File CAC 40 du 26 décembre 2018
par j_jerome » 25 déc. 2018 23:58
Bonsoir à tous,
Voici la nouvelle ouverture du jour.
Sens dessus dessous
Calendrier économique du jour :
La vidéo du jour, ou plutôt la chaine du jour :
Voici la nouvelle ouverture du jour.
Sens dessus dessous
Spoiler:
Je vais vous parler aujourd’hui d’une pratique de l’aéromodélisme bien particulière : la voltige.
Assez peu de temps après l’accession aux plus grands nombres de la pratique de l’aéromodélisme, il fallait bien encore une fois montrer à son voisin qu’on était plus fort que lui…
Le F3A a donc pour principe de devoir faire une série de figures (enchainées les unes par rapport aux autres) dans le ciel, noté par un collège de juge (au minimum 3), et le tout 3 fois. Ces figures doivent respecter un certain placement (figure centrale, de bout, haute et basse), et un cadre. Chaque juge doit noter les figures de 0 à 10 et est coefficients en fonction de leurs difficultés, et pour éviter des aberrations ou du favoritisme (déjà vu, et notamment dans un championnat du monde), la meilleure et la moins bonne note sont enlevés. Puis le total est fait pour chaque juge et une moyenne est faite. Le meilleur pilote à une note (enfin, avait jusqu’à l’année dernière, date où ils ont changé la méthode de calcul, mais je ne me suis pas plus penché que ça sur la question), le meilleur pilote a donc sa note ramenée à un maximum de 1000 points, et tous les autres concurrents se voient attribuer une note avec ce rapport à 1000, ça s’appelle le TBL. (si vous n’avez pas tout compris, ne vous inquiétez pas, même, certains modélistes ne sont pas tous « TBL friendly »…). En déclin depuis quelques années, le pic d’activité de cette pratique a été atteint au milieu des années 2000, avec le Championnat de France organisé en Alsace en 2005.
Les avions en eux-mêmes sont des avions conçus spécifiquement pour ce type de voltige, et ne ressemble aucunement à des avions pouvant exister en grandeur nature.
Ils sont réalisés en bois ou en matériaux composites, au choix du pilote, mais on voit bien souvent les avions achetés dans le commerce en composite et les autres avions en constructions traditionnels (ce qui ne les empêche pas de bien voler, bien au contraire).
Le F3A, un loisir qui peut coûter cher ? Je dois bien avouer que oui. Si vous n’êtes pas du tout bricoleur et que vous ne souhaitiez pas avoir de seconde main, alors il vous coutera aux environs de 1 000€ la cellule vide d’un multi « performant » (certains kits peuvent monter jusqu’à 2 000 / 2 500€). À ce kit, il vous faut rajouter l’équipement électronique (récepteur, accus, servos) pour environ 150/200€ et ensuite la motorisation. Là, deux possibilités s’offrent à vous. Ou vous choisissez une motorisation thermique (en déclin d’année en année) et il vous en coutera environ 800/900€ le moteur (quelques rares alternatives sont en train de voir le jour et moins cher), ou vous choisissez la motorisation électrique pour environ 900 / 1 000€. En plus de cela, lorsque vous arrivez à un certain niveau, il peut être utile d’avoir un second avion pour pouvoir voler en cas de pépin, je vous laisse faire le calcul vous-même…
En France, la voltige F3A est divisée en plusieurs catégories :
- La série « promotion » qui, comme son nom l’indique, est destinée à donner envie et une accessibilité de faire de la compétition sans qu’un jeune n’ait besoin de s’acheter un avion de voltige (un multi) très onéreux.
Cette catégorie est réservée aux multis de moins d’1,75m d’envergure et de long, et une masse inférieure à 5,5kg (plus ou moins 10% pour tenir compte des imprécisions des moyens de mesure et de pesage) si un modèle est contrôlé et hors tolérance (ce qui n’arrive quasiment jamais), le pilote est tout simplement disqualifié de la compétition.
Cette catégorie, avant encadrée au niveau national, est depuis deux ans laissés à chaque comité départemental. Cette décision a été prise, car le nombre de concurrents dans cette catégorie s’est réduit à quelque chose comme le néant, si bien que lorsqu’il y a un concurrent dans un concours c’est le bout du monde. Au moins le concurrent peut se consoler en se disant que quoi qu’il fasse il est sûr d’être premier…
- La série « nationale A ». Cette série, où j’étais, avait il y a encore quelques années les mêmes « restrictions » en terme de poids et taille de modèles que la série promotion. Puis, après un passage à vide assez conséquent pour cette catégorie, il a été choisi par la fédération de permettre aux « moins bons » de la catégorie du dessus de redescendre à celle-ci, mais d’augmenter la taille et le poids limite des modèles pour ne pas à devoir faire changer l’ensemble du matériel aux pilotes.
Le résultat de cette décision ? : une véritable course à l’armement s’est faite en national A entre les adultes qui avaient les moyens d’investir dans un multi « haut de gamme » et les p’tits jeunes qui venaient avec leurs multi petits et léger, ce qui fait que les jeunes ce sont peu à peu délaissés de cette pratique. Il aura fallu attendre plusieurs championnats de France à moins de 10 concurrents pour introduire une variante à cette catégorie, appelée « nat A challenger » réservée aux pilotes ayant un avion de moins d’1,75m d’envergure.
- La série « nationale B ». Cette série est dans l’esprit un réservoir de pilotes pour la catégorie reine juste au-dessus. Les avions de cette catégorie ont les mêmes caractéristiques que les avions pour la catégorie inférieure, et la seule chose qui change est la difficulté du programme.
- La série « internationale ». Cette série est la catégorie reine dans cette compétition. Les pilotes s’affrontent au niveau national, européen et mondial. Je ne vous parlerais pas des avions puisque là encore ils ont les mêmes caractéristiques des deux niveaux inférieurs.
Je vais maintenant vous parler d’un compétiteur en particulier : Christophe Paysant Le Roux. Ce nom ne vous dit certainement rien et pourtant… et pourtant ce français est considéré comme une légende dans son sport. Une troisième place mondiale, 3 fois vice-champion du monde du monde, 8 fois champion du monde, deux troisièmes places européenne, 2 fois vice-champion d’Europe, 9 fois champion d’Europe, et pas moins de 28 fois champions de France. Il a en plus participé et gagné plusieurs concours aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, en Asie,…
Il détient le record de nombre de titres mondiaux jusque-là détenus par un Autrichien Hanno Prettner avec un nombre de 7 titres.
Ce pilote pour en arriver à ce niveau passe beaucoup de temps à s’entrainer. Il vole en effet plusieurs fois par semaine et passe la plupart de ses weekends à peaufiner les différents programmes sur lesquels il va devoir voler, qu’il fasse beau et chaud, mais aussi froid et venteux, et en habitant Cherbourg, voler dans des conditions venteuses ça le connaît. À l’approche de compétition internationale, il va même jusqu’à s’entrainer chaque jour en plus de son travail.
Lors des compétitions internationales, en plus du classement individuel, est également en jeu une place par équipe. Chaque équipe à trois participants officiels et un coach. La France est particulièrement bien représentée également au classement par équipe puisque nous figurons régulièrement sur le podium (ou au pied du podium) aux différents championnats d’Europe et du monde.
Pour arriver à départager ces pilotes, différents vols sont nécessaires ; les vols préliminaires, au nombre de trois sur programme « P ». Sont gardés après ces trois vols les 15 ou 20 meilleurs (en fonction du nombre de compétiteurs) pour ensuite s’affronter sur les vols de « semi-final » sur les programmes « F ». Tous ces programmes sont connus des pilotes et ils ont tout le loisir de s’entrainer dessus toute l’année. Une fois les deux vols de semi-finaux effectués, sont ne gardés que les 10 meilleurs, lesquels s’affronteront sur 4 vols en enchainant deux vols sur programme « F » et deux vols sur programme inconnus (deux inconnus différents sinon c’est trop facile :p ). Ces programmes inconnus sont constitués la veille au soir avec les pilotes et ces pilotes n’ont qu’une soirée pour se reposer et apprendre un programme qu’ils ne connaissent pas et sur lesquels ils ne se sont jamais entrainés.
Pour pouvoir faire partie de cette équipe de France, il suffit aux pilotes de faire (et d’être le meilleur classé) les quelques concours de sélection qui sont organisés un peu partout en France. Ces concours, bien souvent ouverts également aux catégories inférieures, donnent pratiquement toujours des journées de franches rigolades et bonnes enfants ou tout le monde se réunit autour d’un bon repas de midi quelques fois arrosé qui nous donne bien l’occasion de chambrer quelque peu les pilotes qui réalisent de meilleurs programmes une fois l’apéro descendu…
Je vous laisse maintenant une vidéo qui résume bien comment peut se passer un concours
https://video-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t42.9040-2/40719022_2083337038367668_2491738677072363520_n.mp4?_nc_cat=111&efg=eyJ2ZW5jb2RlX3RhZyI6InN2ZV9zZCJ9&_nc_ht=video-cdt1-1.xx&oh=f51882410e9214c13b4d1ea45c6cb472&oe=5C157908
Un exemple de vol préliminaire du championnat d’Europe 2016 :
[youtube]https://youtu.be/ZMisGx5JYOU[/youtube]
Un exemple d’un vol du programme inconnu (je rappelle que c’est la première que le pilote peut faire voler son avion sur ce programme connu la veille au soir…)
[youtube]https://youtu.be/6ywe27uqYNc[/youtube]
Pour finir sur le F3A, une (longue) vidéo quand il ne se passera pas grand-chose sur le Dax et pour éviter des trades d’ennuis
[youtube]https://youtu.be/NdfIrmGwx1Y[/youtube]
Assez peu de temps après l’accession aux plus grands nombres de la pratique de l’aéromodélisme, il fallait bien encore une fois montrer à son voisin qu’on était plus fort que lui…
Le F3A a donc pour principe de devoir faire une série de figures (enchainées les unes par rapport aux autres) dans le ciel, noté par un collège de juge (au minimum 3), et le tout 3 fois. Ces figures doivent respecter un certain placement (figure centrale, de bout, haute et basse), et un cadre. Chaque juge doit noter les figures de 0 à 10 et est coefficients en fonction de leurs difficultés, et pour éviter des aberrations ou du favoritisme (déjà vu, et notamment dans un championnat du monde), la meilleure et la moins bonne note sont enlevés. Puis le total est fait pour chaque juge et une moyenne est faite. Le meilleur pilote à une note (enfin, avait jusqu’à l’année dernière, date où ils ont changé la méthode de calcul, mais je ne me suis pas plus penché que ça sur la question), le meilleur pilote a donc sa note ramenée à un maximum de 1000 points, et tous les autres concurrents se voient attribuer une note avec ce rapport à 1000, ça s’appelle le TBL. (si vous n’avez pas tout compris, ne vous inquiétez pas, même, certains modélistes ne sont pas tous « TBL friendly »…). En déclin depuis quelques années, le pic d’activité de cette pratique a été atteint au milieu des années 2000, avec le Championnat de France organisé en Alsace en 2005.
Les avions en eux-mêmes sont des avions conçus spécifiquement pour ce type de voltige, et ne ressemble aucunement à des avions pouvant exister en grandeur nature.
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- Sans titre.jpg (223.06 Kio) Vu 412 fois
Le F3A, un loisir qui peut coûter cher ? Je dois bien avouer que oui. Si vous n’êtes pas du tout bricoleur et que vous ne souhaitiez pas avoir de seconde main, alors il vous coutera aux environs de 1 000€ la cellule vide d’un multi « performant » (certains kits peuvent monter jusqu’à 2 000 / 2 500€). À ce kit, il vous faut rajouter l’équipement électronique (récepteur, accus, servos) pour environ 150/200€ et ensuite la motorisation. Là, deux possibilités s’offrent à vous. Ou vous choisissez une motorisation thermique (en déclin d’année en année) et il vous en coutera environ 800/900€ le moteur (quelques rares alternatives sont en train de voir le jour et moins cher), ou vous choisissez la motorisation électrique pour environ 900 / 1 000€. En plus de cela, lorsque vous arrivez à un certain niveau, il peut être utile d’avoir un second avion pour pouvoir voler en cas de pépin, je vous laisse faire le calcul vous-même…
En France, la voltige F3A est divisée en plusieurs catégories :
- La série « promotion » qui, comme son nom l’indique, est destinée à donner envie et une accessibilité de faire de la compétition sans qu’un jeune n’ait besoin de s’acheter un avion de voltige (un multi) très onéreux.
Cette catégorie est réservée aux multis de moins d’1,75m d’envergure et de long, et une masse inférieure à 5,5kg (plus ou moins 10% pour tenir compte des imprécisions des moyens de mesure et de pesage) si un modèle est contrôlé et hors tolérance (ce qui n’arrive quasiment jamais), le pilote est tout simplement disqualifié de la compétition.
Cette catégorie, avant encadrée au niveau national, est depuis deux ans laissés à chaque comité départemental. Cette décision a été prise, car le nombre de concurrents dans cette catégorie s’est réduit à quelque chose comme le néant, si bien que lorsqu’il y a un concurrent dans un concours c’est le bout du monde. Au moins le concurrent peut se consoler en se disant que quoi qu’il fasse il est sûr d’être premier…
- La série « nationale A ». Cette série, où j’étais, avait il y a encore quelques années les mêmes « restrictions » en terme de poids et taille de modèles que la série promotion. Puis, après un passage à vide assez conséquent pour cette catégorie, il a été choisi par la fédération de permettre aux « moins bons » de la catégorie du dessus de redescendre à celle-ci, mais d’augmenter la taille et le poids limite des modèles pour ne pas à devoir faire changer l’ensemble du matériel aux pilotes.
Le résultat de cette décision ? : une véritable course à l’armement s’est faite en national A entre les adultes qui avaient les moyens d’investir dans un multi « haut de gamme » et les p’tits jeunes qui venaient avec leurs multi petits et léger, ce qui fait que les jeunes ce sont peu à peu délaissés de cette pratique. Il aura fallu attendre plusieurs championnats de France à moins de 10 concurrents pour introduire une variante à cette catégorie, appelée « nat A challenger » réservée aux pilotes ayant un avion de moins d’1,75m d’envergure.
- La série « nationale B ». Cette série est dans l’esprit un réservoir de pilotes pour la catégorie reine juste au-dessus. Les avions de cette catégorie ont les mêmes caractéristiques que les avions pour la catégorie inférieure, et la seule chose qui change est la difficulté du programme.
- La série « internationale ». Cette série est la catégorie reine dans cette compétition. Les pilotes s’affrontent au niveau national, européen et mondial. Je ne vous parlerais pas des avions puisque là encore ils ont les mêmes caractéristiques des deux niveaux inférieurs.
Je vais maintenant vous parler d’un compétiteur en particulier : Christophe Paysant Le Roux. Ce nom ne vous dit certainement rien et pourtant… et pourtant ce français est considéré comme une légende dans son sport. Une troisième place mondiale, 3 fois vice-champion du monde du monde, 8 fois champion du monde, deux troisièmes places européenne, 2 fois vice-champion d’Europe, 9 fois champion d’Europe, et pas moins de 28 fois champions de France. Il a en plus participé et gagné plusieurs concours aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, en Asie,…
Il détient le record de nombre de titres mondiaux jusque-là détenus par un Autrichien Hanno Prettner avec un nombre de 7 titres.
Ce pilote pour en arriver à ce niveau passe beaucoup de temps à s’entrainer. Il vole en effet plusieurs fois par semaine et passe la plupart de ses weekends à peaufiner les différents programmes sur lesquels il va devoir voler, qu’il fasse beau et chaud, mais aussi froid et venteux, et en habitant Cherbourg, voler dans des conditions venteuses ça le connaît. À l’approche de compétition internationale, il va même jusqu’à s’entrainer chaque jour en plus de son travail.
Lors des compétitions internationales, en plus du classement individuel, est également en jeu une place par équipe. Chaque équipe à trois participants officiels et un coach. La France est particulièrement bien représentée également au classement par équipe puisque nous figurons régulièrement sur le podium (ou au pied du podium) aux différents championnats d’Europe et du monde.
Pour arriver à départager ces pilotes, différents vols sont nécessaires ; les vols préliminaires, au nombre de trois sur programme « P ». Sont gardés après ces trois vols les 15 ou 20 meilleurs (en fonction du nombre de compétiteurs) pour ensuite s’affronter sur les vols de « semi-final » sur les programmes « F ». Tous ces programmes sont connus des pilotes et ils ont tout le loisir de s’entrainer dessus toute l’année. Une fois les deux vols de semi-finaux effectués, sont ne gardés que les 10 meilleurs, lesquels s’affronteront sur 4 vols en enchainant deux vols sur programme « F » et deux vols sur programme inconnus (deux inconnus différents sinon c’est trop facile :p ). Ces programmes inconnus sont constitués la veille au soir avec les pilotes et ces pilotes n’ont qu’une soirée pour se reposer et apprendre un programme qu’ils ne connaissent pas et sur lesquels ils ne se sont jamais entrainés.
Pour pouvoir faire partie de cette équipe de France, il suffit aux pilotes de faire (et d’être le meilleur classé) les quelques concours de sélection qui sont organisés un peu partout en France. Ces concours, bien souvent ouverts également aux catégories inférieures, donnent pratiquement toujours des journées de franches rigolades et bonnes enfants ou tout le monde se réunit autour d’un bon repas de midi quelques fois arrosé qui nous donne bien l’occasion de chambrer quelque peu les pilotes qui réalisent de meilleurs programmes une fois l’apéro descendu…
Je vous laisse maintenant une vidéo qui résume bien comment peut se passer un concours
https://video-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t42.9040-2/40719022_2083337038367668_2491738677072363520_n.mp4?_nc_cat=111&efg=eyJ2ZW5jb2RlX3RhZyI6InN2ZV9zZCJ9&_nc_ht=video-cdt1-1.xx&oh=f51882410e9214c13b4d1ea45c6cb472&oe=5C157908
Un exemple de vol préliminaire du championnat d’Europe 2016 :
[youtube]https://youtu.be/ZMisGx5JYOU[/youtube]
Un exemple d’un vol du programme inconnu (je rappelle que c’est la première que le pilote peut faire voler son avion sur ce programme connu la veille au soir…)
[youtube]https://youtu.be/6ywe27uqYNc[/youtube]
Pour finir sur le F3A, une (longue) vidéo quand il ne se passera pas grand-chose sur le Dax et pour éviter des trades d’ennuis
[youtube]https://youtu.be/NdfIrmGwx1Y[/youtube]
Spoiler:
Pour rappel, les horaires d'ouvertures des marchés sont modifiées cette semaine, se reporter au poste de Florian pour les connaitre en détails : horaires-de-negociation-24-decembre-201 ... 26331.html
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- 26_12.jpg (166.92 Kio) Vu 412 fois
Spoiler:
Si vous êtes féru de nouvelles technologies, cette chaine devrait vous plaire. Il s'agit d'une personne qui fait des vidéos sur youtube (notamment), et qui nous fait partager ses points de vues sur divers sujets (et bien plus). La vidéo ici est une présentation d'une nouvelle télé, mais baladez vous sur sa chaine, il y en a bien plus.
[youtube]https://youtu.be/IiyHai3VXaw[/youtube]
[youtube]https://youtu.be/IiyHai3VXaw[/youtube]
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