
magnifique poème, merci UltraFlex 

Très joli, mais tu me divinises peut-être un peu trop UltraFlex, tu ne crois pas?
Je crois que Christelle en mérite tout autant.
Je crois que Christelle en mérite tout autant.
Oui bien sur, un petit pour commencer, alors, je sens que nuts va réclamer aussi
Titre : Christelle, Étoile de Lumière
(Poème)
Christelle, étoile de lumière,
Tu brilles comme un soleil dans le ciel,
Ton cœur est une source de chaleur et de lumière,
Qui éclaire le chemin de ceux qui t'aiment.
Ton sourire est un rayon de soleil,
Qui éclaire la route et qui guide,
Ton amour est un don précieux,
Qui fait vibrer les cœurs et les âmes.
Ton esprit est un océan sans fin,
Où les rêves et les espérances s'endorment,
Ton cœur est un refuge chaleureux,
Où les amitiés et les liens se créent.
Christelle, tu es une force de nature,
Un élément qui fait vivre et qui fait grandir,
Tu es la lumière qui éclaire le chemin,
La force qui ébranle les cœurs et qui les fait battre.

Titre : Christelle, Étoile de Lumière
(Poème)
Christelle, étoile de lumière,
Tu brilles comme un soleil dans le ciel,
Ton cœur est une source de chaleur et de lumière,
Qui éclaire le chemin de ceux qui t'aiment.
Ton sourire est un rayon de soleil,
Qui éclaire la route et qui guide,
Ton amour est un don précieux,
Qui fait vibrer les cœurs et les âmes.
Ton esprit est un océan sans fin,
Où les rêves et les espérances s'endorment,
Ton cœur est un refuge chaleureux,
Où les amitiés et les liens se créent.
Christelle, tu es une force de nature,
Un élément qui fait vivre et qui fait grandir,
Tu es la lumière qui éclaire le chemin,
La force qui ébranle les cœurs et qui les fait battre.
Bravo UltraFlex, elle le mérite grandement notre Christelle bien aimée.
Oui, j'ai eu une pensée pour elle lorsque j'ai composé cette chanson.
Nuts, Le Dernier Vainqueur
(Poème)
Nuts, le dernier vainqueur, Ta tête victorieuse étincelle,
Comme une étoile dans la nuit, Guidant les cœurs et les âmes.
Ton sourire est un arc-en-ciel, Un pont entre les rêves et les réalités, Ton amour est un feu qui brûle, Un flambeau qui éclaire les chemins.
Ton esprit est un fleuve sans fin,
Où les idées et les espérances s'endorment, Ton cœur est un sanctuaire chaleureux, Où les amitiés et les liens se créent.
Nuts, tu es un géant de la bataille, Un héroïque guerrier qui a vaincu, Ta tête victorieuse est un symbole, D'une victoire qui ne se laisse pas ébrécher.
Spoiler:
Nuts, Le Dernier Vainqueur
(Poème)
Nuts, le dernier vainqueur, Ta tête victorieuse étincelle,
Comme une étoile dans la nuit, Guidant les cœurs et les âmes.
Ton sourire est un arc-en-ciel, Un pont entre les rêves et les réalités, Ton amour est un feu qui brûle, Un flambeau qui éclaire les chemins.
Ton esprit est un fleuve sans fin,
Où les idées et les espérances s'endorment, Ton cœur est un sanctuaire chaleureux, Où les amitiés et les liens se créent.
Nuts, tu es un géant de la bataille, Un héroïque guerrier qui a vaincu, Ta tête victorieuse est un symbole, D'une victoire qui ne se laisse pas ébrécher.
Spoiler:
Oh merci UltraFlex !
merci Amarantine !

merci Amarantine !

Tu as dû remarquer l’allusion aux photos de bonnets


mais c'est génial tout ça!
Bravo Ultra!

Bravo Ultra!

Re: Jeu de mots...
par Amarantine » 13 avr. 2025 00:54
Ramer —-> bramer
------------------------------------------
le cri de la biche
Maurice ROLLINAT
1846 - 1903
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux :
Son petit faon délicieux
A disparu dans la nuit brune.
Pour raconter son infortune
A la forêt de ses aïeux,
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux.
Mais aucune réponse, aucune,
A ses longs appels anxieux !
Et le cou tendu vers les cieux,
Folle d'amour et de rancune,
La biche brame au clair de lune.
par Amarantine » 13 avr. 2025 00:54
Ramer —-> bramer
------------------------------------------
le cri de la biche
Maurice ROLLINAT
1846 - 1903
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux :
Son petit faon délicieux
A disparu dans la nuit brune.
Pour raconter son infortune
A la forêt de ses aïeux,
La biche brame au clair de lune
Et pleure à se fondre les yeux.
Mais aucune réponse, aucune,
A ses longs appels anxieux !
Et le cou tendu vers les cieux,
Folle d'amour et de rancune,
La biche brame au clair de lune.
Victor Hugo
Extrait des Contemplations, recueil paru en 1856, « Demain, dès l'aube… » est un poème d'amour et de deuil. Victor Hugo l'a écrit en hommage à sa fille Léopoldine, décédée le 4 septembre 1843. Il y évoque son pèlerinage annuel sur sa tombe.
************************************
Demain dès l’aube…
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Victor Hugo, extrait du recueil «Les Contemplations» (1856)
Extrait des Contemplations, recueil paru en 1856, « Demain, dès l'aube… » est un poème d'amour et de deuil. Victor Hugo l'a écrit en hommage à sa fille Léopoldine, décédée le 4 septembre 1843. Il y évoque son pèlerinage annuel sur sa tombe.
************************************
Demain dès l’aube…
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
Victor Hugo, extrait du recueil «Les Contemplations» (1856)
Arthur Rimbault
Le dormeur du Val
C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
— Arthur Rimbaud, Le Dormeur du val, octobre 1870
Le dormeur du Val
C'est un trou de verdure où chante une rivière
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
— Arthur Rimbaud, Le Dormeur du val, octobre 1870
merci Amarantine pour ces deux beaux poèmes 

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