Je constate que l'homme est de plus en plus contre nature. Pourquoi ? La nature, ou plutôt, les lois de l'univers font qu'un large spectre de futur est possible.
L'univers s'étend partout, les règles peuvent changer, le temps peut être modifié, lors de l'évolution des espèces, celles qui se sont le mieux adaptées survécurent. Pour survivre les espèces ont donc eu un large panel d'évolution. Prenons l'exemple de l'australopithèque, pour en arriver à son stade, des tas de branches ont disparu car leur spectre d’évolution n'était pas adapté. Idem pour la continuité de son évolution donc nous sommes probablement les héritiers. Un paquet de genre humain a disparu.
Pour évoluer nos lois nous imposent de tester l'évolution dans tous les sens pour trouver le plus adapté.
Cependant, de nos jours, une éthique déontologique inventé par l'homme casse ces lois. Nos nouveaux nés naissent selon les mêmes lois, il y aura des futurs génies, de futurs fardeaux, des homo, des hétéro, bref chaque enfant dispose de capacités et de besoins différent dont il devra s’accommoder. Mais alors qu'auparavant, seuls les plus robustes survivaient, dorénavant, on essaie de donner une chance à tout le monde.
Alors qu'un certain standard de beauté existe et que je suppose naturel car inscrit dans nos gènes afin de trouver le ou la partenaire idéale pour se reproduire, certains essaie de casser ce standard
Que pensez de cette façon de penser, il est politiquement correct de penser que c'est une bonne chose. Je dirai que c'est évidemment humain, mais sûrement pas naturel. Je ne dirai ni que c'est une bonne chose, ni mauvaise. Je ne sais pas ce que donnera cette façon de fonctionner dans x générations. Cependant, notre univers fonctionne comme cela depuis 14 milliards d'années, je me demande donc quelles seront les conséquences du non respect des règles. ..
Je sais qu'il est politiquement incorrect de nos jours de remettre en cause l'égalité, mais je fais parti de ce système, dans le lot des nouveaux nés, je fais parti de ceux qui se posent des questions et qui imaginent.
EPITAF