phrase du jour
"Si nous attendons le résultat pour être heureux et que nous ne l'obtenons pas pendant le processus, nous courons le risque d'un malheur permanent."
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Le jour où les sanctions américaines entreront en vigueur. Tous les indices en baisse. Celui qui a le plus remarqué cette baisse en ce moment est le NASDAQ par rapport au reste des indices européens et américains, qui ont évolué plus latéralement par rapport à l'ouverture du marché ce soir.
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Les nouvelles du jour sont clairement la guerre entre les États-Unis et la Chine. Ainsi qu'une proposition de visite à Washington du vice-premier ministre Liu, initialement prévue pour cette semaine. Les États-Unis, quant à eux, n'ont pas de date pour la poursuite des pourparlers. Nous sommes donc dans une nouvelle phase de ces négociations.
M. Trump a récemment déclaré que les taxes sur 267 milliards de dollars de marchandises supplémentaires étaient " prêtes à partir à court terme ", ce qui signifierait que pratiquement toutes les exportations chinoises vers les États-Unis seraient soumises à de nouveaux droits de douane.
Il n'est pas clair comment la Chine peut égaler l'ampleur des droits de douane américains à long terme.
Les États-Unis achètent beaucoup plus à la Chine qu'ils ne leur vendent, de sorte que la Chine n'a qu'un espace limité pour se venger par le commerce, ce qui pourrait rendre la vie plus difficile aux entreprises américaines en Chine ou forcer leur monnaie à baisser pour stimuler leurs exportations.
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D'autre part, il y a les prix du pétrole qui ont un peu augmenté parce qu'il semble que la production ne va pas vers l'aunmentar. Et vous savez, quand l'offre est rare et que la demande reste ferme, les prix augmentent.
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Une autre question qui mérite un petit commentaire est le Brexit. Il semble y avoir un risque qu'il n'y ait pas d'accord ou que la sortie de la zone euro soit trop difficile pour les Britanniques.
Vendredi, le Premier ministre britannique Theresa May a déclaré que les pourparlers avec l'Union européenne étaient dans l'impasse après que les dirigeants du bloc ont rejeté son plan "Chequers" sans expliquer en détail pourquoi.