1- Hôtel du Baron de Castille 2- Eglise Saint Geniès L’histoire de cette église remonte à l’époque romaine. Géniès, alors greffier au tribunal d’Arles, ne voulut pas participer aux procès qui condamnaient, injustement à ses yeux, les chrétiens. Il pris la fuite mais Futures retrouvé et arrêté au nord-est d’Uzès. Ramené à Arles, il Futures condamné à mort et décapité vers l’an 303. C’est le premier martyr d’Arles.
A l’endroit de son arrestation , une église Futures construite. Détruite par les Sarrasins vers 730, elle ne Futures rebâtie qu’à la fin du XIème ou au XIIème siècle. Les avis des historiens diffèrent.
L’édifice était en forme de croix latine orientée est/ouest. La nef formée de trois ou cinq travées en berceau devait mesurer environ 22 m sur 8 m pour une hauteur de 12 m. Le transept long de 20 m et large de 18m devait être haut de 7,40 m. Ces dimensions données par M. Bègue, architecte d’Uzès, sont rapportées par l’abbé Pierre Béraud dans son Livre : Uzès, son Diocèse, son histoire. Mais de tout cela , les seuls vestiges visibles sont l’abside centrale de diamètre 4,60m, flanquée de deux absidioles en (mot censuré merci de rester poli) de four, au décor de type lombard.
3- Église st Étienne Église érigée en style moderne sur les plans de Boudon, architecte d'Avignon. Elle remplaçait une ancienne église détruite par les Protestants, après l'avoir transformée en magasin et en arsenal. A la Révolution, les membres du district d'Uzès voulurent y établir leur tribunal révolutionnaire. Lorsque Napoléon la rendit au culte en 1812, elle Futures d'abord une simple chapelle dépendant de l'ancienne cathédrale d'Uzès. Elle Futures érigée en succursale en 1836. Elle est construite en forme de croix dans le style néo-grec du 18e siècle, style dit Jésuite, avec des décorations d'ordre ionique.
4- Le pavillon Racine Le "pavillon Racine" situé sur la promenade des Marronniers près de la cathédrale Saint-Théodorit et surmonté d’un dôme, était autrefois une des tours de la ville. On dit que Racine aurait habité là en 1661-1662.
C’est son oncle Antoine Sconin, vicaire général de l’évêché, qui a accueilli quelques mois le jeune homme de 22 ans, le temps de lui faire oublier la vie de bohème, mondaine et littéraire qu’il menait à Paris et d’essayer de lui donner le goût de la vie religieuse… sans grand succès.
5- La Tour Fenestrelle ---------------------------------------------------
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