Il a choisi les derniers vers de « La mort du loup » d’Alfred de Vigny pour éclairer sa voie :
Ah ! Je t’ai bien compris, sauvage voyageur,
Et ton dernier regard m’est allé jusqu’au cœur! Il disait :
” Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu’à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j’ai tout d’abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t’appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler.
Ceux qui veulent accompagner cet homme d’exception sur son dernier chemin trouveront ses ultimes pensées ici :
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