Juste avant la publication par le
wall street Journal d’un article faisant entendre que le plus gros de la hausse des taux était passé aux Etats-Unis, le
cac 40 chutait de plus de 2%. Il finit en repli de 0,85%. Si les taux obligataires, qui font actuellement la pluie et le beau temps en Bourse, se détendent un peu, ils restent en hausse par rapport à hier et évoluent sur des plus hauts de dix ans en France et de quatorze ans aux Etats-Unis. Les banquiers centraux américains qui ont pris la parole hier ont très clairement envoyé, eux, un message « faucon ».
