 ), je partage avec vous et avec joie ce papier académique de l'université de Bucarest qui traite des biais comportementaux que l'on peut rencontrer dans le trading. C'est pas très compliqué à lire, c'est la base de la finance comportementale, vraiment pas besoin d'avoir fait Juissieux pour comprendre
 ), je partage avec vous et avec joie ce papier académique de l'université de Bucarest qui traite des biais comportementaux que l'on peut rencontrer dans le trading. C'est pas très compliqué à lire, c'est la base de la finance comportementale, vraiment pas besoin d'avoir fait Juissieux pour comprendre   Mais ça fait toujours du bien de se rappeler de ces états d'esprits, et je suis sur que vous vous retrouverez dans certains, et ce... parce que nous sommes humains!
 Mais ça fait toujours du bien de se rappeler de ces états d'esprits, et je suis sur que vous vous retrouverez dans certains, et ce... parce que nous sommes humains!Je me permets de citer la conclusion, que j'adore : "
"Conclusions
The greatest critique of behavioral finance is that it is not considered an actual science, like the quantitative finance. It is too general. It is not possible to calculate and quantify exactly behavioral factors neither for one person nor for a crowd. Behavioral finance should be regarded as a useful toolkit when trading because it could give a competotove advantage in trading and a better knowledge of it. As Jesse Livermore said, it is very important to learn from our mistakes and understand the market in a better way: “It wasn’t anything to be proud of, when you think I had been broke three times in less than two years. And as I told you, being broke is a very efficient educational agency. It is literally true, that millions come easier to a trader after he know how to trade, than hundred did in the days of his ignorance” – Jesse Livermore. 452"
Et c'est plus inte(ressant)liggent que de regarder ces saloperies de talk show à la TV


 
 




 
  Surtout en France, où les chercheurs aiment bien utiliser des mots à X² syllables pour décrire des phénomènes afin de se donner un semblant de paraître   :roll:
 Surtout en France, où les chercheurs aiment bien utiliser des mots à X² syllables pour décrire des phénomènes afin de se donner un semblant de paraître   :roll: 
 
