession du propriétaire défunt (Mill, Durkheim).
La formule juridique lapidaire :
Le mort saisit le vif par son hoir [héritier] le plus proche,
traduit bien cette absence de vide, de vacance dans la propriété des biens : cette « saisine » confère aux héritiers un droit de prise de possession immédiate, indépendante de la décision ultérieure d’accepter ou de renoncer à la succession (laquelle, si elle est positive, confère un droit de propriété sur les biens du défunt).
Comment assurer cette continuité au niveau social ? Dans les sociétés aristocratiques, celle-ci passe par l’hérédité des charges et des métiers, des titres et des statuts, et partant des privilèges : l’héritage économique instaure la perpétuation et la reproduction de la stratification sociale en général, et des inégalités de fortune en particulier. L’institution a alors été dénoncée au nom du second principe qui doit guider l’action publique, visant la justice sociale, l’égalité des chances et une nécessaire redistribution, mais souvent aussi l’efficacité économique : l’institution ne sélectionne pas forcément les plus aptes à la gestion des biens et pousse les héritiers à l’oisiveté ou à la paresse.
Cette tension entre les deux principes – continuation (notamment familiale) de la propriété vs justice ou redistribution sociale (efficace) – a constamment irrigué les débats et controverses au cours de l’histoire moderne. La politique sociale française éprouvera ainsi, nous le verrons, une difficulté rémanente à concilier le message révolutionnaire, égalitariste et socialisant, avec une tradition catholique familiale-corporatiste, encore dominante.
L’analyse qui suit traite dans ce cadre général d’un paradoxe, aux yeux du moins des penseurs de la Modernité et des Lumières : pourquoi l’impôt successoral actuel – les droits de mutation à titre gratuit sur les donations et héritages – rapporte-t-il aujourd’hui aussi peu, moins de 1 % du PIB (produit intérieur brut) dans les pays développés, et même moins de 1 % du total des recettes fiscales (ou prélèvements obligatoires) dans la grande majorité d’entre eux, à l’exception en Occident de la Belgique et de la France ? L’héritage ne constitue-t-il pas un vecteur privilégié, souvent peu justifié, de la reproduction des inégalités de fortunes ? Plus prosaïquement, le fait que l’État ne prélève aujourd’hui qu’une dîme réduite entre parents et enfants apparaît un manque à gagner manifeste, alors que ses besoins de financement des politiques et services publics augmentent et que les prélèvements qu’il opère semblent moins bien tolérés : pourquoi ne pas d’abord taxer le patrimoine lors de sa transmission, transaction naturelle où s’opère un changement de propriétaire inéluctable ?
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Plus généralement, les politiques en matière d’héritage doivent concilier deux principes cardinaux mais souvent contradictoires, l’un de perpétuation de la propriété ou de morale familiale, l’autre de justice sociale ou d’égalité des chances.
Le premier principe vient de ce que l’individu a une existence finie alors que la société lui survit. L’objectif est alors d’assurer la continuité temporelle de la propriété, de l’activité économique ou de la lignée familiale au-delà et par la suite des générations. Dès lors que la propriété n’est plus indivise au sein de la famille étendue ou du clan (comme dans les sociétés anciennes) mais est devenu individuelle, se pose le problème des règles sociales qui président à la succession du propriétaire défunt (Mill, Durkheim).
La formule juridique lapidaire :
Le mort saisit le vif par son hoir [héritier] le plus proche,
traduit bien cette absence de vide, de vacance dans la propriété des biens : cette « saisine » confère aux héritiers un droit de prise de possession immédiate, indépendante de la décision ultérieure d’accepter ou de renoncer à la succession (laquelle, si elle est positive, confère un droit de propriété sur les biens du défunt).
Comment assurer cette continuité au niveau social ? Dans les sociétés aristocratiques, celle-ci passe par l’hérédité des charges et des métiers, des titres et des statuts, et partant des privilèges : l’héritage économique instaure la perpétuation et la reproduction de la stratification sociale en général, et des inégalités de fortune en particulier. L’institution a alors été dénoncée au nom du second principe qui doit guider l’action publique, visant la justice sociale, l’égalité des chances et une nécessaire redistribution, mais souvent aussi l’efficacité économique : l’institution ne sélectionne pas forcément les plus aptes à la gestion des biens et pousse les héritiers à l’oisiveté ou à la paresse.
Cette tension entre les deux principes – continuation (notamment familiale) de la propriété vs justice ou redistribution sociale (efficace) – a constamment irrigué les débats et controverses au cours de l’histoire moderne. La politique sociale française éprouvera ainsi, nous le verrons, une difficulté rémanente à concilier le message révolutionnaire, égalitariste et socialisant, avec une tradition catholique familiale-corporatiste, encore dominante.
L’analyse qui suit traite dans ce cadre général d’un paradoxe, aux yeux du moins des penseurs de la Modernité et des Lumières : pourquoi l’impôt successoral actuel – les droits de mutation à titre gratuit sur les donations et héritages – rapporte-t-il aujourd’hui aussi peu, moins de 1 % du PIB (produit intérieur brut) dans les pays développés, et même moins de 1 % du total des recettes fiscales (ou prélèvements obligatoires) dans la grande majorité d’entre eux, à l’exception en Occident de la Belgique et de la France ? L’héritage ne constitue-t-il pas un vecteur privilégié, souvent peu justifié, de la reproduction des inégalités de fortunes ? Plus prosaïquement, le fait que l’État ne prélève aujourd’hui qu’une dîme réduite entre parents et enfants apparaît un manque à gagner manifeste, alors que ses besoins de financement des politiques et services publics augmentent et que les prélèvements qu’il opère semblent moins bien tolérés : pourquoi ne pas d’abord taxer le patrimoine lors de sa transmission, transaction naturelle où s’opère un changement de propriétaire inéluctable ?
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Donc les pays qui ont aboli les droits de succession sont dans le maintiens des lignée familliale alors que la FR et BE (en particulier sont pour plus de redistribution.
Et comme touut exercice : Où est le "bon" point d'équilibre ??? Certainement pas dans les extrèmes c'est à mon sens, la seule "vérité" que l'on peut énnoncer sans se tromper.
Et on est bien d'accord : Un mode héritage "pas cher" renforce les clans et bloque encore plus l'asceneur social. Dans l'article du parisien ce point est clairement évoqué : DAns un pays avec Héritage pas taxé il faut 6/8 générations pour s'élever copntre 3/4 en France (si j'ai bien retenue les chiffres).
Et comme touut exercice : Où est le "bon" point d'équilibre ??? Certainement pas dans les extrèmes c'est à mon sens, la seule "vérité" que l'on peut énnoncer sans se tromper.
Et on est bien d'accord : Un mode héritage "pas cher" renforce les clans et bloque encore plus l'asceneur social. Dans l'article du parisien ce point est clairement évoqué : DAns un pays avec Héritage pas taxé il faut 6/8 générations pour s'élever copntre 3/4 en France (si j'ai bien retenue les chiffres).
Il me semble que le bon pont d'équilibre est aussi dicté par des considérations pragmatiques (et politiques, de vote).
Quasiment tous les français sont farouchement opposés à la taxation du transfert de leurs biens, quelle qu'en soit la valeur.
Et puis à l'heure de la mobilité internationale, taxer encore plus fortement lors de la transmission des biens, entraînerait un exode véritablement massif de capitaux vers des juridictions plus clémentes, et elles le sont toutes.
L'effet serait autrement plus volumineux que celui de l'ISF, car on touche là à un domaine perçu comme intime, ce serait perçu par beaucoup comme une insulte à une évidence irréfragable.
Ainsi le gouvernement qui oserait s'attaquer frontalement à ce tabou commettrait sans aucun doute un suicide politique.
+ économique et patrimonial, car c'est ainsi que, afin de payer les droits de succession, des entreprises et des biens historiques sont vendus à des tiers, parfois étrangers.
Où comment se tirer non pas une mais des balles dans les pieds de tous au nom d'un grand principe...
Quasiment tous les français sont farouchement opposés à la taxation du transfert de leurs biens, quelle qu'en soit la valeur.
Et puis à l'heure de la mobilité internationale, taxer encore plus fortement lors de la transmission des biens, entraînerait un exode véritablement massif de capitaux vers des juridictions plus clémentes, et elles le sont toutes.
L'effet serait autrement plus volumineux que celui de l'ISF, car on touche là à un domaine perçu comme intime, ce serait perçu par beaucoup comme une insulte à une évidence irréfragable.
Ainsi le gouvernement qui oserait s'attaquer frontalement à ce tabou commettrait sans aucun doute un suicide politique.
+ économique et patrimonial, car c'est ainsi que, afin de payer les droits de succession, des entreprises et des biens historiques sont vendus à des tiers, parfois étrangers.
Où comment se tirer non pas une mais des balles dans les pieds de tous au nom d'un grand principe...
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