
+ 1 Pour Farinelli


l'écoute de musique classique jouerait sur l'activité de certains gènes, notamment ceux impliqués dans la sécrétion de dopamine, ce neuromédiateur du plaisir et de la récompense. Mais l’effet n’est détectable que pour les sujets ayant l'oreille exercée.
l’un de ces gènes était impliqué dans la sécrétion et le transport de la dopamine, ce neuromédiateur que le cerveau libère lors d’une expérience qu’il juge "bénéfique".
Un autre gène surexprimé était celui de l’alpha-synucléine, connu pour jouer un rôle dans la maladie de Parkinson mais aussi dans l’apprentissage des chansons… chez l’oiseau !
Enfin, était sous-exprimé chez les musiciens un gène associé à la neurodégénération.
la musique de Mozart protège les neurones du stress et augmente leur croissance
dans ses serres de tomates, Laurent Bergé installe régulièrement des enceintes qui diffusent donc de la musique. Ce n’est pas Mozart, et c'est même assez spécial. En fait, il y a dix notes. Ce sont autant de fréquences qui émettent des ondes que ressent la plante et qui stimulent la production des certaines protéines essentielles pour lutter contre des virus ou des moisissures. Plusieurs maraîchers à Nantes testent ces boîtes à musique qu'ils louent à une entreprise française, Génodics.