Histoire d'O / deuxième partie
Et, évidemment, lorsque Le Prince aperçut O, il en tomba éperdument amoureux. Elle était tout ce qu'il avait toujours cherché, même sans le savoir vraiment. Elle était son manque de ... elle était sa solution.
Il demande immédiatement au roi la main de sa fille, et celle-ci lui Futures accordée sans hésitation car, après tout, Le Prince était un excellent parti. Le roi organisa avec magnificence, et sans perdre un instant, les épousailles. Le mariage princier se déroula sur plusieurs jours, durant lesquels s'enchaînèrent festivités et libations, à la plus grande joie des nombreux invités, et où Le Prince se révéla très charmant. En effet, ce jeune marié, charismatique, beau parleur, avec sa faconde, se gagna le cœur de tous les sujets, sauf, semble-t-il, celui de sa jouvencelle.
Pourtant, Le Prince était bien fait de sa personne et portait les valeurs de son temps, à savoir, qu'il était un vrai conquérant, brillant, intelligent, audacieux, courageux, voir téméraire. L'homme était aussi ambitieux et fin stratège, fait de cette étoffe qui donne les meilleurs combattants. Précisons toutefois, qu'il était impulsif, autoritaire, et un tantinet trop sûr de lui, habitué à ne rencontrer aucun obstacle dans sa course à la réussite.
La princesse n'avait dit mot dans cette affaire, le roi, son père, lui ayant imposée sa volonté. Après les épousailles (dont je ne peux rien vous écrire, afin d'éviter que tout mot étrangement incongru tel que ballot, tulipe ... ne ponctue ce texte) elle se mit à remplir ses coffres d'effets personnels, pour préparer son voyage sans retour vers le pays du prince. Bien que toute jeune mariée à un fringant prince, O restait égale à elle-même, froide et distante. Une beauté extérieure qui suscitait l'envie, la convoitise, mais un contact très difficile et qui rendait la relation extrêmement pénible.
Le Prince découvrit tout cela, et davantage (hum Amarantine), durant le long voyage de retour. A maintes reprises, il essaya la manière forte, déclinée en cinquante nuances de grey (lol Amarantine), pour dompter la belle et pour qu'elle devienne souple et docile. Mais, à chaque fois qu'il essayait de lui imposer quelque chose, de la contraindre, elle s'échappait, s'enfuyait et il était alors obligé de la poursuivre, de la supplier, de la ramener à la raison, et, bref, chaque fois, autant de temps perdu pour rentrer chez lui.
Fin de la deuxième partie
Et, évidemment, lorsque Le Prince aperçut O, il en tomba éperdument amoureux. Elle était tout ce qu'il avait toujours cherché, même sans le savoir vraiment. Elle était son manque de ... elle était sa solution.
Il demande immédiatement au roi la main de sa fille, et celle-ci lui Futures accordée sans hésitation car, après tout, Le Prince était un excellent parti. Le roi organisa avec magnificence, et sans perdre un instant, les épousailles. Le mariage princier se déroula sur plusieurs jours, durant lesquels s'enchaînèrent festivités et libations, à la plus grande joie des nombreux invités, et où Le Prince se révéla très charmant. En effet, ce jeune marié, charismatique, beau parleur, avec sa faconde, se gagna le cœur de tous les sujets, sauf, semble-t-il, celui de sa jouvencelle.
Pourtant, Le Prince était bien fait de sa personne et portait les valeurs de son temps, à savoir, qu'il était un vrai conquérant, brillant, intelligent, audacieux, courageux, voir téméraire. L'homme était aussi ambitieux et fin stratège, fait de cette étoffe qui donne les meilleurs combattants. Précisons toutefois, qu'il était impulsif, autoritaire, et un tantinet trop sûr de lui, habitué à ne rencontrer aucun obstacle dans sa course à la réussite.
La princesse n'avait dit mot dans cette affaire, le roi, son père, lui ayant imposée sa volonté. Après les épousailles (dont je ne peux rien vous écrire, afin d'éviter que tout mot étrangement incongru tel que ballot, tulipe ... ne ponctue ce texte) elle se mit à remplir ses coffres d'effets personnels, pour préparer son voyage sans retour vers le pays du prince. Bien que toute jeune mariée à un fringant prince, O restait égale à elle-même, froide et distante. Une beauté extérieure qui suscitait l'envie, la convoitise, mais un contact très difficile et qui rendait la relation extrêmement pénible.
Le Prince découvrit tout cela, et davantage (hum Amarantine), durant le long voyage de retour. A maintes reprises, il essaya la manière forte, déclinée en cinquante nuances de grey (lol Amarantine), pour dompter la belle et pour qu'elle devienne souple et docile. Mais, à chaque fois qu'il essayait de lui imposer quelque chose, de la contraindre, elle s'échappait, s'enfuyait et il était alors obligé de la poursuivre, de la supplier, de la ramener à la raison, et, bref, chaque fois, autant de temps perdu pour rentrer chez lui.
Fin de la deuxième partie