En Tout Cas Cela Créera Des Emplois, Et Remplira Les Caisses De L’État
Alors Qu'Est Ce Qu'On Attend
la weed va t'elle nous sauver ?
En Tout Cas Cela Créera Des Emplois, Et Remplira Les Caisses De L’État
Alors Qu'Est Ce Qu'On Attend
En Tout Cas Cela Créera Des Emplois, Et Remplira Les Caisses De L’État
Alors Qu'Est Ce Qu'On Attend
je parlais de la filière sans thc dans un premier temps. mais oui il faudra peut être aussi activée la filière THC...
toutes façons il faudra bien sédater les gens sans travail avec l'ia.
oups j'avais oublié que le marché des tranquillisants / benzodiazépines est déjà pris...
ils agissent sur le même système que le THC.
le système gaba-érgique
https://www.unige.ch/campus/numeros/98/recherche1/
toutes façons il faudra bien sédater les gens sans travail avec l'ia.
oups j'avais oublié que le marché des tranquillisants / benzodiazépines est déjà pris...
ils agissent sur le même système que le THC.
le système gaba-érgique
d'ailleurs ça me fait penser que l'interdiction des fleurs à usage médical c'est surement les lobbys pharmas...
pour la même raison que l'herboristerie est quasiment interdite depuis 1947...
la seconde guerre a permit l'essor de la pétrochimie dont sont issus de nombreux médicaments légaux
pour la même raison que l'herboristerie est quasiment interdite depuis 1947...
la seconde guerre a permit l'essor de la pétrochimie dont sont issus de nombreux médicaments légaux
""La fin de l'expérimentation et la mise à disposition pour 2025 des médicaments à base de cannabis se préparent.
Ces médicaments devront avoir obtenu une autorisation délivrée par l’ANSM au plus tard le 31 décembre 2024.
Avant cela, l’expérimentation sera prolongée pour les patients inclus avant le 27 mars 2024.
Afin de préciser les modalités de cette dernière année de l’expérimentation du cannabis médical, nous publions un point d’étape.
Depuis son lancement en 2021, 3 035 patients ont rejoint l’expérimentation, dont 1 842 patients qui continuent d’être suivis et traités.
Les données récoltées lors des deux premières années de l’expérimentation ont été évaluées par différentes études.
Elles montrent l’efficacité du cannabis médical dans toutes les indications de l’expérimentation, maintenue sur plusieurs mois chez certains patients, ainsi qu’un circuit de prescription et de délivrance sécurisé et opérationnel.
Ainsi, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2024 prévoit la généralisation de l’usage médical du cannabis en définissant un statut pour les médicaments à base de cannabis et la délivrance d’autorisations par l’ANSM pour une période de 5 ans.
Cela signifie que ces médicaments seront accessibles pour les patients sur prescription médicale dans des indications définies et évaluées lors de l’expérimentation, selon les conditions de prescription en vigueur définies dans la LFSS 2024.
L’expérimentation continue : les patients inclus avant le 27 mars 2024 pourront poursuivre leur traitement par cannabis médical dans le cadre du suivi mis en place avec leur médecin. De nouveaux professionnels de santé pourront se former pour participer à l’expérimentation et accompagner leurs patients. En revanche, aucun nouveau patient ne pourra entrer dans l’expérimentation après le 26 mars 2024.
Les médicaments sous forme de fleurs (sommités fleuries à inhaler) cesseront d’être mis à disposition dans les prochaines semaines.
Les médecins prescripteurs doivent donc arrêter progressivement le traitement par fleurs de leurs patients et ne pas initier de nouveaux traitements avec cette forme.
Information pour les professionnels de santé :
Vous êtes sollicité(e) par un patient déjà inclus pour le suivre dans l’expérimentation ? Vous pourrez accéder à la formation même après le 27 mars 2024, date à laquelle plus aucun patient ne pourra être inclus.
La mise à disposition des fleurs va cesser dans les prochaines semaines. Aussi, nous vous demandons :
De mettre en place l’arrêt progressif des traitements par fleurs de vos patients,
Et de ne pas initier de nouveaux traitements par fleurs.
Information pour les patients :
À compter du 27 mars 2024, il ne sera plus possible d’intégrer l’expérimentation. Si vous êtes déjà inclus dans l’expérimentation du cannabis médical, votre traitement continuera à être dispensé selon les mêmes modalités qu’avant, sauf pour les médicaments sous forme de fleurs qui ne seront plus disponibles.
Des médicaments à base de cannabis devront être mis à disposition des patients en 2025 sur prescription médicale et pour les patients répondant aux indications définies dans le cadre de l’expérimentation.
La mise à disposition des fleurs (sommités fleuries de cannabis à inhaler) va cesser :
Si vous êtes traité(e) par fleurs en plus de votre traitement par huile, n’arrêtez pas seul(e) et brutalement votre traitement. Votre médecin va mettre en place l’arrêt progressif de votre traitement par fleurs""
https://ansm.sante.fr/actualites/cannabis-medical-point-detape-sur-la-derniere-annee-de-lexperimentation-et-larrivee-de-medicaments-a-base-de-cannabis
Ces médicaments devront avoir obtenu une autorisation délivrée par l’ANSM au plus tard le 31 décembre 2024.
Avant cela, l’expérimentation sera prolongée pour les patients inclus avant le 27 mars 2024.
Afin de préciser les modalités de cette dernière année de l’expérimentation du cannabis médical, nous publions un point d’étape.
Depuis son lancement en 2021, 3 035 patients ont rejoint l’expérimentation, dont 1 842 patients qui continuent d’être suivis et traités.
Les données récoltées lors des deux premières années de l’expérimentation ont été évaluées par différentes études.
Elles montrent l’efficacité du cannabis médical dans toutes les indications de l’expérimentation, maintenue sur plusieurs mois chez certains patients, ainsi qu’un circuit de prescription et de délivrance sécurisé et opérationnel.
Ainsi, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2024 prévoit la généralisation de l’usage médical du cannabis en définissant un statut pour les médicaments à base de cannabis et la délivrance d’autorisations par l’ANSM pour une période de 5 ans.
Cela signifie que ces médicaments seront accessibles pour les patients sur prescription médicale dans des indications définies et évaluées lors de l’expérimentation, selon les conditions de prescription en vigueur définies dans la LFSS 2024.
L’expérimentation continue : les patients inclus avant le 27 mars 2024 pourront poursuivre leur traitement par cannabis médical dans le cadre du suivi mis en place avec leur médecin. De nouveaux professionnels de santé pourront se former pour participer à l’expérimentation et accompagner leurs patients. En revanche, aucun nouveau patient ne pourra entrer dans l’expérimentation après le 26 mars 2024.
Les médicaments sous forme de fleurs (sommités fleuries à inhaler) cesseront d’être mis à disposition dans les prochaines semaines.
Les médecins prescripteurs doivent donc arrêter progressivement le traitement par fleurs de leurs patients et ne pas initier de nouveaux traitements avec cette forme.
Information pour les professionnels de santé :
Vous êtes sollicité(e) par un patient déjà inclus pour le suivre dans l’expérimentation ? Vous pourrez accéder à la formation même après le 27 mars 2024, date à laquelle plus aucun patient ne pourra être inclus.
La mise à disposition des fleurs va cesser dans les prochaines semaines. Aussi, nous vous demandons :
De mettre en place l’arrêt progressif des traitements par fleurs de vos patients,
Et de ne pas initier de nouveaux traitements par fleurs.
Information pour les patients :
À compter du 27 mars 2024, il ne sera plus possible d’intégrer l’expérimentation. Si vous êtes déjà inclus dans l’expérimentation du cannabis médical, votre traitement continuera à être dispensé selon les mêmes modalités qu’avant, sauf pour les médicaments sous forme de fleurs qui ne seront plus disponibles.
Des médicaments à base de cannabis devront être mis à disposition des patients en 2025 sur prescription médicale et pour les patients répondant aux indications définies dans le cadre de l’expérimentation.
La mise à disposition des fleurs (sommités fleuries de cannabis à inhaler) va cesser :
Si vous êtes traité(e) par fleurs en plus de votre traitement par huile, n’arrêtez pas seul(e) et brutalement votre traitement. Votre médecin va mettre en place l’arrêt progressif de votre traitement par fleurs""
https://ansm.sante.fr/actualites/cannabis-medical-point-detape-sur-la-derniere-annee-de-lexperimentation-et-larrivee-de-medicaments-a-base-de-cannabis
Nuts 
Reportage Passionnant
J'Ai Bien Aimer Le Passage Avec Jim Belushi
pas encore vu
merci Nuts pour le partage
''Dans le cadre de cette expérimentation, les traitements pharmaceutiques étaient réservés à des personnes qui souffraient de douleurs neuropathiques, de douleurs très difficiles à soulager et très invalidantes, mais aussi à des patients atteints de sclérose en plaques, de paralysie, de cancer, de pathologie chronique, d'épilepsie réfractaire ou à des malades admis en soins palliatifs.
(...)
elle a pu constater une augmentation de la demande des patients : « Elle a toujours été importante, car nous sommes sur des symptômes sans solution actuellement. Les patients s'impatientent. » La demande des médecins a également bondi au vu des premiers résultats positifs chez plus de 60 % des patients. « 60 %, c'est plus qu'avec tous les médicaments utilisés jusque-là pour l'intégralité des patients inclus », souligne l'experte.
(...)
Anne Souyris attire notamment l'attention des pouvoirs publics sur le retrait des sommités fleuries de l'expérimentation. « Il s'agit d'un des modes d'administration qui a l'air le plus fonctionnel et le plus utile, note l'élue. Et il n'y a aucun argument scientifique pour ce retrait. C'est assez curieux tout de même. Est-ce une logique sécuritaire ? »
Cette décision aurait été prise par le gouvernement, et non les médecins. Il semblerait que la fleur à usage thérapeutique ressemble trop à la fleur à usage récréatif
(...)
les médicaments prévus à l'ANSM devraient être sous forme buvable, d'huile ou de comprimé, avec des actions lentes et progressives. « L'intérêt de la fleur, c'était son action rapide. L'idée, c'est d'avoir des médicaments qui auront un effet aussi rapide que la fleur, mais sous d'autres formes, comme ceux qu'on peut retrouver en cas de crise d'asthme », détaille Nicolas Authier.
(...)
« Cette problématique passe par la question du prix des médicaments et celle du remboursement. En fonction de ces deux points de vigilance, des laboratoires proposeront, ou non, ces médicaments et ils seront, ou non, accessibles à tout le monde. Or, ce sont de véritables médicaments visant à soulager une souffrance majeure chronique et non de simples médicaments de confort. Notre succès ne sera pas d'avoir légalisé le cannabis médical, mais de l'avoir rendu accessible. »''
https://www.lepoint.fr/sante/cannabis-therapeutique-les-premiers-medicaments-en-approche-des-interrogations-en-suspens-24-05-2024-2561096_40.php
(...)
elle a pu constater une augmentation de la demande des patients : « Elle a toujours été importante, car nous sommes sur des symptômes sans solution actuellement. Les patients s'impatientent. » La demande des médecins a également bondi au vu des premiers résultats positifs chez plus de 60 % des patients. « 60 %, c'est plus qu'avec tous les médicaments utilisés jusque-là pour l'intégralité des patients inclus », souligne l'experte.
(...)
Anne Souyris attire notamment l'attention des pouvoirs publics sur le retrait des sommités fleuries de l'expérimentation. « Il s'agit d'un des modes d'administration qui a l'air le plus fonctionnel et le plus utile, note l'élue. Et il n'y a aucun argument scientifique pour ce retrait. C'est assez curieux tout de même. Est-ce une logique sécuritaire ? »
Cette décision aurait été prise par le gouvernement, et non les médecins. Il semblerait que la fleur à usage thérapeutique ressemble trop à la fleur à usage récréatif
(...)
les médicaments prévus à l'ANSM devraient être sous forme buvable, d'huile ou de comprimé, avec des actions lentes et progressives. « L'intérêt de la fleur, c'était son action rapide. L'idée, c'est d'avoir des médicaments qui auront un effet aussi rapide que la fleur, mais sous d'autres formes, comme ceux qu'on peut retrouver en cas de crise d'asthme », détaille Nicolas Authier.
(...)
« Cette problématique passe par la question du prix des médicaments et celle du remboursement. En fonction de ces deux points de vigilance, des laboratoires proposeront, ou non, ces médicaments et ils seront, ou non, accessibles à tout le monde. Or, ce sont de véritables médicaments visant à soulager une souffrance majeure chronique et non de simples médicaments de confort. Notre succès ne sera pas d'avoir légalisé le cannabis médical, mais de l'avoir rendu accessible. »''
https://www.lepoint.fr/sante/cannabis-therapeutique-les-premiers-medicaments-en-approche-des-interrogations-en-suspens-24-05-2024-2561096_40.php
''Il semblerait que la fleur à usage thérapeutique ressemble trop à la fleur à usage récréatif''
forcément c'est la même
forcément c'est la même
à mon avis en faisant ça ils veulent limiter le fait que du cannabis medicalement prescrit soit revendu à des fumeurs de joints...
comme on trouve sous le manteau tous les médicaments légaux pour planer
au premier abord, des gouttes de cannabis à mettre sous la langue seront moins attirantes
comme on trouve sous le manteau tous les médicaments légaux pour planer
au premier abord, des gouttes de cannabis à mettre sous la langue seront moins attirantes
110 pieds pas sur que c'était juste pour le fiston. mais bon c'est notable. relaxe
[quoique il faut vraiment de grosses quantités pour faire de l'huile]
''Un père de famille qui soignait son fils lourdement handicapé avec de l’huile de cannabis a été relaxé par la justice, vendredi, à Papeete, en Polynésie française, le tribunal retenant une «situation irrépressible».
«Je suis soulagé. C’était un moment de stress. Je suis prêt à tout pour mon fils (…) Merci à la justice», a déclaré au sortir du tribunal Ariimatatini Vairaaroa, un homme de 47 ans. En mai 2022, les gendarmes avaient saisi dans son jardin, à Tahiti, quelque 110 plants de cannabis.
Le quadragénaire s’en servait pour fabriquer de l’huile qu’il administrait à son fils de 10 ans, autiste et atteint d’épilepsie, troubles résultant des effets indésirables d’un vaccin reçu alors qu’il avait 9 mois. Le garçon, âgé de 10 ans aujourd’hui, faisait «20 crises par jour», selon ses proches, démunis du fait de l’absence de traitement efficace.
«On est dans l’illégalité»
«On a regardé sur Internet. J’ai vu des parents dans mon cas qui plantaient du cannabis. C’est ce que j’ai fait. Mais il y a la loi. On est dans l’illégalité. Pendant un mois, il n’a plus fait de crise. On dormait. Il a aussi fait des progrès jusqu’à ce que les gendarmes viennent»"
[quoique il faut vraiment de grosses quantités pour faire de l'huile]
''Un père de famille qui soignait son fils lourdement handicapé avec de l’huile de cannabis a été relaxé par la justice, vendredi, à Papeete, en Polynésie française, le tribunal retenant une «situation irrépressible».
«Je suis soulagé. C’était un moment de stress. Je suis prêt à tout pour mon fils (…) Merci à la justice», a déclaré au sortir du tribunal Ariimatatini Vairaaroa, un homme de 47 ans. En mai 2022, les gendarmes avaient saisi dans son jardin, à Tahiti, quelque 110 plants de cannabis.
Le quadragénaire s’en servait pour fabriquer de l’huile qu’il administrait à son fils de 10 ans, autiste et atteint d’épilepsie, troubles résultant des effets indésirables d’un vaccin reçu alors qu’il avait 9 mois. Le garçon, âgé de 10 ans aujourd’hui, faisait «20 crises par jour», selon ses proches, démunis du fait de l’absence de traitement efficace.
«On est dans l’illégalité»
«On a regardé sur Internet. J’ai vu des parents dans mon cas qui plantaient du cannabis. C’est ce que j’ai fait. Mais il y a la loi. On est dans l’illégalité. Pendant un mois, il n’a plus fait de crise. On dormait. Il a aussi fait des progrès jusqu’à ce que les gendarmes viennent»"
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