Robert Kennedy déclarait en 1968 : « Le
pib compte la pollution de l’air et la publicité pour les cigarettes, et les ambulances pour nettoyer nos routes du carnage… Il compte les prisons, le napalm, les ogives nucléaires, et la perte de merveilles naturelles dans un étalement chaotique… Pourtant, il ne se soucie pas de la santé de nos enfants, de la qualité de leur éducation ou de la joie de leur jeu… Il mesure tout en bref – sauf ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue ».