4. Le gouvernement américain a été impliqué dans la mise en œuvre des attentats du 11 septembre 2001
Voir le documentaire de Michael Moore. Il semblerait que Bush était au courant d'un risque accru d'attentats les semaines auparavant et qu'il n'y ait pas prêté attention. Je pense qu'ils n'ont pas organiser les attentats mais ont laisser faire, dans l'optique de créer un choc pour faire leur guerre du pétrole et imposer des lois liberticides (Patriot Act...).
"Le film établit également une part des liens qui existent entre la famille Bush et la famille ben Laden, et comment l'administration américaine a facilité le départ de membres de cette famille après les attentats du 11 septembre 2001. Il expose enfin que la mainmise sur le pétrole irakien serait un des motifs, sinon le seul motif réel, de l'invasion américaine de 2003 en Irak : le film révèle des images tirées de conférences préparatoires à la reconstruction en Irak, illustratrices de la collusion entre les financeurs du complexe militaro-industriel américain, les compagnies de mercenaires privées, et les grandes compagnies américaines, équipementiers pétroliers en tête."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fahrenheit_9/11
5. L’immigration est organisée délibérément pour aboutir au remplacement de la population européenne par une population immigrée
L'immigration est encouragée par le patronat.
"Dans un rapport salué par le cahier économique du Figaro, le cabinet McKinsey estimait que les immigrés « contribuent à près de 10 % de la richesse mondiale », notamment parce que la main-d’œuvre étrangère est très profitable aux entreprises.
Le mensuel Capital (
mars 2015) détaille : « La flexibilité est le premier atout de la main-d’œuvre immigrée. (…) Dans d’autres secteurs, c’est leur côté “durs à la tâche” qui rend les travailleurs immigrés si précieux. » Troisième atout « de ces employés venus d’ailleurs : ils n’hésitent pas à faire les boulots méprisés par les autochtones. Les premières à s’en féliciter sont les entreprises de nettoyage. Pour vider les poubelles des bureaux, la connaissance du français n’est pas vraiment indispensable »."
https://blogs.mediapart.fr/alberteins/blog/290918/pierre-gattaz-l-accueil-des-migrants-est-une-opportunite-pour-notre-pays
9. La CIA contrôle le trafic de drogue international
Non, mais il y'a eu des 'affaires louches".
"Les articles de Gary Webb ne traitaient pas de paysans sans nom abattus dans une république éloignée, mais démontraient un lien clair entre la CIA et les fournisseurs des gangs qui livraient du crack au ghetto de Watts, dans le centre sud de Los Angeles. Sa série d'articles - qui a poussé le célèbre journaliste et ancien correspondant de Newsweek Washington Robert Parry à qualifier Webb de «héros américain» - a mené la communauté afro-américaine à la fureur, et nombre d'entre eux ont pris ces articles comme preuve que la Maison Blanche voyait le crack comme un moyen d'inciter les ghettos afro-américains au génocide. Les rapports de Webb ont provoqué trois enquêtes officielles, dont une de la CIA elle-même qui - chose étonnante pour une organisation rarement félicitée pour sa transparence - a confirmé la substance de ses découvertes (publiées longuement dans le livre de Webb de 1998, aussi intitulé Dark Alliance). « En raison du travail de Gary Webb », a déclaré le sénateur John Kerry, « la CIA a lancé une enquête qui a trouvé des dizaines de contacts avec des trafiquants de drogue, ce qui ne serait pas arrivé si Gary Webb n'était monté au créneau et n'en avait pas pris la responsabilité »
(...)
Malgré tout, un sous-comité spécial du Sénat, présidé par le sénateur John Kerry de l'époque, a enquêté sur les conclusions de l'AP et, en 1989, a publié un rapport de 1 166 pages sur les États-Unis, opérations dans toute l'Amérique latine et les Caraïbes. Il a trouvé « des preuves considérables » que les Contras étaient liés à la circulation de drogues et d'armes à feu - et que le gouvernement américain était au courant.
(...)
En 1996, un grand jury de Floride inculpe le chef vénézuélien d'un programme anti-drogue de la CIA mis en place à la fin des années 1980, le général Ramon Guillen Davila, qui avait cherché avec la garde nationale vénézuelienne à infiltrer des gangs colombiens qui envoyaient de la cocaïne aux États-Unis. La CIA, malgré des objections de la Drug Enforcement Administration, avait autorisé l'expédition d'une tonne de cocaïne via l'aéroport international de Miami. La CIA dit l'avoir fait pour collecter des informations sur les cartels de la drogue colombiens, mais la drogue finit par être vendue dans les rues. Guillen affirma pour sa défense que toutes ses opérations avaient été approuvées par la CIA"
https://fr.wikipedia.org/wiki/All%C3%A9gations_d%27implication_de_la_CIA_dans_le_trafic_de_drogue
Tout n'est pas tout blanc, ni tout noir. Il y'a bien des choses peu reluisantes qui se passent et se sont passées...