C'est un livre, comme j'ai pas trouvé la catégorie je l'ai mis avec les films
Voila mon livre préféré.
C'est presque le double du "rouge et le noir" mais en version magnifiée : le héros est un noble et plus un parvenu, l'histoire se passe dans une Italie fantasmée, digne d'un conte de fée...
Ce qui m'a le plus frappé dans ce roman, c'est comment Stendhal brise les structures traditionnelles de la narration.
En général, toutes les histoires ont le même plan à peu de choses prés : situation initiale, élément pertubateur, péripéties, retour final à l'équilibre.
Ici ces codes sont dépassés, comme si le héros ne pouvait se laisser enfermer dans ce carcan, comme si les personnages, insufflés à la vie par le grand romancier et entrainés par le grand tourbillon des passions, venaient exploser le squelette froid de la narration académique.
Sendhal se joue d'ailleurs de ces codes pour mieux les détourner (épisode extraordinaire de la prison qui m'a le plus frappé).
La description des intrigues de la cour de Parme ne ferait pas honte au maitre du genre, le grand Balzac, et la peinture des émotions fera dire à Zola que Stendhal est "le grand maitre de la peinture de l'âme humaine".
Voila mon livre préféré.
C'est presque le double du "rouge et le noir" mais en version magnifiée : le héros est un noble et plus un parvenu, l'histoire se passe dans une Italie fantasmée, digne d'un conte de fée...
Ce qui m'a le plus frappé dans ce roman, c'est comment Stendhal brise les structures traditionnelles de la narration.
En général, toutes les histoires ont le même plan à peu de choses prés : situation initiale, élément pertubateur, péripéties, retour final à l'équilibre.
Ici ces codes sont dépassés, comme si le héros ne pouvait se laisser enfermer dans ce carcan, comme si les personnages, insufflés à la vie par le grand romancier et entrainés par le grand tourbillon des passions, venaient exploser le squelette froid de la narration académique.
Sendhal se joue d'ailleurs de ces codes pour mieux les détourner (épisode extraordinaire de la prison qui m'a le plus frappé).
La description des intrigues de la cour de Parme ne ferait pas honte au maitre du genre, le grand Balzac, et la peinture des émotions fera dire à Zola que Stendhal est "le grand maitre de la peinture de l'âme humaine".