Jeu de mots...

alcool --> colle

colle ---> col

col ---> collet

collet --> lait

lait ---> petit

Spoiler:

le petit lait

petit ---> miniature

miniature --> vidéo

Spoiler:

miniature de vidéo Youtube

vidéo ---> idéologie

idéologie --> philosophie

philosophie ---> sophistiqué

sophistiqué ——> astiqué

astiqué --> récuré

récuré ---> récupéré

récupéré --> rattrapé

rattrapé —-> attrapé

Attrapé —-> saisi

saisi ----> sang

Spoiler:

saisissant

sang --> froid

Spoiler:

sang-froid

Spoiler:

niki, tu mets toujours la barre trop haute, je me sens toute petite.

froid ---> jeter

Spoiler:

jeter un froid

jeter --> froc

Spoiler:

jeter son froc au orties

https://www.guichetdusavoir.org/question/voir/17884

Jeter le (son) froc aux orties : "abandonner l'état religieux".
La locution apparaît au XVe siècle. Le froc, partie supérieure, puis totalité de l'habit monacal, désigne métonymiquement l'état monastique, ce que manifestent des locutions comme prendre, porter, quitter le froc.
Ce rejet délibéré et désinvolte de l'habit religieux est assez souvent associé à l'idée de libertinage, et senti comme rejet des contraintes charnelles qu'impose l'état de moine. (cf. Jeter son bonnet par-dessus les moulins).
Le mot orties s'inscrit dans une série synonymique à dominante végétale (on a d'abord dit Jeter le froc aux choux), mais il désigne aussi depuis le XVIe siècle l'ensemble des pointes de fer (ou hérisson) garnissant le sommet d'une grille, d'une clôture, qui en l'occurrence, pourrait bien être celle du couvent.
Le froc ainsi jeté aux orties, c'est à dire "mis au clou", serait le symbole dérisoire de l'abandon de contraintes trop pesantes.

Probablement en raison du changement de signification du mot "froc" :
du sens d'"habit du moine", on est passé (d'abord en argot, 1905) à celui de "pantalon", l'expression s'est changée en "jeter sa soutane aux orties".