Psycho > 150K en capital à trader, de quoi essayer de sortir la moitié de mon salaire de prof si cela n'allait pas bref avec ce capital 10 ans devant moi.
Mais j'ai un capital beaucoup plus important que l'argent, je suis prêt à travailler 100 heures par semaine, je l'ai déjà fais et je le fais encore souvent, pour moi "travailler" est un plaisir, un défi, un loisir (je sais pour 99% des français je suis un fou, les vacances je m'ennuie) je n'ai pas peur de travailler physiquement, je peux aller ramasser les poubelles, je m'en fiche, dans mon cerveau j'ai une vraie liberté, ce que je fais n'a aucune importance pour moi et n'a aucune valeur sociale. Je n'ai pas peur de l'avenir, je peux devenir SDF, ça m'amuserait presque, une nouvelle aventure à vivre. Donc je suis spécial, je change de vie de A à Z quand ce que je fais ne m'amuse plus, je peux diviser mon salaire par 2, avoir un boulot dévalorisé par rapport à l'ancien, je m'en fiche totalement. quand j'ai quitté
renault avec un super poste pour devenir prof en ZEP et diviser mon salaire et mes perspectives, personne n'a compris. Mais moi j'étais heureux, je l'avais décidé.
Donc quand tu n'as pas peur de vivre dans un squat, de faire la manche dans le métro pour manger et de fouiller les poubelles comme j'ai fais pour aller revendre aux puces de Clignancourt avec mes potes afghans déjà à l'époque, tu es invulnérable. Tu n'as peur de rien, je considère la vie comme un jeu.
Et puis tu sais, on a déjà chuté... j'essaye juste de retrouver la Lumière, c'est mon seul but dans la vie (comprendra qui voudra)
alors peur de quoi ? De rien, mon but est différent de beaucoup, je leur laisse leurs voitures de sport sans regret
bref je ne suis pas un exemple à suivre, je suis très différent de beaucoup de gens, out of the box surement. Peu importe, je ne m'identifie ou ne me compare jamais, je vis ma vie sans regarder celle des autres, je ne sais même pas ce qu'ils font pour être honnête et je m'en tape. Je vis ma vie, je parcours mon chemin, je ne sais pas comment l'écrire autrement.
même pas la peine d'en parler, personne n'y croirait 
