Hello amis traders ! Cette semaine nous abordons le thème des biais cognitifs. Hier, nous avons parlé de l'aversion à la perte et de la notion de coût irrécupérable.
Aujourd'hui, nous allons nous pencher sur la biais d’auto-complaisance !
4 - Le biais d’auto-complaisance
Par définition le biais d’auto-complaisance se traduit par la tendance à surévaluer les raisons d’un succès selon des causes internes (effort, compétence, etc.) et à sous-évaluer les causes externes (chance, difficulté de la tâche, etc.)
L’inverse est vrai, lors d’un échec, on va tendre à surévaluer les causes externes et à sous-évaluer les causes internes.
Autrement dit, quand l’on va gagner un trade, on va tendre à expliquer cette réussite en disant qu’on l’a mérité, on a travaillé dur et l’on sait ce que l’on fait.
Au contraire, si l’on perd un trade, l’on va mettre cela sur le dos de notre connexion internet, sur le broker, sur le complot qui cherchait à déclencher notre stop loss. Bref, notre réussite dépendra davantage de nous-même, quand nos échecs dépendront des autres.
En outre, pour l'anecdote, des études ont été mené afin de déterminer si les différences culturelles avaient un impact sur ce biais.
Il a été remarqué que ce biais d'autocomplaisance était accentué dans les pays occidentaux et notamment aux Etats-Unis. Au contraire, ce biais était moins important dans les pays asiatiques et même quasiment absent au Japon.
Aujourd'hui, nous allons nous pencher sur la biais d’auto-complaisance !
4 - Le biais d’auto-complaisance
Par définition le biais d’auto-complaisance se traduit par la tendance à surévaluer les raisons d’un succès selon des causes internes (effort, compétence, etc.) et à sous-évaluer les causes externes (chance, difficulté de la tâche, etc.)
L’inverse est vrai, lors d’un échec, on va tendre à surévaluer les causes externes et à sous-évaluer les causes internes.
Autrement dit, quand l’on va gagner un trade, on va tendre à expliquer cette réussite en disant qu’on l’a mérité, on a travaillé dur et l’on sait ce que l’on fait.
Au contraire, si l’on perd un trade, l’on va mettre cela sur le dos de notre connexion internet, sur le broker, sur le complot qui cherchait à déclencher notre stop loss. Bref, notre réussite dépendra davantage de nous-même, quand nos échecs dépendront des autres.
On a tendance à s’estimer meilleur que l’on est réellement (biais égocentrique). Ainsi, valoriser les causes internes en cas de réussite, louer notre mérite, permet de satisfaire notre égo. Tandis que rejeter la faute sur les causes externes en cas d’échec permet de le protéger.En même temps tu considères qu'on est responsable de tout ce qui nous arrive ! Mais c'est vrai qu'il y a la possibilité d'avoir un stop loss garanti pour éviter les décalage de cours... Mais du coup à quoi est dû ce biais ?
En effet, cependant, il convient d'en prendre conscience malgré tout car il peut mener à un refus de se remettre en cause et incite à prendre de mauvaises décisions.Il est peut être pas si néfaste que cela ce biais. Puisqu'il permet quand même d'éviter de s'effondrer à chaque échec, de rester optimisme et garder une certaine volonté pour persévérer.
En outre, pour l'anecdote, des études ont été mené afin de déterminer si les différences culturelles avaient un impact sur ce biais.
Il a été remarqué que ce biais d'autocomplaisance était accentué dans les pays occidentaux et notamment aux Etats-Unis. Au contraire, ce biais était moins important dans les pays asiatiques et même quasiment absent au Japon.