Le premier donateur de l'OMS, c'est Billi et Billi, et pour la réduction de la population par tous les moyens, je ne suis pas sûr qu'il faille chercher de ce côté.
L'évolution de l'infertilité féminine à travers le monde est un sujet complexe qui nécessite une analyse approfondie des tendances de fécondité et des facteurs influençant la capacité reproductive. Bien que les données spécifiques sur l'infertilité ne soient pas directement présentées dans les résultats de recherche, nous pouvons tirer des conclusions à partir des informations sur les taux de fécondité et les tendances démographiques.
Tendances mondiales de la fécondité
La fécondité mondiale a connu une baisse significative au cours des dernières décennies :
Le taux de fécondité mondial a diminué de moitié, passant d'environ 5 enfants par femme dans les années 1960 à environ 2,4 en 2015.
Cette baisse s'est accélérée après 2015, avec une diminution de 0,17 enfant par femme entre 2015 et 2020.
Disparités régionales
La baisse de la fécondité n'est pas uniforme à travers le monde :
En 2022, dans l'Union européenne, la France avait le taux de fécondité le plus élevé avec 1,79 enfant par femme, tandis que Malte avait le plus bas avec 1,084.
L'Europe du Sud, l'Europe de l'Est et l'Asie de l'Est ont les taux de fécondité les plus bas au monde, avec une moyenne de 1,5 enfant par femme.
Les pays africains et l'Afghanistan maintiennent les taux de fécondité les plus élevés.
Évolution par régions
Europe et Asie de l'Est :
Des pays comme la Corée du Sud, Taïwan, et certaines régions de Chine ont vu leur taux de fécondité passer sous le seuil d'1 enfant par femme.
L'Europe germanique, le nord de l'Italie et l'Espagne ont connu une légère augmentation depuis 2000, partant d'un niveau déjà très bas.
Amériques :
Le continent américain est passé d'une norme de 2,1 à 3 enfants par femme en 2000 à des niveaux inférieurs à 2,1 dans la plupart des régions en 2021.
Asie :
L'Inde présente des contrastes infranationaux importants, avec une baisse générale mais des variations régionales.
La Chine a connu une baisse progressive, commençant par les zones côtières et se propageant vers l'intérieur.
Afrique :
Bien que toujours élevée, la fécondité en Afrique connaît des baisses remarquables, supérieures à 1 enfant par femme en 20 ans dans certaines régions.
Implications sur l'infertilité
Bien que la baisse de la fécondité ne soit pas directement équivalente à une augmentation de l'infertilité, elle peut être indicative de certains problèmes :
Selon l'OMS, environ 17,5% de la population adulte mondiale, soit 1 personne sur 6, est touchée par l'infertilité au cours de sa vie.
La prévalence de l'infertilité est similaire dans les pays à revenus élevés (17,8%) et dans les pays à revenus faibles et moyens (16,5%).
Aux États-Unis, environ 9% des hommes et 10% des femmes âgés de 15 à 44 ans ont signalé des problèmes d'infertilité.
Facteurs influençant
Plusieurs facteurs contribuent à ces tendances :
Retard de l'âge au mariage et de la première grossesse.
Amélioration de l'éducation des filles et de leur accès au marché du travail.
Utilisation accrue de la contraception.
Difficultés à concilier vie professionnelle et garde des enfants, notamment en Europe.
En conclusion, bien que les données spécifiques sur l'évolution de l'infertilité féminine par pays ne soient pas directement disponibles, la baisse globale de la fécondité et l'augmentation de l'âge moyen à la maternité suggèrent des défis croissants en matière de fertilité à l'échelle mondiale. Ces tendances varient considérablement selon les régions et les contextes socio-économiques, nécessitant des approches adaptées en matière de santé reproductive et de politiques familiales.
Le taux de fécondité :
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