La douche qui coule quand on se savonne, le lave vaisselle mis en route à moitié plein, les lumières allumées pour rien, les appareils en veilles (télé, pc....) et bien d'autres...
Moi non plus falex, mais je pense qu'il suffirait de faire un tout petit peu attention à nos consommations énergétiques pour qu'à l'échelle du pays, nous réalisions de substantielles économies.
La douche qui coule quand on se savonne, le lave vaisselle mis en route à moitié plein, les lumières allumées pour rien, les appareils en veilles (télé, pc....) et bien d'autres...
La douche qui coule quand on se savonne, le lave vaisselle mis en route à moitié plein, les lumières allumées pour rien, les appareils en veilles (télé, pc....) et bien d'autres...
Et comme l’a dit un ancien Président, nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas.
Mais on peut toujours rejeter la responsabilité sur les autres , disant que les autres font pire.
Ce qui importe n’est pas ce que font les autres mais ce je fais moi , même si j’ai conscience que ça ne sert à rien au vu de ce que fait la majorité encore.
Mais la majorité d’aujourd’hui peut changer demain, alors ne désespérons pas et faisons ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi.
Mais on peut toujours rejeter la responsabilité sur les autres , disant que les autres font pire.
Ce qui importe n’est pas ce que font les autres mais ce je fais moi , même si j’ai conscience que ça ne sert à rien au vu de ce que fait la majorité encore.
Mais la majorité d’aujourd’hui peut changer demain, alors ne désespérons pas et faisons ce qu’il faut pour qu’il en soit ainsi.
Je me permet de re-poster ici une conférence de bill gates sur le climat.
Certes, il en profite pour faire sa publicité. Mais je trouve son approche intéressante.
Ps : sous titres en français.
Certes, il en profite pour faire sa publicité. Mais je trouve son approche intéressante.
Ps : sous titres en français.
᯾Les activités humaines représentent 1% du réchauffement climatique᯾.:roll:
On a mis du temps à établir, hors de tout doute, la responsabilité humaine dans le processus d’effet de serre, parce que la majorité de ces gaz sont produits à la fois par des processus naturels et anthropiques (humains). Aujourd’hui, les scientifiques concluent que les GES produits par l’homme ont un impact incontournable sur l’effet de serre et contribuent à son renforcement.᯾
᯾L’activité humaine n’a pas d’influence directe sur le circuit global de la vapeur d’eau (H2O), qui est le GES le plus présent dans l’atmosphère. Cependant, elle en a une sur le dioxyde de carbone (CO2) qui compte actuellement pour au moins les 2/3 de l’effet de serre renforcé, le méthane (CH4), moins présent, mais contribuant plus au réchauffement par unité, pour 20 %, l’oxyde nitreux (N2O) pour 5 % et les halocarbures (CFC, HFC, etc.) pour 2 %.On a mis du temps à établir, hors de tout doute, la responsabilité humaine dans le processus d’effet de serre, parce que la majorité de ces gaz sont produits à la fois par des processus naturels et anthropiques (humains). Aujourd’hui, les scientifiques concluent que les GES produits par l’homme ont un impact incontournable sur l’effet de serre et contribuent à son renforcement.᯾
᯾Pour atteindre la cible, les émissions globales devront connaître leur pic vers 2020, être réduites de 40 à
70 % en 2050 par rapport à 2010, et être virtuellement nulles en 2100. Cela laisse 85 ans pour faire émerger une société « décarbonisée ». Vu autrement, dans 10 ans, les émissions devront être équivalentes à celles de 2010, et en décroissance.᯾
70 % en 2050 par rapport à 2010, et être virtuellement nulles en 2100. Cela laisse 85 ans pour faire émerger une société « décarbonisée ». Vu autrement, dans 10 ans, les émissions devront être équivalentes à celles de 2010, et en décroissance.᯾
᯾
Pénurie d'eau, exode, malnutrition, extinction d'espèces... La vie sur Terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt, alerte un projet de rapport des experts climat de l'ONU obtenu par l'AFP.
Quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les impacts dévastateurs du réchauffement sur la nature et l'humanité qui en dépend vont s'accélérer, assure le Giec, et devenir douloureusement palpables bien avant 2050.
"La vie sur Terre peut se remettre d'un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes", note le résumé technique de 137 pages. "L'humanité ne le peut pas".
Le projet de rapport rédigé par des centaines de scientifiques rattachés au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), qui fait autorité en la matière, oscille entre un ton apocalyptique et l'espoir offert aux hommes de changer leur destin par des mesures immédiates et drastiques.
Le rapport d'évaluation complet de 4.000 pages, bien plus alarmiste que le précédent de 2014, a pour vocation d'éclairer les décisions politiques.
Même si ses principales conclusions ne changeront pas, il ne sera officiellement publié qu'en février 2022, après son approbation par Consensus par les 195 Etats membres.
Trop tard cependant pour les cruciales réunions internationales sur le climat et la biodiversité prévues fin 2021, notent certains scientifiques.
Parmi ses conclusions les plus importantes, figure un abaissement du seuil au-delà duquel le réchauffement peut être considéré comme acceptable.
En signant l'accord de Paris en 2015, le monde s'est engagé à limiter le réchauffement à +2°C par rapport à l'ère pré-industrielle, si possible +1,5°C.
Désormais, le Giec estime que dépasser +1,5°C pourrait déjà entraîner "progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles".
Et selon l'Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de +1,5°C sur une année soit dépassé dès 2025 est déjà de 40%.
- "Nos enfants et petits-enfants" -
"Le pire est à venir, avec des implications sur la vie de nos enfants et nos petits-enfants bien plus que sur la nôtre", martèle le Giec, alors que la prise de conscience sur la crise climatique n'a jamais été aussi étendue.
Le climat a déjà changé. Alors que la hausse des températures moyennes depuis le milieu du XIXe siècle atteint 1,1°C, les effets sont déjà graves et seront de plus en plus violents, même si les émissions de CO2 sont freinées.
Et les êtres vivants -- humains ou non -- les moins à blâmer pour ces émissions sont, ironiquement, ceux qui en souffriront le plus.
Pour certains animaux et variétés de plantes, il est peut être même déjà trop tard: "Même à +1,5°C, les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s'adapter", souligne le rapport, citant les récifs coralliens dont un demi-milliard de personnes dépendent.
Parmi les espèces en sursis figurent les animaux de l'Arctique, territoire qui se réchauffe trois fois plus vite que la moyenne. Sur place, des modes de vie ancestraux, de peuples vivant en lien étroit avec la glace pourraient aussi disparaître.
- Pas prêts -
Agriculture, élevage, pêche, aquaculture.... "Dans tous les systèmes de production alimentaire, les pertes soudaines s'accroissent", observe aussi le rapport, pointant les aléas climatiques comme "principal moteur".
Or l'humanité n'est à ce stade pas armée pour faire face à la dégradation certaine de la situation. "Les niveaux actuels d'adaptation seront insuffisants pour répondre aux futurs risques climatiques", prévient le Giec.
Même en limitant la hausse à 2°C, jusqu'à 80 millions de personnes supplémentaires auront faim d'ici à 2050 et 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême d'ici dix ans.
En 2050, des centaines de millions d'habitants de villes côtières seront menacés par des vagues-submersion plus fréquentes, provoquées par hausse du niveau de la mer, qui entraînera à son tour des migrations importantes.
A +1,5°C, dans les villes, 350 millions d'habitants supplémentaires seront exposés aux pénuries d'eau, 400 millions à + 2°C. Et avec ce demi degré supplémentaire, 420 millions de personnes de plus seront menacées par des canicules extrêmes.
"Les coûts d'adaptation pour l'Afrique devraient augmenter de dizaines de milliards de dollars par an au delà de +2°C", prédit le rapport. Encore faut-il trouver cet argent.
Le texte souligne d'autre part le danger des effets en cascade. Certaines régions (est du Brésil, Asie du Sud-Est, Chine centrale) et presque toutes les zones côtières pourraient être frappées par trois ou quatre catastrophes météo simultanées, voire plus: canicule, sécheresse, cyclone, incendies, inondation, maladies transportées par les moustiques...
Et il faut de surcroît prendre en compte les effets amplificateurs d'autres activités humaines néfastes pour la planète, note le rapport: destruction des habitats, surexploitation des ressources, pollution, propagation des maladies...
"Le monde fait face à des défis entremêlés complexes", commente ainsi Nicholas Stern, spécialiste de l'économie du climat, pas impliqué dans ce rapport. "A moins de les affronter en même temps, nous n'allons en relever aucun", estime-t-il.
- Des choix radicaux -
Sans oublier les incertitudes autour des "points de bascule", éléments clés dont la modification substantielle pourrait entraîner le système climatique vers un changement violent et irrémédiable.
Au-delà de +2°C, la fonte des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique de l'Ouest (qui contiennent assez d'eau pour provoquer une hausse du niveau de la mer de 13 mètres) pourraient par exemple entraîner un point de non retour, selon de récents travaux.
C'est pour cela que "chaque fraction d'un degré compte", insiste le Giec, alors qu'un autre point de rupture pourrait voir l'Amazonie --un des poumons de la planète avec les océans-- transformée en savane.
Face à ces problèmes systémiques, aucun remède miracle unique. En revanche, une seule action peut avoir des effets positifs en cascade.
Par exemple, la conservation et la restauration des mangroves et des forêts sous-marines de kelp, qualifiées de puits de "carbone bleu", accroissent le stockage du carbone, mais protègent aussi contre les submersions, tout en fournissant un habitat à de nombreuses espèces et de la nourriture aux populations côtières.
En dépit de ses conclusions alarmantes, le rapport offre ainsi une note d'espoir. L'humanité peut encore orienter sa destinée vers un avenir meilleur en prenant aujourd'hui des mesures fortes pour freiner l'emballement de la deuxième moitié du siècle.
"Nous avons besoin d'une transformation radicale des processus et des comportements à tous les niveaux: individus, communautés, entreprises, institutions et gouvernement", plaide le rapport.
"Nous devons redéfinir notre mode de vie et de consommation".
mh/pg/klm/abd/rh/mck/ao᯾
Pénurie d'eau, exode, malnutrition, extinction d'espèces... La vie sur Terre telle que nous la connaissons sera inéluctablement transformée par le dérèglement climatique quand les enfants nés en 2021 auront 30 ans, voire plus tôt, alerte un projet de rapport des experts climat de l'ONU obtenu par l'AFP.
Quel que soit le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre, les impacts dévastateurs du réchauffement sur la nature et l'humanité qui en dépend vont s'accélérer, assure le Giec, et devenir douloureusement palpables bien avant 2050.
"La vie sur Terre peut se remettre d'un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes", note le résumé technique de 137 pages. "L'humanité ne le peut pas".
Le projet de rapport rédigé par des centaines de scientifiques rattachés au Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec), qui fait autorité en la matière, oscille entre un ton apocalyptique et l'espoir offert aux hommes de changer leur destin par des mesures immédiates et drastiques.
Le rapport d'évaluation complet de 4.000 pages, bien plus alarmiste que le précédent de 2014, a pour vocation d'éclairer les décisions politiques.
Même si ses principales conclusions ne changeront pas, il ne sera officiellement publié qu'en février 2022, après son approbation par Consensus par les 195 Etats membres.
Trop tard cependant pour les cruciales réunions internationales sur le climat et la biodiversité prévues fin 2021, notent certains scientifiques.
Parmi ses conclusions les plus importantes, figure un abaissement du seuil au-delà duquel le réchauffement peut être considéré comme acceptable.
En signant l'accord de Paris en 2015, le monde s'est engagé à limiter le réchauffement à +2°C par rapport à l'ère pré-industrielle, si possible +1,5°C.
Désormais, le Giec estime que dépasser +1,5°C pourrait déjà entraîner "progressivement, des conséquences graves, pendant des siècles, et parfois irréversibles".
Et selon l'Organisation météorologique mondiale, la probabilité que ce seuil de +1,5°C sur une année soit dépassé dès 2025 est déjà de 40%.
- "Nos enfants et petits-enfants" -
"Le pire est à venir, avec des implications sur la vie de nos enfants et nos petits-enfants bien plus que sur la nôtre", martèle le Giec, alors que la prise de conscience sur la crise climatique n'a jamais été aussi étendue.
Le climat a déjà changé. Alors que la hausse des températures moyennes depuis le milieu du XIXe siècle atteint 1,1°C, les effets sont déjà graves et seront de plus en plus violents, même si les émissions de CO2 sont freinées.
Et les êtres vivants -- humains ou non -- les moins à blâmer pour ces émissions sont, ironiquement, ceux qui en souffriront le plus.
Pour certains animaux et variétés de plantes, il est peut être même déjà trop tard: "Même à +1,5°C, les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s'adapter", souligne le rapport, citant les récifs coralliens dont un demi-milliard de personnes dépendent.
Parmi les espèces en sursis figurent les animaux de l'Arctique, territoire qui se réchauffe trois fois plus vite que la moyenne. Sur place, des modes de vie ancestraux, de peuples vivant en lien étroit avec la glace pourraient aussi disparaître.
- Pas prêts -
Agriculture, élevage, pêche, aquaculture.... "Dans tous les systèmes de production alimentaire, les pertes soudaines s'accroissent", observe aussi le rapport, pointant les aléas climatiques comme "principal moteur".
Or l'humanité n'est à ce stade pas armée pour faire face à la dégradation certaine de la situation. "Les niveaux actuels d'adaptation seront insuffisants pour répondre aux futurs risques climatiques", prévient le Giec.
Même en limitant la hausse à 2°C, jusqu'à 80 millions de personnes supplémentaires auront faim d'ici à 2050 et 130 millions pourraient tomber dans la pauvreté extrême d'ici dix ans.
En 2050, des centaines de millions d'habitants de villes côtières seront menacés par des vagues-submersion plus fréquentes, provoquées par hausse du niveau de la mer, qui entraînera à son tour des migrations importantes.
A +1,5°C, dans les villes, 350 millions d'habitants supplémentaires seront exposés aux pénuries d'eau, 400 millions à + 2°C. Et avec ce demi degré supplémentaire, 420 millions de personnes de plus seront menacées par des canicules extrêmes.
"Les coûts d'adaptation pour l'Afrique devraient augmenter de dizaines de milliards de dollars par an au delà de +2°C", prédit le rapport. Encore faut-il trouver cet argent.
Le texte souligne d'autre part le danger des effets en cascade. Certaines régions (est du Brésil, Asie du Sud-Est, Chine centrale) et presque toutes les zones côtières pourraient être frappées par trois ou quatre catastrophes météo simultanées, voire plus: canicule, sécheresse, cyclone, incendies, inondation, maladies transportées par les moustiques...
Et il faut de surcroît prendre en compte les effets amplificateurs d'autres activités humaines néfastes pour la planète, note le rapport: destruction des habitats, surexploitation des ressources, pollution, propagation des maladies...
"Le monde fait face à des défis entremêlés complexes", commente ainsi Nicholas Stern, spécialiste de l'économie du climat, pas impliqué dans ce rapport. "A moins de les affronter en même temps, nous n'allons en relever aucun", estime-t-il.
- Des choix radicaux -
Sans oublier les incertitudes autour des "points de bascule", éléments clés dont la modification substantielle pourrait entraîner le système climatique vers un changement violent et irrémédiable.
Au-delà de +2°C, la fonte des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique de l'Ouest (qui contiennent assez d'eau pour provoquer une hausse du niveau de la mer de 13 mètres) pourraient par exemple entraîner un point de non retour, selon de récents travaux.
C'est pour cela que "chaque fraction d'un degré compte", insiste le Giec, alors qu'un autre point de rupture pourrait voir l'Amazonie --un des poumons de la planète avec les océans-- transformée en savane.
Face à ces problèmes systémiques, aucun remède miracle unique. En revanche, une seule action peut avoir des effets positifs en cascade.
Par exemple, la conservation et la restauration des mangroves et des forêts sous-marines de kelp, qualifiées de puits de "carbone bleu", accroissent le stockage du carbone, mais protègent aussi contre les submersions, tout en fournissant un habitat à de nombreuses espèces et de la nourriture aux populations côtières.
En dépit de ses conclusions alarmantes, le rapport offre ainsi une note d'espoir. L'humanité peut encore orienter sa destinée vers un avenir meilleur en prenant aujourd'hui des mesures fortes pour freiner l'emballement de la deuxième moitié du siècle.
"Nous avons besoin d'une transformation radicale des processus et des comportements à tous les niveaux: individus, communautés, entreprises, institutions et gouvernement", plaide le rapport.
"Nous devons redéfinir notre mode de vie et de consommation".
mh/pg/klm/abd/rh/mck/ao᯾
Bill Gates dans la vidéo qui nous parle de l’importance du bilan carbone, il est bien mal placé ...
https://www.businessinsider.fr/voici-un-apercu-de-lempire-immobilier-construit-par-bill-gates-au-fil-des-ans-187421
Et votre impact carbone c’est quoi ?
https://avenirclimatique.org/micmac/simulationCarbone.php
https://nosgestesclimat.fr/
https://www.businessinsider.fr/voici-un-apercu-de-lempire-immobilier-construit-par-bill-gates-au-fil-des-ans-187421
Et votre impact carbone c’est quoi ?
https://avenirclimatique.org/micmac/simulationCarbone.php
https://nosgestesclimat.fr/
Bizarre ce site. Ils prennent en compte les forfaits mobiles et internet....
Si je les prends en compte : j'explose la consommation co2.
Si je ne prends que l'achat de matériel : je suis dans la norme française.
Je ne savais pas que passer de free à Orange me faisait émettre plus de co2....
Si je les prends en compte : j'explose la consommation co2.
Si je ne prends que l'achat de matériel : je suis dans la norme française.
Je ne savais pas que passer de free à Orange me faisait émettre plus de co2....
᯾Des scientifiques affirment que l'acidification des océans pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre approvisionnement alimentaire. Presque la moitié de la population mondiale n'aurait plus de quoi se nourrir. Ce scénario, catastrophique et impensable pour ceux qui ne voient pas les effets du dérèglement climatique au quotidien, vient pourtant d'être sérieusement envisagé par deux scientifiques, rapporte Futurism. Avec la constante hausse de l'acidité de nos océans due aux émissions de gaz à effet de serre, l'ensemble des chaînes alimentaires pourrait être affecté et l'humanité serait amenée à connaître de véritables désastres dans les décennies à venir.᯾
Spoiler:
TOUT a un impact Loilodan. Changer de marque de shampoing, de sardines ou d’opérateur change tout bilan. C'est pourtant logique. Free a forcément moins d'impact qu'Orange, vu qu'ils ont une infrastructure moins développée.
On blablate mais je vous informe qu'il est déjà trop tard et que nous allons payer tout ça très cher. Plus vous serez pauvres, plus vous serez toucher (pas possibilité d'acheter des aliments ultras chers car rares et d'utiliser la clim par exemple. Ca c'est pour chez nous, mais à l'échelle mondiale les plus pauvres sont souvent dans des zones arides ou inondables et le moins responsable du chaos climatique).
Vos n'y croirez pas tant que vous ne subirez pas directement les effets.
Pourtant dehors la vie se meurt. Les ruraux l'ont bien compris pour la plupart, surtout ceux qui vivent de la Terre.
Vos n'y croirez pas tant que vous ne subirez pas directement les effets.
Pourtant dehors la vie se meurt. Les ruraux l'ont bien compris pour la plupart, surtout ceux qui vivent de la Terre.
En France, il est claire depuis un moment maintenant que, si nous ne voulons pas dépasser les +5°C en 2051 et bien il faut réduire nos émissions de CO2 en passant de 10 tonnes à seulement 2 tonnes de CO2 par habitant.
Et pour cela, mais pas que hein , il faut réduire la conso des énergies fossiles, réduire les émissions de méthanes, réduire la déforestation, réduire l'utilisation d'autre gaz type climatisation.
Ce sont ces bases. Malheureusement. Malheureusement car avec nos modes de vies actuelles, cela est très difficile.
Un exemple : Cessons de consommer de l'énergie fossile et puis pour les récalcitrants, cessons de consommer du nucléaire. Je dois me chauffer, m'éclairer, laver le linge, faire fonctionner la plaque électrique, regarder la tv ou le pc, je dois recharger la batterie de ma zoé électrique etc.
Je vais être fourni en électricité éolienne ou solaire par exemple.
Votre conso' d'énergie est donc de votre point de vue "verte" comme le dirais ce terme à la mode. Malheureusement, cela ne participe pas à réduire les émissions de CO2 par individu.
Fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes sont polluantes et émetteusent de grande quantité de CO2. Ce matériel est fabriquer à l'étranger et principalement dans les pays asiatique, car nous n'avons pas les matériaux ici. De l'extraction des métaux, à la transformation, à la fabrication, au transport jusqu'en France puis jusqu'au particulier ou dans le champs.
Voyez-vous comme le problème est profond et très délicat ? Les solutions sont là, parfois raisonnable, parfois pas du tout. Mais elles sont là. Il faut que nous fassions des choix, parfois ils seront douloureux et parfois ils seront heureux. C'est ainsi
On parle bien de climat et non pas d'écologie, qui sont deux choses différentes.
Enfin, le climat va petit à petit s'installer obligatoirement sur les agendas de n'importe quel partie politique alors qu'actuellement c'est au bon vouloir des uns et des autres.
Le virage est déjà amorcé. Et je le répète, ici, nous aurons de quoi investir dans ces secteurs
Et pour cela, mais pas que hein , il faut réduire la conso des énergies fossiles, réduire les émissions de méthanes, réduire la déforestation, réduire l'utilisation d'autre gaz type climatisation.
Ce sont ces bases. Malheureusement. Malheureusement car avec nos modes de vies actuelles, cela est très difficile.
Un exemple : Cessons de consommer de l'énergie fossile et puis pour les récalcitrants, cessons de consommer du nucléaire. Je dois me chauffer, m'éclairer, laver le linge, faire fonctionner la plaque électrique, regarder la tv ou le pc, je dois recharger la batterie de ma zoé électrique etc.
Je vais être fourni en électricité éolienne ou solaire par exemple.
Votre conso' d'énergie est donc de votre point de vue "verte" comme le dirais ce terme à la mode. Malheureusement, cela ne participe pas à réduire les émissions de CO2 par individu.
Fabriquer des panneaux solaires ou des éoliennes sont polluantes et émetteusent de grande quantité de CO2. Ce matériel est fabriquer à l'étranger et principalement dans les pays asiatique, car nous n'avons pas les matériaux ici. De l'extraction des métaux, à la transformation, à la fabrication, au transport jusqu'en France puis jusqu'au particulier ou dans le champs.
Voyez-vous comme le problème est profond et très délicat ? Les solutions sont là, parfois raisonnable, parfois pas du tout. Mais elles sont là. Il faut que nous fassions des choix, parfois ils seront douloureux et parfois ils seront heureux. C'est ainsi
On parle bien de climat et non pas d'écologie, qui sont deux choses différentes.
Enfin, le climat va petit à petit s'installer obligatoirement sur les agendas de n'importe quel partie politique alors qu'actuellement c'est au bon vouloir des uns et des autres.
Le virage est déjà amorcé. Et je le répète, ici, nous aurons de quoi investir dans ces secteurs
:roll: Rien De Nouveau Sous Le Soleil J'Ai Envie De Dire ,
Le Mal Est Fait, Meme Si On Tire Le Frein D'Urgence .
Le Monde Est En Train De Changer, Mais L'Etre Humain Continuera Ce Qu'Il Fait Le Mieux :
Consommer, Polluer, Se Reproduire, Et Bronzer Au Soleil,
(Temps Mieux L’Été Dure Plus Longtemps Maintenant ,
Et Avec La Monter Des Eaux On Aura Toujours Les Pieds Dans L'Eau Ironique .)
Il N'Est Pire Aveugle Que Celui Qui Ne Veut Pas Voir.
Le Mal Est Fait, Meme Si On Tire Le Frein D'Urgence .
Le Monde Est En Train De Changer, Mais L'Etre Humain Continuera Ce Qu'Il Fait Le Mieux :
Consommer, Polluer, Se Reproduire, Et Bronzer Au Soleil,
(Temps Mieux L’Été Dure Plus Longtemps Maintenant ,
Et Avec La Monter Des Eaux On Aura Toujours Les Pieds Dans L'Eau Ironique .)
Il N'Est Pire Aveugle Que Celui Qui Ne Veut Pas Voir.
Il y a une équation terrible à résoudre , d’un côté des montagnes de dettes et une économie à faire tourner pour les diminuer et nourrir une population qui ne cesse de croître et de l’autre une planète qui étouffe et s’asphyxie.
Ce site est bien mieux :
https://nosgestesclimat.fr/
Avec lui, je suis en dessous de la moyenne française.
En fait, ces résultats ne me semblent pas vraiment fiables...
https://nosgestesclimat.fr/
Avec lui, je suis en dessous de la moyenne française.
En fait, ces résultats ne me semblent pas vraiment fiables...
Par ailleurs, la SEC à lancé en mars 2021 une consultation afin de proposer des éléments à publier auprès des actionnaires concernant l'action de chaque entreprise qu'on et n'ont pas sur le climat.
Il faudra attendre la conclusion
Le lien : http://www.sec.gov/news/public-statement/lee-climate-change-disclosures
Il faudra attendre la conclusion
Le lien : http://www.sec.gov/news/public-statement/lee-climate-change-disclosures
᯾A Lytton, village au nord-est de Vancouver, le mercure a grimpé jusqu'à 46,6 degrés Celsius. La température la plus élevée jamais enregistrée au Canada était auparavant de 45 degrés, en 1937.
Les magasins sont en rupture de stock de climatiseurs et de ventilateurs, tandis que les villes ont ouvert des centres de rafraîchissement. Des campagnes de vaccination contre le Covid-19 ont été annulées, et des écoles fermées.᯾
Les magasins sont en rupture de stock de climatiseurs et de ventilateurs, tandis que les villes ont ouvert des centres de rafraîchissement. Des campagnes de vaccination contre le Covid-19 ont été annulées, et des écoles fermées.᯾
᯾Le problème du changement climatique c’est qu’il dégrade notre capacité à prédire le futur. Pour James Bridle, alors que la prédiction est au coeur du futur, celui-ci est de moins en moins clair, de moins en moins prévisible. Les modèles et cycles de la nature que nous avons établis depuis des siècles (comme la pollinisation, les migrations animales, etc.) sont en train de changer : les connaissances que nous avons accumulées sont en train de devenir fausses. Or, notre civilisation repose pour beaucoup sur ce type de prédiction, comme de savoir quelle graine planter à quel moment de l’année, comme d’être capable de prédire les sécheresses ou les feux de forêt… Nos enfants pourraient demain en savoir bien moins sur le monde que nous !᯾
Spoiler:
Bonjour Andlil,
L'époque est passionnante à vivre.
Comment nous sortirons-nous de cette nouvelle épreuve ?
L'époque est passionnante à vivre.
Comment nous sortirons-nous de cette nouvelle épreuve ?
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