J’ai rien à dire Gilles. J’écris. J’envoie le manuscrit. Point. Et ça me va très bien. J’ai d’autres choses à faire de plus intéressant
et dans un an j’aurai un récapitulatif des ventes et un chèque, la Somme me fera marrer, des droits d’auteurs à payer aux impôts et voilà.
Pour être franc j’ai envoyé le manuscrit un vendredi à 11h59. J’étais content l’après-midi. Le samedi matin j’attaquais un nouveau projet. Pour moi c’est déjà du passé ce livre. C’est le prochain qui me passionne. Et ainsi de suite.