La sortie définitive du Royaume-Uni de l’Union européenne, à 23h00 GMT jeudi, faisait en effet craindre une interruption au moins partielle des transactions sur les swaps entre les deux rives de la Manche, qui représentent des milliards d’euros chaque jour. Les filiales des banques de l’UE basées à Londres étaient les plus menacées.
Cette décision implique qu’une partie des transactions réalisées jusqu’à présent à la City de Londres devraient migrer à partir de lundi vers des plates-formes de transactions de l’Union européenne.