Dans certaines situations, l'inconscient (qui pilote nos émotions) prend le controle du centre de décision, l'amygdale rentre en jeu ça. C'est la peur.
Si par anticipation d'une situation problématique, on décide le plus rationnellement (émotions sous contrôle) possible d'une action à prendre, on serait plus dans le registre prudent. Exemple Ch 27 du livre à Benoist : "prendre ses pertes technique militaire" . J'aurais un bon point pour la pub?
Mais des fois, c'est plus facile à dire qu' à faire. Exemple : Vous tombez nez à nez avec un ours. La décision rationnelle qui vous sauve : ne bougez pas, faite face.
La décision potentiellement mortelle : vous détalez.
Je suis pas sur à 100% de pouvoir tenir la première, même en sachant les implication, la pression doit être énorme.