Rebonjour (et oui mon post ne date que de quelques heures),
Merci aux "matinaux" pour le petit message d'accueil.
Durant ma phase test démo, j'ai étudié les paires Eur/Usd, Usd/Eur, Eur/JPY, JPY/eur, ainsi que le Cac40 et quelques actions :
total,
sg, BNP, Alcatel. En test réel, je me suis spécialisé sur Eur/Usd et Cac40.
Ma méthodologie est simple. Il s'agit d'une martingale optimisée, respectant les fondamentaux du
money management : gestion du capital, gestion de la bankroll, gestion du stack, etc. Bref, quelque soit l'appelation, le but du jeu, c'est de ne pas perdre son argent, et si possible, d'en gagner
Dans les paris sportifs (pour moi, il s'agit de trading sportif): on prend un évènement et on reste sur ce postulat jusqu'à ce qu'il se répète. Bien sûr, il faut savoir à quel moment rentrer et surtout déterminer le montant de la mise que l'on souhaite attribuer, ou consacrer, à la réalisation de ce bet win (série nécessaire pour gagner), c'est comme en bourse. Au premier pari d'une série n, je joue 1/1000 du capital initial du début de l'année en cours, ceci jusqu'à la fin de l'année. Si je gagne, je me repositionne avec encore 1 fois 1/1000 du capital initial au 1er janvier, si je perds, je "surenchérie" à l'aide d'un coefficient de surenchère qui va évoluer en fonction du rang du pari dans la série en cours : à ce niveau, secret, c'est mon secret de fabrication
qui m'a demandé de nombreuses années de recherche et optimisation.
L'idée de base : tout parieur gagne un jour, tout parieur perd un jour; ce n'est qu'une question de
money management. Alors oui, certes, avec ma méthode, je ne peux pas passer de 10 k € à 100 k € en 1 an. Mais 10 k € à 20 k € sûr à 100%. Mais pour faire x2, il faut placer entre 10 et 20 bets par jour, 6 jours /7, 4 sem/m, 11 m/an. Aucun parieur (mot parieur utilisé volontairement) n'est prêt à bosser aussi dur (en tout cas aussi rigoureusement). Le parieur a besoin de dire à ses potes qu'il a gagné x5, x10, voire plus le week-end dernier. Mais il oublie de raconter les nombreuses fois où il perd. Au final, la majorité sont perdants sur l'année.
Dans mon prévisionnel de croissance, je savais que j'allais vite arriver à la limite technique du système. J'habite encore fiscalement en France et suis donc soumis aux contraintes, heu..., aux règlementations, de l'arjel (équivalement de l'
amf pour les paris sportifs).De ce fait, je suis obligé de sports trader chez un des bookmakers agréés et ces derniers limitent les gains max potentiels (je ne leur en veux pas, c'est leur moyen de survie).
Donc pour gagner plus, il faut travailler plus, comme dirait l'autre, hihihi, petit
Donc, il faut trader plus. D'où l'idée d'étudier la bourse. Suite dans prochain post car je sors prendre un café.