Il se jeta sur elle et lui arracha son corps-sage, tâtant enfin les beaux fruits. Continuant sur sa lancée, il pelota la demoiselle à qui mieux mieux, sur la chauffeuse. Cette dernière tombait à point nommé, et lui servit de support pour vaincre les résistances de la belle. Sachant qu'il risquait de tout perdre en un seul coup, désespéré, il choisit de moyenner à la bai(s)se en s'accrochant à sa position plus longtemps et en renouvelant ses caresses, mais il avait la peur au ventre car il risquait, à tout moment d'être interrompu par un appel de Marge, la bonne, qui rôdait dans les communs, et attendait pour servir l'entrée. Il avait bien trouver un point d'appui et qui ferait pivot, au cas où, mais plus facile à dire qu'affaire, ce que lui avait déjà expliqué son ami Fibo, masseur de son état, "en cas de problème : tu (re)traces !"
A sa grande surprise, Mademoiselle Très Digne lui rendit cou pour coup. Elle se répandit en gloussements appréciateurs, en dandinements lascifs, (un vrai volatile) l'aida même à dévoiler ses charmes et en retour entreprit de ... lui dénuda ... enfin ... bref ... vices ... : Amarantine
En fait, Victoria avait un secret : elle adorait qu'on lui force ... la main. Elle attendait que Monsieur T. Raideur se décide enfin, qu'il ait un plan d'attaque, qu'il élabore des stratégies, qu'il soit discipliné et (vigoureux) rigoureux, bref, qu'il se comporte en chef de guerre, et non plus en perdant.
C'est ainsi que les tourtereaux débutèrent enfin une relation torride. Mais, alors, ce qui devait arriver arriva ... (fin de l'épisode)