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Tout dépend de la vision de devenir libre par la suite par l'effort fourni.
L'espoir fait vivre, s'en espoir il y plus d'avenir, une vie de résignation.
L'espoir fait vivre, s'en espoir il y plus d'avenir, une vie de résignation.
Takapoto 
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le consentement par obligation
La réponse est pourtant simple : dans une société ultra spécialisée comme la notre, nous sommes obligatoirement gagnants quand on regarde le travail que l'on fournit et ce qu'il nous permet d'acheter.
Exemple tout bête : une baguette de pain 0,80 cts soit 5 à 10 minutes de temps de travail.
Si je devais la fabriquer moi-même, je dois :
Faire pousser le blé
Le moudre
Faire la pâte
La cuire.
Et encore, j'imagine que je possède tout le matériel nécessaire pour le faire. Et que je n'avais pas besoin de le fabriquer.
Et c'est la même chose pour tout ce qu'on possède.
Après, il y a d'autres aspects du travail qui sont non négligeables:
L'aspect sociable, très important pour notre espèce grégaire.
Le côté "valorisant " de certains métiers.
Certaines personnes sont passionnées par leur métier ou y trouvent un grand intérêt.
Toujours du côté sociale, le métier donne un "rôle " et une "image " de soi envers la société et par miroir pour nous aussi. (Notre métier sert à l'image que l'on a de soi).
Bref, notre travail est certes une contrainte, mais il a aussi beaucoup d'aspects positifs autre que pécunier.
Exemple tout bête : une baguette de pain 0,80 cts soit 5 à 10 minutes de temps de travail.
Si je devais la fabriquer moi-même, je dois :
Faire pousser le blé
Le moudre
Faire la pâte
La cuire.
Et encore, j'imagine que je possède tout le matériel nécessaire pour le faire. Et que je n'avais pas besoin de le fabriquer.
Et c'est la même chose pour tout ce qu'on possède.
Après, il y a d'autres aspects du travail qui sont non négligeables:
L'aspect sociable, très important pour notre espèce grégaire.
Le côté "valorisant " de certains métiers.
Certaines personnes sont passionnées par leur métier ou y trouvent un grand intérêt.
Toujours du côté sociale, le métier donne un "rôle " et une "image " de soi envers la société et par miroir pour nous aussi. (Notre métier sert à l'image que l'on a de soi).
Bref, notre travail est certes une contrainte, mais il a aussi beaucoup d'aspects positifs autre que pécunier.
Jamais pue m'identifier à un métier, juste une certaine fierté d'un travail réussi, surment une histoire de travail choisi ou subit.
Et pourtant, tu en as tiré "une certaine fierté ".
Pour un travail "réussi".
C'est donc, qu'il t'a apporté quelque chose de plus que l'aspect pécunier.
Pour un travail "réussi".
C'est donc, qu'il t'a apporté quelque chose de plus que l'aspect pécunier.
Relisez le texte.
Ce n'est pas le travail que remet en cause Bukoswski.
C'est l'asservissement, consenti ou pas.
Ce n'est pas le travail que remet en cause Bukoswski.
C'est l'asservissement, consenti ou pas.
Bien compris takapoto. Je dis juste que cet asservissement temporaire peut être vécu de façon totalement différentes selon les situations et les personnes.
Et qu'il n'est pas forcément vécu de façon négative.
Et qu'il n'est pas forcément vécu de façon négative.
Quand tu es mal dans ta peau , tu as une vision des choses influencée par ton vécu.
Voici ce qu’il disait aussi
«L’alcool m’a mis dans des situations que je n’aurais jamais connues sans lui: des lits, des prisons, des bagarres et des longues nuits insensées. Durant toutes mes années de clochard et de banal ouvrier, l’alcool a été la seule chose me permettant de me sentir mieux. Ça m’a sorti du piège rance et boueux. Les Grecs n’appelaient pas le vin «le sang des dieux» pour rien.»
Voici ce qu’il disait aussi
«L’alcool m’a mis dans des situations que je n’aurais jamais connues sans lui: des lits, des prisons, des bagarres et des longues nuits insensées. Durant toutes mes années de clochard et de banal ouvrier, l’alcool a été la seule chose me permettant de me sentir mieux. Ça m’a sorti du piège rance et boueux. Les Grecs n’appelaient pas le vin «le sang des dieux» pour rien.»
L'alcool est nécessaire quand on vit dans la rue. Rien que pour créer du lien. Pas obligé de tomber dans l'excès.
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