Quand tu vois sur la base de quoi se calcule le QI ça a
tendance plutôt à me rassurer personnellement
Le test de QI seul filtre beaucoup de surdoués, sache le.
Tu observe les choses de la même manière qu'on les observaient il y a des décennies.
En fait, sur la même file, peut-être sans t'en rendre compte, tu pointe à la fois du doigt ceux que tu estime "asservis" par l'éducation scolaire, et ceux qui s'en émancipent parce qu'ils ont estimés que l'éducation scolaire seule ne les aiderait pas suffisamment.
Je fais partis de ceux qui ont su évoluer en partant de très peu. A l'école j'étais un cancre. Non pas à cause des écrans (je ne connaissais pas ça quand j'étais à l'école) mais parce j'ai toujours grandis dans la marge (je sais depuis pourquoi).
J'ai redoublé une classe, j'ai eu tout juste la moyenne tous les ans.
A l'école j'étais déjà conscient que j'apprenais des choses qui pour la plupart ne me serviraient à rien pour plus tard. Conclusion : ce n'est que trop vrai X années plus tard, et je le penses encore aujourd'hui pour ceux qui sont à l'école aujourd'hui, et ça n'a rien à voir avec l'école française mais tout simplement avec les programmes scolaires de groupes.
J'étais mauvais à l'école parce que le programme scolaire n'était pas adapté à ma personnalité, c'est tout.
Toutes les matières que j'aimais, j'excellais, tout ce qui ne me plaisais pas, je fermais les yeux la tête entre mes bras sur la table.
Puis après tout ça j'ai suivis ma voie, et j'ai su grandir et j'ai su m' enrichir de choses qui ME passionnais.
Prend conscience que l'éducation c'est quelque chose qui ne s'arrête pas, c'est constant, et c'est jusqu'à la mort.
Le problème c'est pas vos discours niveau "médias pourri" sur une pseudo baisse du QI, mais c'est ceux qui arrêtent d'évoluer et de s'instruire.
On a tous nos qualités et nos faiblesses. Ce qui est important dans un pays c'est d'avoir une belle population diversifiée en terme de culture, dans le sens "connaissances". Quand t'as une majorité du troupeau qui cesse d'évoluer et de s'intéresser aux choses et reste nombriliste sur son petit confort, c'est là qu'on touche quelque chose de dangereux.