Salut antares :
"
J'irais même a dire que là où on voit de l'inégalité, c'est plus une forme de manque de fierté ou d'estime de soi par rapport a l'autre."
Oui il est bien question d'humanité
Mais si on ne réglemente pas les inégalités au moins sur les planchers on dériverait dans des extrêmes terribles
Si t'es dans la misère je peux t'exploiter en te payant 2€ de l'heure et tu devrais me remercier malgré ton exploitation (c'est pas beau l'humanité?
) , et ton estime de toi par rapport aux autres qui auraient eux un revenu payé 5 ou 10€ de l'heure pour la même tâche tu devrais donc l'accepter et t'en contenter
Non on le réglemente pour empêcher les gens égoïstes et profiteurs de trop exploiter les gens en difficultés.
Donc pour gérer les inégalités de façon humaine on doit encadrer ces dernières pour éviter ou du moins limiter les injustices:
Voici une des utilités de ne pas permettre certaines inégalités qui sont dangereuses et indignes
Il est certain que la carotte pour certains métiers est donc de récompenser les personnes qui ont fournit des efforts, cela bien sûr est compréhensible donc qui va les contester ?
Mais d'un point de vue société et organisations l'argent est plutôt un moyen protecteur de permettre à tous les membres de la société d'avoir un moyen d'échange en contre partie de leurs efforts fournis pour la société (ce qui n'est pas du tout comme le communisme qui récompenserait de la même manière un portier qu'un chirurgien)
Mais si il n'y a pas de limites les esprits malfaisants exploitent le commerce pour s'enrichir même si leurs idées sont nocives pour le reste de la société...
Donc repenser ces points là c'est en partie grâce à l'éthique et des valeurs dignes et humaines qu'on avancera
En fait y'a que si on a l'esprit ouvert aux nouvelles idées et solutions qu'on peut avancer, car y'en a , mais souvent surtout les anciens ça les agace d'écouter des nouvelles idées, pensant tout savoir ou ayant des privilèges à protéger
, comment les progrès et innovations se produisent, grâce à des nouvelles idées, l'évolution n'est pas terminée