Cette fois ci le privé est sollicité et reçoit des malades y compris des covid19. Au premier pic épidémique cela n'a pas été partout le cas surtout en région parisienne pour une question stupide de guerre entre les deux où le public reproche au privé de garder une médecine lucrative et de se décharger sur le public des cas les plus graves ou les plus couteux (ça n'a pas toujours été faux, je sais de quoi je parle).
C'est une vieille guerre qui a vu, par exemple, les médecins privés complètement écartés de la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 de Roseline Bachelot (sauf s'ils acceptaient de sortir de leurs cabinets privés pour venir dans des structures vaccinales publiques) ce qui fait qu'au
total cette campagne a coûté cher.
Il semble que les leçons ont été tirées et que pour cette deuxième vague cela se passe mieux.
Enfin presque mieux, il y a encore un petit effort à faire (surtout financier) pour impliquer les généralistes dans la réalisation des tests.
un effort vis à vis des élèves infirmiers volontaires pour servir dans les services en dehors de leurs stages reste aussi à faire, il n'est pas normal qu'ils soient payés au tarif de stagiaire à 1€ de l'heure...le smic serait le minimum acceptable.