Bonjour à tous
Treve, claude, max , Zaco, Michael
Merci Benoist pour le GMT et le good morning premium que j’ai écouté avec attention
Merci Kevtrade pour cette semaine d'open intéressante
Bonne fin de semaine à tous
Treve, claude, max , Zaco, Michael
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Bonne fin de semaine à tous
bonjour la team us
merci pour la vidéo gaetan
merci pour la vidéo gaetan
Claude t'es déjà là ??
pris +22 sur petit short dax . Pause café jusqu'à l'open.
hello everybodyz
merci Kevtrade pour open rafraichissant et Benoist pour boss gmt
Le bonjour Treve
Trouvé article (un poil long) d'il y a 1 mois dans le figaro sur le risque gaz de l'hiver prochain en france : en synthèse ça a pas l'air critique présenté comme ça...
Bonne session et bons trade a tous
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À des centaines de mètres sous terre, les stockages de gaz se remplissent en vue de l’hiver
Par Guillaume Guichard
Publié le 23/06/2022 à 18:36, mis à jour le 23/06/2022 à 18:36
REPORTAGE - À Saint-Illiers-la-Ville, dans les Yvelines, le remplissage de la bulle de gaz souterraine a commencé au début du printemps. Objectif: éviter la pénurie hivernale.
Au milieu des champs de blé et des forêts de chênes, se cache un immense stockage souterrain de gaz. À Saint-Illiers-la-Ville, dans les Yvelines, il faut suivre les petites routes bucoliques pour parvenir jusqu’à ce site stratégique pour l’indépendance énergétique française, opéré par Storengy, une filiale d’Engie. Sur presque 10 hectares sont éparpillés, à peine visibles derrière les blés qui jaunissent, une vingtaine de quadrilatères grillagés protégeant des puits qui plongent jusqu’à 400 mètres sous terre pour injecter - ou soutirer - du gaz naturel.
Une gigantesque «bulle» de méthane (le gaz naturel) de 700 millions de m3 se niche dans les profondeurs, soit l’équivalent de la cargaison de 8 navires méthaniers de 300 mètres de long environ. Le gaz, injecté sous pression dans une couche géologique dite «aquifère», repousse l’eau présente pour prendre sa place. Lorsque le méthane est soutiré pour alimenter le réseau de gaz national, l’eau revient.
Au total, la France utilise depuis les années 1960 des capacités de stockage qui représentent aujourd’hui plus de 16 milliards de m3. Elles représentent un trimestre de consommation de l’Hexagone et permettent un stockage intersaisonnier massif d’énergie.
Chaque année, la France, telle la fourmi, remplit ces cavités souterraines durant le printemps et l’été. Ces réserves doivent être pleines à 85 % au 1er novembre. Cette année, au vu de la situation exceptionnelle, le gouvernement a décidé d’imposer qu’elles le soient à 100 %. Ce sera à Storengy (et à l’opérateur Teréga dans le Sud-Ouest) de compléter le remplissage jusqu’au goulot. Le soutirage peut ainsi, en plein hiver lors des vagues de froid, apporter l’énergie manquante pour passer les pointes de consommation. Le taux de remplissage en cette fin juin s’élève à 56 % (France entière). «Nous avons un bon mois d’avance par rapport à l’année dernière, détaille Pierre Chambon, directeur général de Storengy. Nous sommes confiants pour l’arrivée de l’hiver, grâce à la bonne discipline des fournisseurs, qui ont démarré le remplissage au rythme le plus rapide possible dès le début du printemps.»
Pour forcer les acteurs du marché à remplir les réservoirs souterrains, la Commission européenne a décidé au printemps de calquer la réglementation française - elle-même copiée sur l’Italie depuis 2018. Les fournisseurs de gaz, comme Engie, TotalEnergies ou ekWateur, doivent en effet remplir obligatoirement leurs quotas de stockage en vue de l’hiver. Le système est calibré pour que personne n’y perde. En temps normal, les fournisseurs peuvent se constituer des réserves de gaz acheté peu cher durant la saison chaude, pour l’utiliser (ou le revendre) à la saison froide, lorsque les prix sont plus élevés.
Course contre la montre
Faute d’avoir mis en place une telle réglementation, l’Allemagne s’était retrouvée au début de l’hiver dernier avec des réserves insuffisamment remplies. Il faut dire que le russe Gazprom, qui détenait avant le début de la guerre en Ukraine un tiers des stockages outre-Rhin, les avait volontairement laissés quasi-vides. L’Europe vise cette fois-ci des stockages remplis à 80 % au début de l’hiver, et l’Allemagne à 90 %.
C’est toutefois une course contre la montre pour éviter la pénurie hivernale. Moscou referme progressivement ses gazoducs afin de freiner la reconstitution de réserves pour l’hiver et conserver un moyen de pression sur le Vieux Continent dans le cadre de la guerre en Ukraine. «Le risque accru de rupture d’approvisionnement renforce le rôle stratégique du stockage, insiste Pierre Chambon. Cela pose aussi la question de la création de stocks stratégiques de gaz, comme il en existe pour le pétrole, en cas de rupture d’approvisionnement brutale.»
Début juin, un incendie au sein de la plus grande usine de GNL américain, au Texas, a provoqué l’arrêt du site pour plusieurs mois. Pour l’instant, d’après le gouvernement, cela ne freine pas les importations de GNL, et la bulle de gaz souterraine de Saint-Illiers-la-Ville continue malgré tout à se remplir.
merci Kevtrade pour open rafraichissant et Benoist pour boss gmt
Le bonjour Treve
Trouvé article (un poil long) d'il y a 1 mois dans le figaro sur le risque gaz de l'hiver prochain en france : en synthèse ça a pas l'air critique présenté comme ça...
Bonne session et bons trade a tous
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À des centaines de mètres sous terre, les stockages de gaz se remplissent en vue de l’hiver
Par Guillaume Guichard
Publié le 23/06/2022 à 18:36, mis à jour le 23/06/2022 à 18:36
REPORTAGE - À Saint-Illiers-la-Ville, dans les Yvelines, le remplissage de la bulle de gaz souterraine a commencé au début du printemps. Objectif: éviter la pénurie hivernale.
Au milieu des champs de blé et des forêts de chênes, se cache un immense stockage souterrain de gaz. À Saint-Illiers-la-Ville, dans les Yvelines, il faut suivre les petites routes bucoliques pour parvenir jusqu’à ce site stratégique pour l’indépendance énergétique française, opéré par Storengy, une filiale d’Engie. Sur presque 10 hectares sont éparpillés, à peine visibles derrière les blés qui jaunissent, une vingtaine de quadrilatères grillagés protégeant des puits qui plongent jusqu’à 400 mètres sous terre pour injecter - ou soutirer - du gaz naturel.
Une gigantesque «bulle» de méthane (le gaz naturel) de 700 millions de m3 se niche dans les profondeurs, soit l’équivalent de la cargaison de 8 navires méthaniers de 300 mètres de long environ. Le gaz, injecté sous pression dans une couche géologique dite «aquifère», repousse l’eau présente pour prendre sa place. Lorsque le méthane est soutiré pour alimenter le réseau de gaz national, l’eau revient.
Au total, la France utilise depuis les années 1960 des capacités de stockage qui représentent aujourd’hui plus de 16 milliards de m3. Elles représentent un trimestre de consommation de l’Hexagone et permettent un stockage intersaisonnier massif d’énergie.
Chaque année, la France, telle la fourmi, remplit ces cavités souterraines durant le printemps et l’été. Ces réserves doivent être pleines à 85 % au 1er novembre. Cette année, au vu de la situation exceptionnelle, le gouvernement a décidé d’imposer qu’elles le soient à 100 %. Ce sera à Storengy (et à l’opérateur Teréga dans le Sud-Ouest) de compléter le remplissage jusqu’au goulot. Le soutirage peut ainsi, en plein hiver lors des vagues de froid, apporter l’énergie manquante pour passer les pointes de consommation. Le taux de remplissage en cette fin juin s’élève à 56 % (France entière). «Nous avons un bon mois d’avance par rapport à l’année dernière, détaille Pierre Chambon, directeur général de Storengy. Nous sommes confiants pour l’arrivée de l’hiver, grâce à la bonne discipline des fournisseurs, qui ont démarré le remplissage au rythme le plus rapide possible dès le début du printemps.»
Pour forcer les acteurs du marché à remplir les réservoirs souterrains, la Commission européenne a décidé au printemps de calquer la réglementation française - elle-même copiée sur l’Italie depuis 2018. Les fournisseurs de gaz, comme Engie, TotalEnergies ou ekWateur, doivent en effet remplir obligatoirement leurs quotas de stockage en vue de l’hiver. Le système est calibré pour que personne n’y perde. En temps normal, les fournisseurs peuvent se constituer des réserves de gaz acheté peu cher durant la saison chaude, pour l’utiliser (ou le revendre) à la saison froide, lorsque les prix sont plus élevés.
Course contre la montre
Faute d’avoir mis en place une telle réglementation, l’Allemagne s’était retrouvée au début de l’hiver dernier avec des réserves insuffisamment remplies. Il faut dire que le russe Gazprom, qui détenait avant le début de la guerre en Ukraine un tiers des stockages outre-Rhin, les avait volontairement laissés quasi-vides. L’Europe vise cette fois-ci des stockages remplis à 80 % au début de l’hiver, et l’Allemagne à 90 %.
C’est toutefois une course contre la montre pour éviter la pénurie hivernale. Moscou referme progressivement ses gazoducs afin de freiner la reconstitution de réserves pour l’hiver et conserver un moyen de pression sur le Vieux Continent dans le cadre de la guerre en Ukraine. «Le risque accru de rupture d’approvisionnement renforce le rôle stratégique du stockage, insiste Pierre Chambon. Cela pose aussi la question de la création de stocks stratégiques de gaz, comme il en existe pour le pétrole, en cas de rupture d’approvisionnement brutale.»
Début juin, un incendie au sein de la plus grande usine de GNL américain, au Texas, a provoqué l’arrêt du site pour plusieurs mois. Pour l’instant, d’après le gouvernement, cela ne freine pas les importations de GNL, et la bulle de gaz souterraine de Saint-Illiers-la-Ville continue malgré tout à se remplir.
Bonjour à tous ! Bonne séance US
Re à toutes et tous bonne séance à vous
bon on se revoir à 13495
il suffit de l'écrire break +12
13396.25 => 13408.25
13396.25 => 13408.25
j'ai rendez-vous à 16h15 pour un thé avec un membre de ma formation et sa femme. Je trade en pré market pour une fois
Noob75
Benoist
fgerard
kelly
lskr
le bonjour
Benoist
fgerard
kelly
lskr
le bonjour
ligne de cou de l'ete franchit oklm
Bonjour tout le monde
que la patience soit avec vous
ok benoist je suis d'accord avec toi
Un retour sur les 13250 avant serait parfait
Un retour sur les 13250 avant serait parfait
Bonjour tout le monde,
Bonne séance de trading. Le nasdaq est "haussier timide" selon moi. Pas certain que je passe un ordre aujourd'hui.
Bonne séance de trading. Le nasdaq est "haussier timide" selon moi. Pas certain que je passe un ordre aujourd'hui.
hier le marcher etait supposer de finir vert et a finis rouge ....
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