la vraie question à mon humble avis est pourquoi trader avec l'affaire grecque ? Les traders pro se retirent et attendent pour ne pas se prendre la Bougie de la mort. Il faut savoir ne pas trader, moins trader etc. quand il y a de l’irrationalité sur les marchés. Cette semaine j'ai divisé mon nombre de trades pas 10... et j'ai bientôt 20 ans de bouteille sur les marchés.
Il faut toujours penser en risque / rendement, là le risque est maximummal. Quand je vois que certains ont voulu prendre des positions sur le week-end alors que la Grèce peut nous sortir n'importe quoi, c'est vraiment du jeu, du loto, ce n'est plus un investissement.
On est là pour gagner de l'argent, pas pour jouer ou se donner des émotions. Avoir une position overnight ce week-end c'est de la "démence" et quelque soit le résultat c'est du n'importe quoi.
La bourse on peut se retirer quelques jours semaines en attendant que ça se calme. En aout 2011 j'ai arrêté de trader 15 jours le temps que le marché retrouve un peu ses esprits. Ce qu'il faut c'est gagner de l'argent avec le minimum de risque, en gagner avec des risques aussi élevés c'est du mauvais argent. Il y a un contexte à prendre en considération perpétuellement...
Donc retire ton capital pour te protéger de toi même est une bonne idée, mais la question est à mon avis est ce que cela vaut le coup de trader quand les indices comme le dac ou le cac nous font des bougies de 1% 25 % en 3 secondes ? Est ce que j'ai l'expérience ? le capital qui va avec pour me prendre une volée ? Se projeter comme chef d'entreprise, j'ai refusé des contrats SEO car je ne sentais pas les amis pour me payer à la fin du mois, si vous ne sentez pas les marchés, restez en dehors et attendez. Ne pas trader et surveiller est un acte de trading.
J'ai souvent remarqué que les débutants sont "excités" quand il y a de la volatilité, ils "rêvent" au gros coup alors que quand on a autant de volatilité et de risque, le vieux loup de mer a tendance à rester au port et quand il voit tous les pêcheurs débutants se précipiter vers l'orage au loin, il se dit, tirant sur sa pipe, combien vont en revenir ?