Et sinon que dire de l'expérience de René Peoc'h, qui vaut son pensant de cacahuètes. Mais quand ça sort du cadre, on préfère railler ou ignorer.
Le Dr René Peoc'h a passé des années à chercher la réponse à cette question : l'esprit peut-il influencer la matière ? La réponse est probante et tout à fait démontrable scientifiquement même si elle dérange beaucoup le dogme scientifique. En effet, ces théories remettent complètement en question le dogme car elles restent incompatibles avec les théories physiques jusque là connues...
En 1985, René Peoc'h soutient une thèse de médecine à Nantes intitulée : Mise en évidence d'un effet psychophysique chez l'homme et le poussin, sur le tychoscope2. Ces travaux ont fait l'objet de critiques plus ou moins sévères, « coquilles » dans les calculs, « flous » dans les protocoles ou même interprétations erronées et biais statistiques non contrôlés[réf. nécessaire]. Les résultats de Peoc'h auraient été reproduits par la fondation Odier3 mais n'ont fait l'objet d'aucune publication dans les revues scientifiques à comité de lecture et restent donc considérés comme pseudo-scientifiques.
L'expérience consiste à placer un tychoscope sur une surface limitée (comme un ring) et d'en observer les déplacements. Une cage contenant des poussins peut également être placée d'un côté de l'espace de mouvement du tychoscope. René Peoc'h décrit dans ses travaux que, lorsque des poussins (préalablement conditionné à suivre le robot selon le mécanisme d'empreinte décrit par l'éthologue Konrad Lorenz) sont placés près d'un bord, le tychoscope passe plus de temps près de ce bord. Peoc'h conclut donc à une modification du hasard par la présence des poussins. Il décrit cet effet sous le terme de « psychophysique » bien que, d'un point de vue scientifique, le terme psychophysique décrive tout autre chose, à savoir le domaine de la psychologie expérimentale consacré à la perception sensorielle.
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