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Une étude révèle que COVID-19 "Miracle Cure" peut sauver les patients gravement malades comme les 8 millions de cas mondiaux: mises à jour en direct
Hier soir, juste avant 22 heures, les responsables de la santé publique à Pékin ont annoncé que 40 nouveaux cas de nouveau coronavirus avaient été confirmés à travers la Chine, dont 27 à Pékin. C'est à peu près la moitié des 80+ cas signalés à travers la Chine au cours du week-end, alors que les responsables intensifient les nouvelles mesures pour supprimer le dernier cluster, que le PCC s'est efforcé de rejeter sur l'Europe.
Notamment, les responsables du parti ont tenté de blâmer la dernière épidémie à Pékin sur le saumon européen importé (les responsables disent qu'ils ont d'abord détecté la présence du virus sur une planche à découper où le saumon importé avait été transformé à l'intérieur du marché de Xinfadi). Par mesure de précaution, les autorités ont fermé 11 marchés de la région et institué des interdictions de voyager sur les résidents "à haut risque" tout en fermant les complexes résidentiels et en plaçant des dizaines de milliers d'habitants de Pékin en verrouillage partiel alors que la ville s'efforce d'effectuer plus de 90 000 tests par jour. .
Plus bizarrement, les agents des douanes ont commencé à tester toutes les importations de viande (même si la Chine continue de souffrir d'une pénurie de porcs grâce à «l'ébola de porc» qui a balayé les agriculteurs du pays l'année dernière), tandis que les autorités locales ont été chargées d'effectuer des tests «intensifs» viande déjà sur le plateau. Les tests utilisés sont les mêmes tests d'acide nucléique utilisés sur les patients.
Les médias chinois contrôlés par l'État ont fait l'éloge des dangers soudains de la consommation de saumon, ce qui a incité les marchés du pays à jeter du saumon importé, gaspillant de bons fruits de mer importés nutritifs pour protéger le nouveau récit. De nouvelles importations de ces produits ont été interdites (au moins temporairement), comme le rapporte BBG.
De plus, Shanghai mettra en quarantaine toutes les personnes arrivant dans la ville des zones à risque moyen ou élevé de Pékin pendant 2 semaines, a annoncé mardi un responsable de la ville. Trois terminaux de bus qui gèrent le trafic d'autobus entre Beijing et Shanghai ont également été temporairement fermés.
Comme prévu, l'épidémie mondiale a atteint un nouveau jalon du jour au lendemain, dépassant la barre des 8 millions de cas, car les cas ont atteint 8 005 294, selon l'Université Johns Hopkins.
Alors que la Chine et l'Inde s'engagent dans le différend frontalier le plus controversé depuis près de 50 ans, les responsables de la santé en Inde ont signalé 10 667 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, contre 11 502 la veille, ce qui porte le total du pays à 343 091, tandis que les décès dans le pays se rapprochaient de la 10 km (9 900, soit 380 de plus que lundi matin). L'Inde a vu de nouveaux cas monter en flèche depuis qu'elle a commencé à assouplir son verrouillage restrictif.
Alors que les États-Unis et la presse américaine ont concentré la majeure partie de leur attention sur les essais de vaccins et le remdesivir, un autre médicament bon marché déjà existant aurait, semble-t-il, permis de réduire définitivement la mortalité liée au COVID-19 selon une nouvelle étude d'Oxford. Pour les patients sous respirateurs, il a réduit le risque de bureau de 40% à moins de 30%. "C'est le seul médicament à ce jour démontré pour réduire la mortalité ... et il la réduit considérablement."
Eric Feigl-Ding
@DrEricDing
·
30 min
Breaking: new trial find first drug to reduce #COVID19 mortality- For patients on ventilators the anti-inflammatory dexamethasone cut death risk from 40% to 28%. For patients on O2, death risk cut from 25% to 20%. Modest, but best of all: costs <$10!
Selon la BBC, un médicament bon marché et largement disponible appelé dexaméthasone a été trouvé pour aider les patients gravement malades souffrant de COVID-19. Les experts britanniques affirment que le traitement aux stéroïdes à faible dose est une percée majeure dans la lutte contre le virus car il a réduit d'un tiers le taux de mortalité des patients les plus vulnérables.
Lors d'une interview sur CNBC, le Dr Scott Gottlieb, l'ancien directeur de la FDA, a déclaré que l'étude était bien organisée et ses conclusions - qu'un stéroïde à faible coût peut réduire considérablement la mortalité parmi les patients les plus gravement malades - représentent une percée majeure. Il a également noté avec désinvolture que le CDC avait découragé l'utilisation de stéroïdes comme la dexaméthasone.
Après qu'une vague de nouveaux cas de coronavirus a été signalée à Tokyo au cours de la semaine dernière, les autorités japonaises ont tenté de déterminer dans quelle mesure le virus avait pénétré la société japonaise au cours de sa première campagne. Les tests d'anticorps suggéreraient que 0,1% des Tokyoïtes ont été infectés par le virus, tandis que le ministre de la Santé Katsunobu Kato a déclaré que le gouvernement cherchait à mieux comprendre l'ampleur de la propagation de la pandémie au Japon. Le taux est nettement inférieur à celui d'autres centres de population mondiale comme NYC (12,3%) et Stockholm (7,3%).
La Corée du Sud a signalé mardi 34 nouveaux cas, contre 37 il y a un jour, portant son nombre total d'infections à 12 155, avec 278 décès.
La Nouvelle-Zélande signale deux nouveaux cas, tous deux liés à des voyages récents depuis le Royaume-Uni après que la PM Jacinda Ardern a déclaré le pays "indemne de coronavirus" la semaine dernière, bien qu'elle ait averti que de nouvelles infections pourraient survenir en raison des voyages et du commerce internationaux.
Passant aux États-Unis, Politico rapporte que des milliers de maisons de soins infirmiers à travers le pays n'ont pas été inspectées pour voir si le personnel suit les procédures appropriées pour prévenir une épidémie virale mortelle, après que les décès dans les établissements de soins de longue durée représentaient un quart de tous les COVID -19 décès. Malgré cela, seulement un peu plus de la moitié des maisons de soins infirmiers du pays ont fait l'objet d'inspections, selon des données publiées plus tôt ce mois-ci.
Alors que l'examen des données de test de la Floride s'intensifie, les responsables de la santé publique du Texas ont signalé un recul des nouveaux cas confirmés lundi, avec de nouveaux cas en hausse de 1,4% par rapport à la précédente. Moyenne sur 7 jours de 2,3%.
Il y a quelques jours, l'Institute for Health Metrics and Evaluation de l'Université de Washington a augmenté ses prévisions de décès dus au COVID-19 à 170 000+ d'ici la fin de l'été. Maintenant, il augmente légèrement ces prévisions pour tenir compte de la hausse des nouveaux cas dans des États comme la Floride et le Texas. Les nouvelles prévisions nationales prévoient 200 000 cas et plus (201 129) d'ici octobre, tandis que le nombre de morts en Floride devrait grimper de 186% à 18 675 au lieu de 6 559.
Bien que le nombre de nouveaux décès par coronavirus aux États-Unis ait tendance à baisser, les nouveaux cas ont recommencé à augmenter alors que les nouveaux points chauds compensent la baisse des infections dans la grande région métropolitaine de New York. Notamment, le NYT a retiré la Californie de sa liste d'États où de nouveaux cas augmentent, car les responsables de l'État ont vu le nombre critique de nouveaux cas diminuer au cours de la semaine dernière.
Pékin tiendra une autre conférence de presse à 20 h, heure locale (8 h HE), alors qu'elle revient au calendrier de 2 séances d'information par jour auquel elle a adhéré à l'apogée de l'épidémie à Wuhan, bien qu'il ne soit pas clair dans quelle mesure la séance d'information se concentrera sur le virus étant donné les tensions renouvelées avec l'Inde.
Une étude révèle que COVID-19 "Miracle Cure" peut sauver les patients gravement malades comme les 8 millions de cas mondiaux: mises à jour en direct
Hier soir, juste avant 22 heures, les responsables de la santé publique à Pékin ont annoncé que 40 nouveaux cas de nouveau coronavirus avaient été confirmés à travers la Chine, dont 27 à Pékin. C'est à peu près la moitié des 80+ cas signalés à travers la Chine au cours du week-end, alors que les responsables intensifient les nouvelles mesures pour supprimer le dernier cluster, que le PCC s'est efforcé de rejeter sur l'Europe.
Notamment, les responsables du parti ont tenté de blâmer la dernière épidémie à Pékin sur le saumon européen importé (les responsables disent qu'ils ont d'abord détecté la présence du virus sur une planche à découper où le saumon importé avait été transformé à l'intérieur du marché de Xinfadi). Par mesure de précaution, les autorités ont fermé 11 marchés de la région et institué des interdictions de voyager sur les résidents "à haut risque" tout en fermant les complexes résidentiels et en plaçant des dizaines de milliers d'habitants de Pékin en verrouillage partiel alors que la ville s'efforce d'effectuer plus de 90 000 tests par jour. .
Plus bizarrement, les agents des douanes ont commencé à tester toutes les importations de viande (même si la Chine continue de souffrir d'une pénurie de porcs grâce à «l'ébola de porc» qui a balayé les agriculteurs du pays l'année dernière), tandis que les autorités locales ont été chargées d'effectuer des tests «intensifs» viande déjà sur le plateau. Les tests utilisés sont les mêmes tests d'acide nucléique utilisés sur les patients.
Les médias chinois contrôlés par l'État ont fait l'éloge des dangers soudains de la consommation de saumon, ce qui a incité les marchés du pays à jeter du saumon importé, gaspillant de bons fruits de mer importés nutritifs pour protéger le nouveau récit. De nouvelles importations de ces produits ont été interdites (au moins temporairement), comme le rapporte BBG.
De plus, Shanghai mettra en quarantaine toutes les personnes arrivant dans la ville des zones à risque moyen ou élevé de Pékin pendant 2 semaines, a annoncé mardi un responsable de la ville. Trois terminaux de bus qui gèrent le trafic d'autobus entre Beijing et Shanghai ont également été temporairement fermés.
Comme prévu, l'épidémie mondiale a atteint un nouveau jalon du jour au lendemain, dépassant la barre des 8 millions de cas, car les cas ont atteint 8 005 294, selon l'Université Johns Hopkins.
Alors que la Chine et l'Inde s'engagent dans le différend frontalier le plus controversé depuis près de 50 ans, les responsables de la santé en Inde ont signalé 10 667 nouvelles infections au cours des dernières 24 heures, contre 11 502 la veille, ce qui porte le total du pays à 343 091, tandis que les décès dans le pays se rapprochaient de la 10 km (9 900, soit 380 de plus que lundi matin). L'Inde a vu de nouveaux cas monter en flèche depuis qu'elle a commencé à assouplir son verrouillage restrictif.
Alors que les États-Unis et la presse américaine ont concentré la majeure partie de leur attention sur les essais de vaccins et le remdesivir, un autre médicament bon marché déjà existant aurait, semble-t-il, permis de réduire définitivement la mortalité liée au COVID-19 selon une nouvelle étude d'Oxford. Pour les patients sous respirateurs, il a réduit le risque de bureau de 40% à moins de 30%. "C'est le seul médicament à ce jour démontré pour réduire la mortalité ... et il la réduit considérablement."
Eric Feigl-Ding
@DrEricDing
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Breaking: new trial find first drug to reduce #COVID19 mortality- For patients on ventilators the anti-inflammatory dexamethasone cut death risk from 40% to 28%. For patients on O2, death risk cut from 25% to 20%. Modest, but best of all: costs <$10! Selon la BBC, un médicament bon marché et largement disponible appelé dexaméthasone a été trouvé pour aider les patients gravement malades souffrant de COVID-19. Les experts britanniques affirment que le traitement aux stéroïdes à faible dose est une percée majeure dans la lutte contre le virus car il a réduit d'un tiers le taux de mortalité des patients les plus vulnérables.
Lors d'une interview sur CNBC, le Dr Scott Gottlieb, l'ancien directeur de la FDA, a déclaré que l'étude était bien organisée et ses conclusions - qu'un stéroïde à faible coût peut réduire considérablement la mortalité parmi les patients les plus gravement malades - représentent une percée majeure. Il a également noté avec désinvolture que le CDC avait découragé l'utilisation de stéroïdes comme la dexaméthasone.
Après qu'une vague de nouveaux cas de coronavirus a été signalée à Tokyo au cours de la semaine dernière, les autorités japonaises ont tenté de déterminer dans quelle mesure le virus avait pénétré la société japonaise au cours de sa première campagne. Les tests d'anticorps suggéreraient que 0,1% des Tokyoïtes ont été infectés par le virus, tandis que le ministre de la Santé Katsunobu Kato a déclaré que le gouvernement cherchait à mieux comprendre l'ampleur de la propagation de la pandémie au Japon. Le taux est nettement inférieur à celui d'autres centres de population mondiale comme NYC (12,3%) et Stockholm (7,3%).
La Corée du Sud a signalé mardi 34 nouveaux cas, contre 37 il y a un jour, portant son nombre total d'infections à 12 155, avec 278 décès.
La Nouvelle-Zélande signale deux nouveaux cas, tous deux liés à des voyages récents depuis le Royaume-Uni après que la PM Jacinda Ardern a déclaré le pays "indemne de coronavirus" la semaine dernière, bien qu'elle ait averti que de nouvelles infections pourraient survenir en raison des voyages et du commerce internationaux.
Passant aux États-Unis, Politico rapporte que des milliers de maisons de soins infirmiers à travers le pays n'ont pas été inspectées pour voir si le personnel suit les procédures appropriées pour prévenir une épidémie virale mortelle, après que les décès dans les établissements de soins de longue durée représentaient un quart de tous les COVID -19 décès. Malgré cela, seulement un peu plus de la moitié des maisons de soins infirmiers du pays ont fait l'objet d'inspections, selon des données publiées plus tôt ce mois-ci.
Alors que l'examen des données de test de la Floride s'intensifie, les responsables de la santé publique du Texas ont signalé un recul des nouveaux cas confirmés lundi, avec de nouveaux cas en hausse de 1,4% par rapport à la précédente. Moyenne sur 7 jours de 2,3%.
Il y a quelques jours, l'Institute for Health Metrics and Evaluation de l'Université de Washington a augmenté ses prévisions de décès dus au COVID-19 à 170 000+ d'ici la fin de l'été. Maintenant, il augmente légèrement ces prévisions pour tenir compte de la hausse des nouveaux cas dans des États comme la Floride et le Texas. Les nouvelles prévisions nationales prévoient 200 000 cas et plus (201 129) d'ici octobre, tandis que le nombre de morts en Floride devrait grimper de 186% à 18 675 au lieu de 6 559.
Bien que le nombre de nouveaux décès par coronavirus aux États-Unis ait tendance à baisser, les nouveaux cas ont recommencé à augmenter alors que les nouveaux points chauds compensent la baisse des infections dans la grande région métropolitaine de New York. Notamment, le NYT a retiré la Californie de sa liste d'États où de nouveaux cas augmentent, car les responsables de l'État ont vu le nombre critique de nouveaux cas diminuer au cours de la semaine dernière.
Pékin tiendra une autre conférence de presse à 20 h, heure locale (8 h HE), alors qu'elle revient au calendrier de 2 séances d'information par jour auquel elle a adhéré à l'apogée de l'épidémie à Wuhan, bien qu'il ne soit pas clair dans quelle mesure la séance d'information se concentrera sur le virus étant donné les tensions renouvelées avec l'Inde.
