C'est au cours d'un voyage à Madagascar que j'ai découvert l'incroyable histoire de Libertalia.
Après un séjour d'une semaine à Nosy Be notre lieu d'arrivée où nous sommes émerveillés par la beauté des paysages et les papilles émoustillées par la nourriture fraîche et naturelle, que nous décidons de partir plus au nord pour rejoindre Diego Suarez.
Sur place un voilier nous attend dans la baie pour rejoindre notre lodge perdu dans la nature sans autre accès que la mer.
C'est en passant devant la pointe de la baie qu'un malgache commence à nous narrer l'histoire de Libertalia.
A la fin du XVII siècle flotte dans la baie le pavillon noir a tète de mort (Jolly Roger). Fondée par deux marins le capitaine Mission, un Français bien né «a l’humeur vagabonde» et Caraccioli , un prêtre débauché qui finira défroqué a force de libertinage.
Après de multiples périples, des caraïbes au golfe de guinée jusqu'aux cotes de l'Afrique australe et quelques abordages, ils découvrent Madagascar. Leur Éden pour jouir du fruit de leurs rapines.
L’île offre tout ce qui est nécessaire a la vie. Les mers qui l'entourent sont poissonneuses, les forêts giboyeuses. Leur gagne-pain est à porté de main: la route des indes et ses navires commerçants chargés de soieries, d'épices et de pierres précieuses ou de vins. Dans ce havre de paix, à l'abri du vieux monde les mutins s'organisent. Un paradis de liberté et de partage, une république au temps de la monarchie. Un lieux a part façonné par les rêves et les trésors..
Après les périls en mer, il fait bon vivre, l'alcool coule a flot, la vie est joyeuse mais courte.
Mais par une nuit des plus noires alors qu'une partie des navires étaient repartis en mer, a l'orée de la forêt les Malgaches étaient prêts et ils ne venaient pas pour négocier.
Les Libertaliens furent surpris … Pas un canon tourné vers la terre. Ce fu_t la débandade, les fuyards se mirent a courir vers les navires. Dans la nuit la colonie fu_t entièrement pillée et détruite
Triste fin pour de si beaux idéaux.
Fiction ou réalité?
Après un séjour d'une semaine à Nosy Be notre lieu d'arrivée où nous sommes émerveillés par la beauté des paysages et les papilles émoustillées par la nourriture fraîche et naturelle, que nous décidons de partir plus au nord pour rejoindre Diego Suarez.
Sur place un voilier nous attend dans la baie pour rejoindre notre lodge perdu dans la nature sans autre accès que la mer.
C'est en passant devant la pointe de la baie qu'un malgache commence à nous narrer l'histoire de Libertalia.
A la fin du XVII siècle flotte dans la baie le pavillon noir a tète de mort (Jolly Roger). Fondée par deux marins le capitaine Mission, un Français bien né «a l’humeur vagabonde» et Caraccioli , un prêtre débauché qui finira défroqué a force de libertinage.
Après de multiples périples, des caraïbes au golfe de guinée jusqu'aux cotes de l'Afrique australe et quelques abordages, ils découvrent Madagascar. Leur Éden pour jouir du fruit de leurs rapines.
L’île offre tout ce qui est nécessaire a la vie. Les mers qui l'entourent sont poissonneuses, les forêts giboyeuses. Leur gagne-pain est à porté de main: la route des indes et ses navires commerçants chargés de soieries, d'épices et de pierres précieuses ou de vins. Dans ce havre de paix, à l'abri du vieux monde les mutins s'organisent. Un paradis de liberté et de partage, une république au temps de la monarchie. Un lieux a part façonné par les rêves et les trésors..
Après les périls en mer, il fait bon vivre, l'alcool coule a flot, la vie est joyeuse mais courte.
Mais par une nuit des plus noires alors qu'une partie des navires étaient repartis en mer, a l'orée de la forêt les Malgaches étaient prêts et ils ne venaient pas pour négocier.
Les Libertaliens furent surpris … Pas un canon tourné vers la terre. Ce fu_t la débandade, les fuyards se mirent a courir vers les navires. Dans la nuit la colonie fu_t entièrement pillée et détruite
Triste fin pour de si beaux idéaux.
Fiction ou réalité?
