ce que j'ai aimé au Japon c'est que les gens s'appliquaient pour tout. Le balayeur, la caissière, le policier, l'étudiant, le vendeur, le restaurateur etc ils faisaient de leur mieux avec conscience. La valeur d'une personne n'est pas lié au job qu'elle fait mais à la qualité de son travail. C'est ce que j'ai ressenti, il y avait de la dignité à balayer la rue car la rue était impeccable. Et ça j'aime, quand je tarvaillais chez
renault, j'avais autant d'égard pour la femme de ménage qui se levait à 5h du matin pour nettoyer mon bureau que pour le PDG que je voyais 2 à 3 fois par semaine.
Faire bien les choses. Une notion d'honneur un peu désuette de nos jours mais je fonctionne comme cela (surement mes origines paysannes profondes). J'ai adoré le Japon pour cela notemment. Tout le monde à sa place, ce n'est pas la "cascade de mépris" que l'on a hérité de l'Ancien Régime que je ne supporte plus