Il est facile de comparer le jeune et ridicule président français Emmanuel Macron à son compatriote libre-échangiste, le roi libéral Louis XVI. Les prétentions extraordinaires de Macron à la "dignité" et le fait d’agir comme étant au dessus du lot, loin de l'élever, l'ont privé de toute la fausse crédibilité que les médias corrompus, serviles et stupides de l'Europe et des États-Unis ont essayé de lui donner.
Loin de mener la Cinquième République vers de nouveaux succès et réalisations, il est clair que Le Jeune Macron est en train de la détruire. Le contraste avec le fondateur de la République, le grand et vraiment royal Charles de Gaulle ne pouvait être plus grand.
De Gaulle, haut de 1,96 mètre, dominait sa nation de plusieurs façons. Deux fois, il Futures littéralement le sauveur de son pays: d'abord en tant que chef de la Résistance française libre contre les nazis et comme président de la France de 1944 à 1946. Puis, de retour au pouvoir en 1958, De Gaulle sauva son pays de la désintégration et de la guerre civile.
Il a mis fin au long conflit féroce en Algérie, survécu à six complots d'assassinat et reconstruit son pays pour en faire l'État le plus puissant et le plus prospère d'Europe occidentale. Il a également défié les États-Unis à maintes reprises, critiqué avec courage la conduite de la guerre du Vietnam par les États-Unis et établi une relation durable d'amitié et de compréhension avec l'Union soviétique.
Avec une taille de 1,78 mètre, Macron n'est physiquement pas un petit homme. Mais il n'agit et ne regarde que comme ça. Un an seulement après son entrée en fonction, il est désormais irréfutable que le jeune Macron est voué à se moquer de toutes les grandes réalisations de De Gaulle, y compris la Ve République elle-même.
Le ridicule jeune Macron a infligé de nouvelles épreuves ruineuses au peuple français qui souffre depuis longtemps au nom de ses maîtres financiers mondiaux. Il s'est loyalement révélé être le caniche de Washington dans ses tentatives mesquines et destructrices d'imposer encore plus de sanctions économiques à la Russie.
Loin de soustraire la France à des guerres ruineuses inutiles dans les mondes arabe et musulman comme Le Grand Charles l'a fait en Algérie, Macron continue de soutenir et de promouvoir avec enthousiasme les interventions désastreuses de l'Occident en Syrie et en Libye.
Le vrai parallèle avec Macron n'est pas De Gaulle, qui a rétabli la richesse, la stabilité, la dignité et la fierté de sa nation, mais l’infortuné, stupide, très internationaliste et libéral roi Louis XVI, dernier souverain de l'Ancien Régime.
Comme Macron, Louis était un jeune technocrate enthousiaste, arrogant et idiot. Comme Macron, il était un révolutionnaire internationaliste et un libre-échange. Il a soutenu les colonies américaines dans leur révolution réussie contre l'empire britannique.
Il n'est jamais venu à l'esprit de Louis, ni de Macron, ni de ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et François Hollande, que soutenir des guerres révolutionnaires à des milliers de kilomètres de distance pouvait revenir les hanter chez eux. Mais c'est exactement ce qui s'est passé. L'effondrement de sociétés ordonnées en Syrie et en Libye a déchaîné des millions d'immigrants en France et dans d'autres pays européens avec des conséquences sociales désastreuses.
Louis a subi le même retour de flamme. Le révolutionnaire américain Benjamin Franklin a créé en France des sociétés clandestines qui, en l'espace d'une décennie, ont renversé le royaume le plus puissant d'Europe.
Loin de la caricature de réactionnaire dont il fait l'objet depuis plus de 200 ans, le roi Louis était l'un des principaux libéraux et technocrates à la pointe de son époque. Il vénérait particulièrement l'économiste anglais Adam Smith, dont le livre "The Wealth of Nations" a été publié en 1776 (la même année que la Révolution américaine). Dix ans plus tard, Louis signa alors son traité de libre-échange 1786 avec la Grande-Bretagne voisine.
Comme je l'ai noté dans mon histoire économique de 2012 "That Should Still Be Us", le traité s'est avéré être une catastrophe : Les produits industrialisés bon marché de l'économie britannique plus avancée ont envahi la France tandis que les Britanniques ont conservé leurs propres barrières contre les exportations agricoles et autres de la France.
L'économie française s'est effondrée. Des millions de personnes ont été mises au chômage. Leurs familles et eux ont souffert de la famine. En trois ans, la Grande Révolution avait explosé et la monarchie était renversée.
Louis, comme Macron aujourd'hui, était convaincu que ses théories économiques avancées étaient plus importantes que de petites souffrances humaines. Il a fallu la Révolution française et la perte, d'abord de sa couronne, puis de sa propre tête pour lui apprendre le contraire.
Comme Louis, Macron n'a montré aucune compréhension ni sympathie pour les souffrances des gens ordinaires écrasés par sa politique absurde et inutile. Comme Louis, son masque de démocrate et de compassion polie s’est évanoui dès que son propre peuple a osé s’opposer à lui. Comme Louis, sa seule réponse est maintenant la répression. Comme Louis, il n'a pas la moindre idée de ce qu’il faut faire.
Les manifestants du Gilet Jaune ne partiront pas. Les Français sont profondément fatigués du taux de chômage réel de 50%, des frontières de l'immigration largement ouvertes, des programmes d'assistance sociale réduits et du non-respect des lois et de l'ordre que Macron et l'élite de l'Union européenne leur ont imposé., La dernière révolution française n'est pas terminée : ça ne fait que commencer.
Macron a ignoré les leçons inquiétantes de l'histoire. Maintenant, il est condamné à les répéter.