Miju, j'ai été traumatisé comme toi par 2002 notamment ou nous avons froller l'effondrement de mon habitation.
J'ai combattu cela en me frottant plusieurs fois à des inondations très dangereuses à partir de mes 18ans.
Depuis j'ai dompté ma peur, je suis alors capable de me mettre dans des torrents si des personnes sont en danger, je me met devant les vagues énorme, au plus près des sinistres sans problème ni stress.
J'ai énormément analysé et appris ce qu'était qu'une inondation, et donc appris les bon gestes à tenir en voiture ou à pied.
Si tu veux, pour les prochaines inondations, je t’amène au plus près pour que tu comprennes et apprennes afin que ton traumatisme soit probablement un souvenir beaucoup moins douloureux ?
Article intéressant, je trouve.
Les jets stream et vortex polaires semblent se détraquer.
Canicules, précipitations diluviennes, inondations… Le réchauffement global affecte-t-il la circulation atmosphérique de telle manière qu’il peut localement et par moments déjà considérablement s’amplifier, bien au-delà des prévisions, notamment l’été dans la zone tempérée de l’hémisphère nord ?
La réponse est de plus en plus « oui ». En effet, l’intensité de certains extrêmes météorologiques (canicule 2003 en Europe, canicule 2010 en Russie, inondations 2010 au Pakistan, sécheresse 2016 en Californie et maintenant canicule 2019 en Europe où les 45°C ont été dépassés en France) ne s’expliquent pas scientifiquement avec les seuls mécanismes thermodynamiques habituels: « modeste » réchauffement moyen provoquant une augmentation « sensible » de la fréquence des vagues de chaleur, augmentation de température favorisant les précipitations intenses…
Leur intensité et leur durée surpassent ce à quoi les scientifiques eux-mêmes s’attendaient selon les données classiques des modèles. L’explication est donc à rechercher dans le dynamisme de la machine terrestre: une perturbation plus générale, et encore plus grave donc, du système climatique. Axes de recherche: l’humidité des sols, les températures de surface de l’Océan Pacifique sous les tropiques ou encore le réchauffement rapide de l’Arctique, au moins deux fois plus rapide qu’ailleurs.
Bonsoir Benoist.
C'est la que l'on voit que vivre en dessous de la Loire va devenir dur.
45° c'est la température de la vallée de la mort en plein été aux États Unis.
Et il n'y a aucune raison que de nouveaux records ne soient pas battus, le climat d'aujourd'hui étant lié aux émissions de gaz carbonique des années 80.
Ces températures sont incompatibles avec la vie, y compris pour le règne végétal, donc l'alimentation.
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Un autre record, qui a fait moins de bruit, il a fait 15° sur les sommets du Mont Blanc, alors qu'il y fait 0° en cette saison, normalement.
On voit donc que 1,1°C de hausse moyenne mondiale (océans compris) peut représenter des anomalies locales de 15° C, je vous laisse imaginer quand nous aurons +2°C de hausse globale (entre 2040 et 2050).
Voyage à travers les climats de la Terre, à voir au frais cet apres midi pour ceux qui ont envie de comprendre un peu comment ca marche
https://vimeo.com/281600684
Ces prévisions ne sont pas d'une grande fiabilité, mais cela reste possible de dépasser les 40°C localement la semaine prochaine. Faites un stock de Haagen-Dazs.
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