L’AVC (accident vasculaire cérébral) est, en France, la première cause de handicap acquis de l’adulte, la deuxième cause de démence (après la maladie d’Alzheimer) et la troisième cause de mortalité.
Environ un tiers des personnes qui sont victimes d’un AVC (accident vasculaire cérébral) récupèrent de manière significative1. Malheureusement, les AVC laissent souvent les survivants meurtris par des handicaps majeurs. Un AVC peut affecter les fonctions motrices (paralysie) mais aussi, le langage, la pensée, les capacités d’apprentissage et de communication et les émotions.
L’APHASIE
L’aphasie est la perte totale ou partielle de la capacité de communiquer par le langage, en d’autres termes de parler ou de comprendre et ceci en l’absence de troubles sensoriels (surdité par exemple). C’est une des conséquences graves possible d’un AVC (accident vasculaire cérébral).
L’HÉMIPLÉGIE
Une hémiplégie est une paralysie d’une ou plusieurs parties d’un seul côté du corps.
Elle peut être totale, et dans ce cas, le membre supérieur, le membre inférieur, le tronc et la moitié de la face sont touchés.
Si le caillot sanguin affecte l’hémisphère gauche du cerveau lors d’un infarctus cérébral dû à la FA (fibrillation auriculaire ou fibrillation atriale), le patient risque donc d’être victime d’une hémiplégie du côté droit.
Les AVC sont souvent plus graves chez les personnes atteintes de FA (fibrillation atriale ou fibrillation auriculaire)
Si vous souffrez d’une FA, elle peut se compliquer en infarctus cérébral souvent grave. Il est donc très important de savoir reconnaître les signes d’un AVC pour appeler le 15 au plus vite pour éviter l’aggravation des séquelles.